Entre 2002 et 2007 Sarkozy a mit la France K.O en terme d'endettement, la dette publique a explosé en atteignant des niveaux extravagants.
Du jamais vu !
D'après l'Insee, la dette publique atteignait 1.152,2 milliards d'euros fin 2006 contre 1.717,3 milliards fin 2011, soit une augmentation de 565,1 milliards d'euros. Pris dans une spirale morbide la note s'allongera à 600 milliards € fin 2012...les années 2008, 2009 et 2010 sont "exemplaires" en terme de gabegie, jusqu'à 200 milliards empruntés par an !
La Cour des Comptes confirme ces chiffres.
Sur le front du chômage même constat : plus de 4 millions de chômeurs à la fin d'un quinquennat qui aura connu toutes les manipulations possibles et inimaginables avec 45 000 radiations administratives par mois afin de truquer le bilan politique du futur candidat à l'élection Présidentielle de 2012.
Les sommes colossales empruntées par Sarkozy n'auront servis à rien.
C'est dans ce contexte très typé, c'est le moins qu'on puisse dire, que Fillon, Copé, Bertrand, Hortefeux, Ciotti, Raffarin, Juppé et plein d'autres encore viennent donner des leçons de bonne gestion en veux-tu en voilà à une gauche naïve empêtrée dans les pièges d'un néo libéralisme européen inopérant et cynique.
A deux semaines des élections européennes il faut lire l'article de Jean-Marie Harribey pour la Fondation Copernic "To be or not to be… dans l’Euroland ?" rédigé le 6 mai dernier, rendez-vous sur le site de la Fondation http://www.fondation-copernic.org/spip.php?article1099
Entre une bande d'incapables arrogants inaudibles et des naïfs impuissants complices, un peu d'intelligence et de recul ne peut pas nuire à notre réflexion.
Ouf !