Il n’y a pas que Bruno Le maire pour s’intéresser aux cochonnailleries et à ses produits dérivés qui ne dilatent pas que les pupilles.
Après Marlène « Peggy » Schiappa qui brille par un sens aigu de la communication en choisissant Playboy plutôt que Valeurs Actuelles (à sa place, je ne sais pas ce que je ferais …) arrive un Fillon plus combatif que jamais et surtout plein d’ambition qui déclare « Si j’ai envie de vendre des rillettes sur la Place Rouge, je vendrais des rillettes sur la Place Rouge ».
Incontestablement, Français Fillon a revisité son parcours professionnel et a trouvé là des débouchées à la hauteur de son talent, il était temps !
Quel dommage d’avoir attendu d’être condamné à de la prison ferme pour envisager une reconversion prometteuse dans les rillettes sarthoises.
Avec des cornichons, plein de cornichons, il faut savoir s’entourer, mais cela il le sait, 36 ans de vie politique, pensez-donc !
De son côté, Emmanuel « Encore président » Macron s’est spécialisé dans le saucisson sec tous azimuts, une pratique interdite par la loi et les bonnes mœurs, mais très en vogue dans les milieux financiers et les plus hautes sphères du Pouvoir.
Et pan ! un saucisson aux syndicats.
Et pan ! un saucisson aux retraités.
Et pan ! un saucisson aux chômeurs.
Tiens, prends ça pauvre !
Emmanuel Macron est un obsédé du saucisson sec qu’il plante un peu partout sans prévenir, là où ça fait le plus mal, c’est un sérial planteur !
Et Darmanin, comment va-t-il se reconvertir ?
Dans les abats, rouges de préférence : comme le foie, les rognons, la rate, les poumons, le cœur, la langue, le museau et les joues ou blancs comme la cervelle, les ris, les amourettes et les animelles.
Il n’y a pas que les mains, les pieds ou les yeux, il suffit de bien viser.
Un ancien Premier ministre qui ambitionne de vendre des rillettes aux Russes, un président obsédé de saucisson sec, son totem : ça a une de ces gueules !
On est obligé de constater que contrairement à ce que l’on croit, les études supérieures ne sont pas un rempart contre la connerie.
P.-S. - Il n'y a pas de hasard : c'est à force de côtoyer Emmanuel Macron et son saucisson sec que Bruno Le Maire a eu l'idée d'écrire son roman érotico-cul-cul dans lequel il parle d'anus dilaté.