1°)-Olivier Véran a peur d'aller sur les plateaux de télévision :
« ILS ONT PEUR » : LE TACLE DE PASCAL PRAUD A OLIVIER VERAN ET AUX MINISTRES
Gala, naïs MOINE | mardi 3 novembre 2020 à 15h57
Ce mardi 3 novembre, Pascal Praud recevait en visioconférence l'auteur-compositeur-interprète Daniel Guichard sur CNEWS. L'occasion pour l'animateur de s'en prendre à Olivier Véran et aux ministres qui, selon lui, "ont peur" de venir dans des émissions où ils peuvent être en difficulté.
Alors que le reconfinement fait couler beaucoup d'encre, Pascal Praud s'est montré particulièrement virulent à l'encontre de l'exécutif ces derniers jours. S'il estime que Jean Castex a "raté le déconfinement", le célèbre animateur a également contesté les chiffres du gouvernement. Ce mardi 3 novembre, le journaliste a, une fois n'est pas coutume, profité de l'intervention de l'auteur-compositeur-interprète Daniel Guichard pour dire tout le mal qu'il pense d'Olivier Véran et des autres ministres qui, selon lui, "ont peur" de se rendre sur son plateau.
Pascal Praud, qui déclare avoir "proposé à Olivier Véran" de participer à L'heure des pros, estime que les membres du gouvernement "ne vont pas se mettre dans des émissions dans lesquelles ils peuvent être en difficulté", et d'ajouter : "je pense qu'ils ont tort". D'après l'animateur, si les ministres déclinent son invitation, c'est qu'ils ont peur. "Ceux qui nous gouvernent aujourd'hui sont tétanisés", souffle-t-il, "et la peur est mauvaise conseillère et les oblige à prendre des décisions qui sont radicales".
"Il a peur de l'affrontement, il a peur d'aller parler avec les gens ! Qu'il fasse autre chose alors !"(sic).
2°)- Brigitte Pascall : Olivier Véran a peur. Peur de venir s'expliquer sur les plateaux de télévision. Peur de justifier le reconfinement, conduisant à la ruine économique du pays : des milliers de commerces sacrifiés. Un million de chômeurs supplémentaires en plus du million de destructions d'emplois comptabilisé depuis mars.
Il n'est pas le seul.
Sur BFMTV, mise à part Gabriel Attal, plus aucun ministre ne vient défendre la folle décision arrêtée par Macron de ruiner notre économie et nos emplois. A la place, on envoie des seconds couteaux, virologue machin, les yeux ternes, annonnant, comme des répète-jacquots, les éléments de langage préparés à la hâte par le service de com de l'Elysée. Comme ce pauvre gusse entendu lundi matin sur BFM.
Comme disait Lénine, "la crise, c'est quand ceux d'en bas n'en veulent plus et que ceux d'en haut n'en peuvent plus" (sic) ("La maladie infantile du communisme").
Chaque jour qui passe le confirme : la Macronie a la pétoche, elle n'en peut plus. Coincée dans ses mensonges XXL de fausse pandémie de covid : alors qu'"on assiste en réalité à une "vaguelette", comme dit Christian Perronne.
Avec un virus beaucoup moins virulent qu'au mois de mars 2020 analyse le Professeur Didier Raoult..
La fébrilité, l'inquiétude s'installe en haut lieu, devant la rébellion du Sénat. Puis du MEDEF : n'hésitant pas à mobiliser ses juristes pour écrire des arrêtés-type d'ouverture des commerces. Révolte animée aussi par la puissante Association des Maires de France, Xavier Bertrand et les LR, Olivier Faure, Hidalgo. Des mairies importantes comme celles de Perpignan, Béziers et Dijon. Une centaine de petites mairies : appelant tous et toutes à l'ouverture des commerces.
Cette mutinerie est très importante. Macron est le premier concerné par la colère du bloc bourgeois.
De même, un bouillonnement ras la marmite du Peuple français sourd depuis le début du premier confinement : 60% des français critiquant en mai 2020 la gestion calamiteuse de l'épidémie de covid (cf sondage IFOP). Les français sont le seul peuple d'Europe à critiquer le Pouvoir, qui a refusé de les soigner depuis le début : absence de masques, de gels hydroalcoolique, absence de lits de réa en nombre suffisant. Absence de contrôles aux frontières, etc.
Au mois d'octobre, ils sont toujours une nette majorité à contester la gestion par la peur, les mesures inutiles et anti économiques du couvre feu et du confinement arrêtés par la Macronie.
Comme dans le célèbre poème de Victor Hugo : "Waterloo", la peur changea de camp, le combat changea d'âme"(sic). Ce ne sont plus les Classes populaires, la "France d'en bas" chère à Raffarin, si méprisée des "zélites", qui a peur du covid et de ne pas finir ses fins de mois : mais le président faussement jupitérien, soit disant maître des horloges, aujourd'hui dans la zone de tous les dangers.
La vérité est crue : MACRON NE SAIT PAS COMMENT RETOURNER LA SITUATION A SON AVANTAGE.
"Paris terrible et gai combat, Bonjour Madame
"ON EST UN PEUPLE, ON EST UN MONDE, ON EST UNE AME.
"Du pigeon qui revient au ballon qui s'envole
"C'est beau : le formidable est sorti du frivole"(sic)
(extrait du poème de Victor Hugo, "Lettre à une femme, porté en ballon le 10 janvier 1871, à propos du siège des parisiens contre l'assaut des prussiens).