La thanatologie, la science de la mort, connaît actuellement une véritable révolution qui aura de multiples répercussions, dans bien des domaines, y compris en politique, surtout en France !
Des études récentes, notamment celles menées par Jimo Borjigin, professeure de neurologie à l’Université du Michigan, ont révélé une activité cérébrale intense après l’arrêt cardiaque, remettant en question la conception traditionnelle de la mort.
Ces recherches montrent que le cerveau continue à fonctionner pendant plusieurs minutes après l’arrêt cardiaque, avec des ondes gamma (ondes cérébrales les plus rapides, synonymes de concentration) et des synchronisations accrues et désordonnées entre les différentes régions du cerveau, particulièrement celles liées à la conscience et à la mémoire, nous reviendrons sur ce dernier point.
Ces activités sont 11 à 12 fois supérieures à ce que les chercheurs avaient mesuré avant l’arrêt de la ventilation assistée, c.-à-d. pendant que la patiente vivait encore, puisqu’il s’agit d’une patiente âgée de vingt-quatre ans nommée pour l’étude « Patient one ».
Ces découvertes offrent de nouvelles perspectives sur les expériences de mort imminente (EMI), parfois décrites comme des sensations de détachement du corps ou de visions intenses.
L’activité neurologique observée pourrait expliquer ces phénomènes comme une réaction cérébrale plutôt que comme une preuve de la survie de la conscience après la mort.
Aux frontières de la mort et juste après la mort, l’activité cérébrale génère une surexcitation de l’ensemble du cerveau, les scientifiques parlent d’une « tempête électrique ».
Incohérence, chaos, désordre et non-sens sont au rendez-vous de cet intense cyclone cérébral ante-mortem.
Ces avancées scientifiques soulèvent des questions éthiques et philosophiques sur la définition de la mort, tandis que des études comme celles de l’Université de Yale, qui ont réussi à réactiver partiellement des cellules cérébrales post-mortem, pourraient repousser les limites actuelles, notamment pour les médecins anesthésistes réanimateurs (MAR).
En d’autres termes, la recherche sur la mort ouvre de nouvelles voies, tant sur le plan médical qu’éthique, nous invitant à repenser la frontière entre vie et mort.
La France n’est pas en reste et prolonge cette étude sous un angle inattendu, voire surprenant : la politique.
Il s’agit ici d’analyser le moment précis où le cerveau connaît une suractivité qui s’accompagne d’une perte de la notion de sens, antichambre du chaos, un sujet d’une actualité brûlante en France : comment expliquer ce basculement pathologique et mortifère ? Est-il annonciateur d’une mort imminente ?
En effet, les problèmes de « synchronisations liées à la conscience et à la mémoire » trouvent chez nous un écho particulièrement frappant depuis quelques mois.
« Patient two » est le nom de code donné à un malade français qui, contrairement à « Patient one », n’est pas encore « physiquement » mort, mais il présente incontestablement tous les symptômes décrits par Jimo Borjigin : surexcitation cérébrale, tempête, propos incohérents, visions intenses, déformées et déformantes, obsessions, con-fusion, sentiment anticipé de mort imminente, désordre et hallucinations.
Plus le temps passe et plus Patient two s'enfonce dans un non-sens généralisé, avec une frénésie déroutante.
Fervent adepte du transhumanisme, Patient two a transféré son cerveau vieillissant dans celui de sa farouche opposante, la fille de son père, un vieil homme connu pour s'être rendu coupable d'insupportables amnésies sélectives. Certains pensent que c'est l'inverse qui se serait produit, la « fille de son père » aurait marabouté Patient two en lui piratant le cerveau, le résultat est le même, mais le débat reste ouvert.
Patient two a ensuite opté pour un exosquelette estampillé made in France, de droite, sous la marque Les Revenants – LR – poursuivant ainsi, d'une manière étonnament contre-intuitive, sa promesse d’une startup nation où l’alliance de la technologie et de la finance créera une nouvelle société encore plus libérale, annonciatrice d’un monde nouveau peuplé d’humains majoritairement soumis et sans aucun pouvoir d’influence ; à l'exception de Vincent Bolloré, de Bernard Arnault et de Xavier Niel.
Il cherche à survivre coûte que coûte alors que son cerveau ne répond plus depuis déjà assez longtemps : il est le seul à croire encore à sa survie, tandis que les signes sont alarmants et les symptômes très inquiétants. Son entourage immédiat, le premier cercle, se déclare inquiet, voire pessimiste, on le serait à moins…
Il se contredit en permanence avec une régularité émouvante, mais à un rythme effréné.
Prenons un exemple : Patient two avait juré de renouveler la politique en boutant hors de France le « vieux monde » peuplé de « politiciens professionnels »… pour finir, comme évoqué plus haut, il nomme un homme de soixante-treize ans dont le compteur affiche crânement un demi-siècle de pratiques plus ou moins foireuses et à contre-courant de la société, son opposition à l’IVG et à la dépénalisation de l’homosexualité, notamment.
Autre exemple : sa mémoire est atteinte si on veut bien se souvenir de l’éloge rendu à Pétain, clin d'œil appuyé au père de l'opposante attitrée dont il était question il y a quelques lignes.
Dernière illustration des délires d'un homme halluciné par ses échecs, tétanisé par sa mort qui commence à le paralyser et qui l'obsède : nul doute que Patient two aurait nommé Bernard Cazeneuve si ce dernier avait opté pour une vraie politique de droite extrême ; manque de chance, Cazeneuve est un social-démocrate rose pâle, une tare rédhibitoire à ses yeux.
L'ancien Premier ministre de Hollande est pourtant tout à fait incapable de faire du mal à un enfant ; ni à des coffres-forts suisses, andorrans ou monégasques, d'ailleurs, c'est dire si Patient Two a manqué de clairvoyance.
Mais cela s'explique : l'âge venant, il est atteint de rhodophobie, la phobie de la couleur rose, une pathologie assez courante chez les sociaux-démocrates, à l'instar d'un Manuel Valls ou d'un Richard Ferrand.
Patient two a effectivement multiplié par 11 ou 12 son niveau de conneries habituelles en l’espace de deux mois seulement, ces chiffres donnent le tournis et correspondent précisément à l’étude menée par l’équipe de Jimo Borjigin, c’est confirmé.
Ne nous réfugions pas derrière un langage technique destiné à cacher ou à minimiser le problème ou encore à nier les évidences : Patient two est déglingué.
Il est mort, mais il ne le sait pas.
Le « vieux professionnel » qu’il vient de nommer a un nom de code, lui aussi, « Patient two-two » : comme son maître, Patient two-two est condamné à très court terme, deux mois, trois mois peut-être, quatre au maximum, janvier 2025…
Ayons tout de même une pensée émue pour ces victimes d’un profond et irréversible désordre neurologique qui les conduit tout droit à une mort politique certaine après une longue et très pénible agonie, mais réjouissons-nous d’une chose : leur départ sera un immense soulagement pour des millions de Français, ce sera là leur seule réussite ; même post-mortem, cela n’est pas complètement négligeable.
Les progrès de la science ont toutefois des limites : nous sommes résolument opposés aux équipes de Yale qui auraient réussi à réactiver des cellules cérébrales mortes : hors de question de réactiver Patient two, Patient two-two et tout le chenil !
Pour celles et ceux qui souhaiteraient approfondir le sujet :