D'abord, je remercie mon amie Marie-Luce Mouy de m'avoir fait connaitre cette superbe vidéo !
1°)- Verbatim de Trump :
Dans cette vidéo de 2016, Trump dénonce l'établishment démocrate pourri !
"L'ETABLISHMENT A DETRUIT NOS USINES ET NOS EMPLOIS. C'est une structure internationale qui a pillé la Classe ouvrière. Dépouillé le pays de ses richesses. A mis l'argent dans sa poche. C'est une lutte pour la survie de la nation (américaine). Et ce sera notre dernière chance de la sauver" (sic).
2°)- Je confirme 5 sur 5 l'analyse économique et sociale de Donald Trump :
100 millions de chômeurs aux Etats Unis en 2016 : sous Obama/Biden !
Grâce aux travaux de deux économistes hétérodoxes de droite : Philippe Béchade et Olivier Delamarche, nous savons qu'il y avait 100 millions de chômeurs aux Etats Unis en 2016, SOIT SOUS LE MANDAT OBAMA ET JO BIDEN : avant l'arrivée de Trump au Pouvoir. Et non pas un taux de chômage officiel de 5% des salariés états-uniens, comme Obama/Biden feignaient de le faire croire..
Comme en France, la question du chômage est sciemment mise dans le hors champ par les gouvernements libéraux qui se succèdent. Laissant filer volontairement, en toute connaissance de cause, la courbe du chômage.
Résultat : des millions de souffrances et de larmes anonymes. Des familles américaines obligées de vivre avec moins de 2 dollars par jour dans leur voiture : vu qu'elles ont été expulsées cruellement, de façon inhumaine de leur domicile.
Au mois d'octobre 2008, Dominique Plihon, économiste, futur ancien Responsable d'ATTAC, "nous" (PRS, "Pour une République sociale", courant de Mélenchon avant la création du PG) avait fait une conférence sur la crise des subprimes à l'Ecole Normale Supérieure. Il nous avait expliqués comment les noirs, les chicanos, américains pauvres avaient été enrôlés dans des crédits immobiliers.
Car avec cynisme, les banques savaient qu'elles ne seraient jamais remboursées, mais qu'elles pourraient récupérer la maison. Et son propriétaire expulsé. Résultat : des millions et des millions de maisons en vente. résultat aussi : des millions d'américains chassés de chez eux, obligés de vivre dans leur voiture.
L'établishment états-unien, le camp démocrate (Obama et, on ne le rappellera jamais assez, un certain JO BIDEN) ont viré les salariés de leur emploi pérenne, en délocalisant les entreprises états-uniennes, recherche maximale du profit oblige. Car il leur en fallait toujours plus : toujours plus de cash flow, toujours plus de grandiose, toujours plus de part de marché internationale..
Philippe Béchade montre comment les employeurs américains s'en prennent désormais directement à la classe moyenne. Afin de faire augmenter le cours de la bourse, on n'hésite plus à licencier une charrette de salariés qualifiés. Robert Kennedy junior, dans un discours du 27 aout 2020 a clairement dénoncé cette mise à mort sociale de la classe moyenne voulue par les mondialistes démocrates
De son côté, en France et en substance, macron, Bébé Clinton, a eu ces mots cyniques : "les français nagent dans le confort et la prospérité : cela ne va pas durer"(sic).
La politique de création d'emplois de Trump :
Il faut le savoir aussi : le candidat Trump a fait un discours en 2016, où il a promis "des millions, million, million d'empois"(sic). Devenu Président, il a tenu ses promesses. Le taux de chômage officiel a très fortement diminué. Je me souviens aussi d'un Trump moqueur, reprochant à Macron de n'avoir rien fait pour diminuer le chômage de masse français : tout le contraire de la politique états-uniennes. suivie.
Trump a eu de très bons résultats économiques et sociaux : même les journalistes français aux ordres de l'oligarchie le concèdent. Ainsi, sur France Inter, que l'on ne peut pas accuser de collaborer avec Trump, j'ai entendu cette analyse : "S'il n'y avait pas eu la pandémie et le confinement, la réélection de Trump était une simple formalité"(sic). Malheureusement, le confinement états-unien de 2020, a cassé le taux de croissance et l'emploi.
Dans un plan adopté contre le chômage et la pauvreté fin décembre, Trump accorde 300 dollars pérennes par semaine aux plus pauvres, soit à peu près 1200 euros par mois (voir article rédigé à propos de ce plan, que je reposte).. Pour mémoire, on rappelle qu'en France, le RSA socle est de 497, 01 euros par mois. Avec l'APL, il est de 564,79. Quand on est pauvre, il vaut mieux vivre aux EU qu'en France.
Conclusion :
L'élection présidentielle américaine est devenue un concours de poubelles. Si les choses étaient "normales", on ne parlerait que des triches électroniques, sujet ô combien important pour les français qui ont subi l'élection truquée de 2017. L'ampleur des tricheries électroniques, du vote par correspondance, au cours de l'élection américaine ne fait aucun doute : tant les témoignages concordants se multiplient. Un exemple entre mille : "l'injection" de 120 000 bulletins Biden à 4 heures du matin dans l'Etat du Michigan.
Le problème actuel, ce n'est pas "l'existence" de ces fraudes, mais leur "reconnaissance" officielle par les juges corrompus de la Cour suprême, ou d'un Congrès dont la Chambre des représentants est présidée par Pelosi. Les juges invoquent de soit disant erreurs de procédure, pour rejeter le recours formé par l'Etat du Texas et 18 autres Etats contre le vote par correspondance. Ils font l'obstruction, pour que Biden arrive à la Maison Blanche.
Inversement, dénoncer la mise à mort sociale voulue sciemment par le camp démocrate entre 2008 et 2016 (Obama + Jo Biden) ; les efforts réitérés de Trump pour sortir les américains de la mouise : non seulement, c'est incontestable, justifié 5 sur 5.
Mais une telle ligne de défense pointant tout à la fois la politique de destruction de millions d'emplois par le camp démocrate, la création de millions d'emplois par Trump depuis 2016, a aussi une qualité rare : Trump parle "directement" au Peuple américain. Sans filtre. Sans être obligé de passer sous les fourches caudines, humiliantes, soit de la Cour suprême, soit de la Chambre des Représentants présidée par Pelosi !
Les démocrates auront beau dire et beau faire : ils sont impuissants à nier leur politique génocidaire menée de 2008 à 2016 contre le Peuple américain lui-même, alors qu'aujourd'hui, ils quêtent les voix toute honte bue...!