Brigitte pascall (avatar)

Brigitte pascall

Auteur indépendant d'écrits politiques

Abonné·e de Mediapart

2577 Billets

0 Édition

Billet de blog 8 novembre 2020

Brigitte pascall (avatar)

Brigitte pascall

Auteur indépendant d'écrits politiques

Abonné·e de Mediapart

Réponse de Trump à l'élection de Joe Biden !

RÉPONSE DE TRUMP FACE À L'ELECTION DE JOE BIDEN :

Brigitte pascall (avatar)

Brigitte pascall

Auteur indépendant d'écrits politiques

Abonné·e de Mediapart

Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

1°)-Le président Donald Trump ne concède pas la course à la présidence.

Il a publié une déclaration après que l'Associated Press et d'autres médias aient déclaré que Joe Biden serait le prochain président des États-Unis.

"Nous savons tous pourquoi Joe Biden se précipite pour se faire passer à tort pour le vainqueur, et pourquoi ses alliés médiatiques s'efforcent tant de l'aider : ils ne veulent pas que la vérité soit dévoilée. Le simple fait est que cette élection est loin d'être terminée.

Joe Biden n'a été certifié vainqueur d'aucun État, et encore moins d'un des États très contestés qui se dirigent vers un recomptage obligatoire, ou d'États où notre campagne fait l'objet de contestations judiciaires valables et légitimes qui pourraient déterminer le vainqueur final.

En Pennsylvanie, par exemple, nos observateurs juridiques n'ont pas été autorisés à avoir un accès significatif pour observer le processus de comptage. Ce sont les votes légaux qui décident qui est président, et non les médias d'information.

"À partir de lundi, notre campagne va commencer à poursuivre notre affaire devant les tribunaux pour s'assurer que les lois électorales sont pleinement respectées et que le vainqueur légitime est assis.

Le peuple américain a droit à une élection honnête : cela signifie qu'il faut compter tous les bulletins de vote légaux et ne pas compter les bulletins illégaux. C'est la seule façon de garantir que le public ait pleinement confiance en notre élection.

Il reste choquant que la campagne Biden refuse d'accepter ce principe de base et souhaite que les bulletins de vote soient comptés même s'ils sont frauduleux, fabriqués ou déposés par des électeurs inéligibles ou décédés.

Seul un parti ayant commis des actes répréhensibles empêcherait illégalement les observateurs d'entrer dans la salle de dépouillement - et se battrait ensuite devant les tribunaux pour leur en interdire l'accès.

"Alors, que cache Biden ? Je n'aurai de cesse que le peuple américain ait le décompte honnête des votes qu'il mérite et que la démocratie exige".

Le président Donald J. Trump

 2°°- Brigitte Pascall : Dans la démarche de Biden, il y a une "précipitation", une "fébrilité" à se faire élire Président. A inventer de toute pièce une "liesse" (sic) devant la Maison Blanche, qui n'est en réalité que le rassemblement de 50 militant démocrates, se remuant sur consignes : alors que le décompte total des voix n'a pas encore été fait. Ce qui vaut tous les aveux que Biden et le camp Clinton ne feront jamais !

Si Biden a la majorité des bulletins officiels, pourquoi n'attend-il pas calmement la fin des décomptes et des recours ???

Par exemple, ils ont recompté dans le Michigan et Trump est donné gagnant. Première clef de bras avant un coup au foie suivi d'un uppercut pour le KO final.

On rappelle que lors de l'élection présidentielle de 2000 entre Busch et Al Gore, il a fallu au moins 15 jours de comptes et de recomptes, notamment les bulletins de vote de l'Etat de Floride, pour que Bush soit élu. Et, ni Bush, ni Gore ne se sont proclamés vainqueurs de façon anticipée....!

Les Etats-Unis rejoignent le triste camp des pays africains, sud-américains : Bolivie, Brésil. Français en 2017 avec le candidat Macron, à qui on impose des "élections fantomatiques"(sic), pour reprendre le mot lucide d'Alain Badiou dans son ouvrage : "Le réveil de l'Histoire", édition Lignes, 2012. Où les médias imposent un candidat contraire aux votes réguliers et aux aspirations populaires.

Au départ, ce mode opératoire était réservé aux pays en voie de développement. Maintenant, on l'a importé en France et aux Etats Unis.

Je ne suis pas fan de Trump. Simplement, il défend aujourd'hui la survie du capitalisme industriel, quand Biden , défenseur de Rothschild et Soros, défend le grand reset, qui fera de nous tous des esclaves.

Comme on disait dans les années 70 : ON A RAISON DE SE REVOLTER...!

Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.