Mise à jour à 10h48

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La guerre en Ukraine ne doit pas nous faire oublier les autres tragédies !
« Qui pour s'attrister des milliers de morts à cause des guerres en Ethiopie? Au Yemen? etc... écrit un ami qui ajoute : À bas TOUTES les guerres ! Pas seulement lorsque ça touche des blancs ! »
Tout est dit !
L'urgence est multiple et l'aide à l'Ukraine ne doit pas nous faire oublier les autres situations en France et dans le monde.
Pendant ce temps là, n'oublions pas aussi l'urgence climatique et sociale... OUI, à bas TOUTES les guerres !
Le climat... l'autre guerre qui ne dit pas son nom !
Le GIEC vient de publier son nouveau rapport : près de la moitié des humains sont vulnérables au dérèglement climatique : vagues de chaleur, pertes agricoles, pénurie d’eau, inondations, les scientifiques alertent de l’urgence de s’adapter à ces changements. A cela s'ajoute une crise sociale sans précédent où les riches deviennent encore plus riche tandis que la pauvreté grandi parout sur notre globe avec un quart monde qui devient de plus en plus important dans les pays dit développé.
– à lire :
Lire le rapport du GIEC par temps de guerre
A ce constat, différentes voix rappellent la nécessité d'une « radicalité » écologique. Elle fait peur. On lui oppose même un discours anti-écolo avec des mots violents : "dictature" et "punition" avec ce discours : « non à la dictature de l'écologie punitive ». Ainsi, le 1 % (1) à la manoeuvre, réussit à faire passer les mesures écologiques nécessaires à ralentir le réchauffement climatique et qui s'opposent ou n'arrangent pas leur monde, comme une "écologie punitive" alors qu'elles sont notre salut pour laisser aux générations futures un monde qui reste vivable... Il y a plus qu'urgence !
(1) Le 1 % correspond au monde du CAC40, un monde où les milliardaires continuent à s'enrichir alors que la crise due à pandémie a bouleversé notre planète depuis 2020 alors que la situation sociale était déjà en souffrance.