Une information spectaculaire montre encore une fois de plus comment le système médical actuel traite les médecins et les patients : en effet, un médecin vient d’être radié pendant deux ans par le conseil de l’ordre des médecins parce qu’il avait traité une patiente atteinte de cancer du sein avec du radis noir.
On peut ainsi voir en photo des tubes homéopathiques sur Ouest-France et une conclusion du conseil de l’ordre plutôt surprenante :
« La seule circonstance que Mme F. aurait renoncé au traitement chimiothérapique n’exonère par le docteur D. de sa responsabilité. »
Le conseil de l’ordre voudrait que tous les patients acceptent docilement les traitements proposés par leur médecin sans broncher ! Il s’agit donc d’une ingérence dans la vie privée des patients et de leurs décisions d’accepter ou non un traitement.
Pour RTL, il s’agit maintenant d’un médecin homéopathe... :
On en apprend un peu plus sur le site «Pourquoidocteur.fr»… :
Le conseil de l’ordre en remet une couche : « Il devait en effet prodiguer à l'intéressée des soins conformes à son état de santé et aux données acquises de la science, en faisant, le cas échéant, appel à des tiers compétents, ce qu'il n'a pas fait ». On verra plus bas que la patiente refusait tout traitement par chimiothérapie et donc on voit comment le conseil de l’ordre veut absolument contrôler la volonté des patients ! Quant aux données acquises de la science, elles ne sont pas si brillantes que cela puisque les traitements par chimiothérapie peuvent abréger les espérances de survie par leur toxicité !
Et maintenant il y a aussi des extraits de gui et on en arrive au fond du problème, « les médecines douces » :
« La place des médecines « douces »
« En règle générale, si les compléments alimentaires et les produits végétaux (phytothérapie) peuvent être intégrés à la prise en charge d’un patient atteint de cancer, ils le sont à titre subsidiaire et ne peuvent se substituer à un traitement conventionnel : chirurgie, radiothérapie, chimiothérapie, immunothérapie, etc.
Dans le cancer du sein, il n'est hélas par rare que les patientes adeptes des médecines « douces » refusent la chimiothérapie. Avec, à la clé, une perte de chances. Même lorsqu'elle est consommée en complément d'un traitement conventionnel, la phytothérapie doit être contrôlée par une équipe médicale, sous peine d'occasionner des problèmes d'interaction médicamenteuse. (Commentaire : donc maintenant, la phytothérapie serait efficace et provoquerait des interactions médicamenteuses… ! Bravo, encore un effort en essayant d’étudier la pharmacologie des plantes, la pharmacognosie…, mais ce domaine n’intéresse pas l’industrie pharmaceutique qui ne peut en tirer d’énormes profits !)
Ce n’est pas la première fois que la pratique sans discernement d’une médecine alternative met en danger un patient. En mai dernier, un scandale avait ému l’Italie. Uniquement traité par homéopathie depuis l’âge de trois ans, un petit garçon de sept ans était décédé des complications infectieuses d’une otite. Un simple traitement antibiotique de base aurait sans doute suffi à l’éviter. » (Commentaire : le « sans doute» fait sourire car l’affaire est un peu plus compliquée que cela et a montré entretemps qu’il s’agissait d’une opération spectaculaire pour démonter la liberté de choix des parents pour leur enfant et également l’homéopathie ainsi que le choix libre de chaque patient).
Brusquement on voit que les malheureux associent la phytothérapie avec de possibles interactions médicamenteuses…cette même phytothérapie qui avait été supprimée par Pétain tout en créant le conseil de l’ordre des médecins…à cause des futurs profits de Bayer et BASF en Allemagne nazie.
Les commentaires déplacés (Dans le cancer du sein, il n'est hélas par rare que les patientes adeptes des médecines « douces » refusent la chimiothérapie… Avec, à la clé, une perte de chances) ne respectent pas le choix thérapeutique des patientes et en dit long sur la tentative d’intoxication intellectuelle de cette tendance.
Cette tendance oublie de plus d’écrire que tous les traitements officiels mutilent et provoquent de graves effets secondaires !
Cette affaire montre une triste réalité, celle de la misère de la recherche contre le cancer… et celle de la liberté de choix thérapeutique des patients que le conseil de l’ordre au service de l’industrie pharmaceutique ne peut accepter car il en va du profit issu du traitement des maladies qui n’a vu aucun progrès depuis bien longtemps.
Atteint de dermite soi-disant séborrhéique depuis l’âge de seize ans, j’ai vite compris que je ne devrais rien attendre de dermatologues fumeurs aux cendriers remplis de mégots…et que leur traitement ne faisait que couvrir cette maladie de la peau, décrite pour la première fois en 1887, à une époque où la fumée de tabac a commencé par envahir les lieux publics…donc sans étiologie précise, la séborrhée étant normale…et qu’il s’agissait d’une allergie à l’haptène nicotine montrant ainsi que les lobbies du tabac et de l’industrie pharmaceutique voulaient continuer tranquillement leur business sans être perturbés !
http://www.dermiteseborrheique.net/
En suivant les conseils des dermatologues de l’époque, je « devais » appliquer des crèmes corticoïdes fluorées sur le visage pour développer ensuite une acné des corticoïdes et ensuite traiter avec des cyclines pendant plusieurs mois sans chercher une étiologie précise ! Pauvre médecine !
J’ai trouvé beaucoup plus simple avec des sels de la Mer Morte mais c’est de la pharmacologie et de l’immunologie (la communication cellulaire des mastocytes…) et on peut aussi constater l’amertume des dernières réactions de la grande médecine… :
« Les sels de la mer morte : utilisés de manière quotidienne en pain dermatologique ou en crème, ils sont réputés avoir un effet positif contre la dermite séborrhéique, mais sont pour certains agressifs.
Pour le cuir chevelu, le rinçage des cheveux à l’eau salée (eau du robinet + gros sel) permet parfois de prévenir les crises. »
En conclusion, nombre de patients veulent que leur choix thérapeutique soit respecté et ce n’est pas au conseil de l’ordre d’imposer « au nom de sa science » son choix aux mêmes patients !
Ceux qui veulent donner au Téléthon qui n’a rien produit depuis 30 ans peuvent tranquillement donner !
Ceux qui voulaient se faire vacciner contre la pseudo-pandémie de H1N1 pouvaient tranquillement le faire !
Ceux qui veulent se faire vacciner avec des vaccins contenant de l’aluminium, des micro- et nano- particules peuvent tranquillement le faire !
Ceux qui ont accepté d’avaler des Coxibs (Vioxx par exemple), du Mediator et maintenant des statines et bien d’autres « médicaments » de la « grande science » et selon l’avis de leur médecin pouvaient et peuvent le faire, par contre il y a d’autres patients qui décident eux-mêmes ce qu’ils vont prendre ou non comme traitement !
C’est précisément ce que le conseil de l’ordre des médecins n’a pas bien compris.
On peut aussi comprendre la situation actuelle de désarroi du système par l’émergence d’un nouveau paradigme qui va balayer aussi bien l’allopathie que l’homéopathie… :
http://www.waterconf.org/participants-materials/2017/posters/Poster%20IC%20(1-2)%20ed5.pdf
http://www.waterconf.org/participants-materials/2017/presentations/Won%20H%20Kim.pdf