Jupiter est aveugle, à s’entourer d’escrocs,
De ministres des vents, manches à air sans tripes,
Valets à particule et nouveaux archétypes
Du traître parasite attaché par les crocs.
Si la pègre a ses lois, le vice ses hérauts,
L’ivresse des hauteurs s’affranchit des principes.
Plus on te révère, homme, et plus tu te dissipes.
Le trône perd le saint, qui sacre les zéros.
Implacable redite au fil des ans qui passent
Que l’avilissement du pouvoir par l’élu
Qui s’en drogue et n’en est guère plus efficace.
Le prince le meilleur n’aspire pas à l’être,
Et s’il règne jamais, il faut qu’il règne nu,
Ainsi lui passera le goût d’être le maître.