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Billet de blog 7 octobre 2020

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Aggravation de la crise sanitaire aux États-Unis : le coronavirus infecté par Trump !

Depuis une petite quinzaine de jours, on sait que le virus de la Covid-19 a effectivement muté, la charge virale atteint des niveaux particulièrement inquiétants. L’épicentre de cette mutation se situe aux USA, plus précisément à Washington, la capitale fédérale, au cœur même du pouvoir, c'est-à-dire à la Maison-Blanche !

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Le professeur Didier Raoult a des raisons objectives de s’inquiéter, il explique que le coronavirus avait subi une « mutation » vers la fin de l’été, ajoutant qu’il ignorait « ce que le virus allait devenir », car, dit-il, « Il y a quelque chose que moi je n'avais pas vu avec le coronavirus, c'est la vitesse de mutation qu'il a actuellement ».

Depuis une petite quinzaine de jours, on sait que le virus de la Covid-19 a effectivement muté, la charge virale atteint des niveaux particulièrement inquiétants.

L’épicentre de cette mutation se situe aux USA, plus précisément à Washington, la capitale fédérale, au cœur même du pouvoir, c'est-à-dire à la Maison-Blanche !

Par un de ces mystérieux concours de circonstances qui fait penser à l’intervention directe du Malin, Donald Trump a réussi à infecter le coronavirus, à l'envenimer disent les zoologistes, c’est ce qui explique sa mutation, c’est ce qui explique aussi l’augmentation massive de sa charge virale, c’est ce qui explique enfin l’inquiétude grandissante de tous les épidémiologistes du monde entier, exception faite des scientifiques français qui conseillent efficacement Emmanuel Macron depuis plus de six mois.

Les premiers symptômes sont connus, une bouche en cul de poule crispée, un usage immodéré de Twitter, des mensonges éhontés, des accusations et des mises en cause ad hominem, des insultes, la haine des médias coupables de diffuser des « fake news », des incendies de neurones et des difficultés respiratoires aigües pouvant entrainer la mort, souvenons-nous du malheureux Georges Floyd, « I can't breathe », « Je ne peux pas respirer ».

Donald Trump étant lui-même un mutant orange qui manie l'outrage, un Orange-outrant si l'on préfère, du genre à grimper aux cocotiers dès qu'il voit un démocrate.

La mutation du virus se propage au sein de la communauté des suprématistes blancs d’abord pour s’étendre ensuite aux « proud boys », des groupuscules néo-fascistes. À terme, tous les républicains blancs de peau seront contaminés avec l’objectif d’infecter les populations noires, hispaniques et asiatiques, sans oublier les pauvres, bien sûr, et les malades sans assurance santé privée.

Les affrontements de Portland ont pour objectif d’aller au contact de ces populations afin de leur transmettre le nouveau virus rebaptisé pour la circonstance le déconovirus-Trump/11.20, référence à l’élection présidentielle de novembre prochain, dans un mois.

Le 4 novembre prochain commencera la guerre civile américaine visant à exterminer les noirs, les gauchistes, les démocrates et toutes les minorités raciales et sexuelles grâce à l’inoculation d’une forte dose virale lors des affrontements.

Un nouveau virus, donc, bête et méchant, bourré de très mauvais cholestérol et de très mauvaises intentions, sexiste au point de cibler les femmes qu’il attaque directement dans leurs parties intimes, le « pussy » en langage Trump !

Ce virus dégradant baigne dans un écosystème biologique (et économique !) qui accélère sa croissance, la connerie, dont le siège se situe indifféremment entre la boite crânienne et le caleçon couleur kaki des hommes blancs, armés pour la plupart, la taille de l’arme étant inversement proportionnelle à la taille de leur sexe et de leur cerveau, des armes énormes donc.

Les Français ont la critique facile dès qu’il s’agit des autres, nous recommandons la plus grande prudence aux experts invités sur les plateaux des chaînes d’information en continu, toute ressemblance avec le déconovirus made in Trump ne serait pas complètement fortuite : ils ont Georges Floyd sur la conscience, nous avons Cédric Chouviat sur la nôtre, ils ont les élections en novembre 2020, nous les aurons en mai 2022.

Mais surtout : ils ont Trump, nous avons Macron !

Ils chassent le même gibier...

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