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Billet de blog 27 juin 2024

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La NASA choisit Emmanuel Macron pour détruire la station spatiale ISS !

La nouvelle vient de tomber sur tous les téléscripteurs : la NASA a choisi Emmanuel Macron pour faire tomber la Station Spatiale Internationale – ISS – en fin de vie, dans l’océan Pacifique.

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La nouvelle vient de tomber sur tous les téléscripteurs : la NASA a choisi Emmanuel Macron pour faire tomber la Station Spatiale Internationale – ISS – en fin de vie, dans l’océan Pacifique.

L’ancien président de la République conduira un véhicule spécialement conçu et construit pour lui, « du sur-mesure » explique l’agence spatiale américaine, avec pilotage à droite et boîte automatique, totalement autonome, un engin surpuissant capable de pousser la plate-forme orbitale de 430 tonnes dans l’océan Pacifique au début de la prochaine décennie.

La NASA espère qu’Emmanuel Macron va pouvoir se libérer très vite, « au plus tard en 2027 » pour surveiller les travaux de mise au point du premier prototype.

Pour cette mission, Emmanuel Macron sera rémunéré : le contrat pour les travaux, initialement estimé à 843 millions de dollars (668 millions de livres sterling), a été revu à la hausse : Emmanuel Macron a fait valoir qu’il raisonne en EDPF – Équivalent Dette Publique Française – qui se calcule, comme chacun sait, par un multiple de 1000 millions d’euros, l’unité de base qui peut grimper au-delà de 3 000 milliards, tout dépend de la taille des projets.

Les premiers éléments de la station spatiale ont été lancés en 1998, avec des opérations habitées continues à partir de 2000 : les spécialistes prévoient qu’à partir de cet été, jusqu’en 2027, la station sera de plus en plus inhabitable.

Rappelons qu’Emmanuel Macron devra faire le tour de la Terre toutes les 90 minutes à une altitude d’un peu plus de 400 km (250 miles) exactement comme la station ISS. Il n’est pas sujet au vertige, cette caractéristique est due à une absence totale de repère chez lui.

Cette station spatiale a abrité des milliers d’expériences politiques toutes plus foireuses les unes que les autres et dans laquelle on a pu observer également toutes sortes de phénomènes extrêmement bizarres, allant du processus de vieillissement retardé chez l’homme à la retraite jusqu’à la création de nouveaux types de partis politiques éphémères et ridicules en passant par la chasse organisée aux jeunes chômeurs.

À l’annonce de sa nomination, Emmanuel Macron a déclaré à l’AFP : « Une station orbitale, c’est un lieu où on croise les gens qui réussissent et les gens qui ne sont rien », ajoutant une mystérieuse interpellation « Qu’ils viennent me chercher » : impossible de savoir à qui ce message s’adressait.

Nous avons interrogé Bill Nelson, le patron de la NASA, pour connaître ses critères de sélection qui ont abouti au choix d’Emmanuel Macron, voici sa réponse :

« Emmanuel Macron is the most accomplished form of the all-terrain demolition worker, nothing can resist him », que l’on peut traduire par « Emmanuel Macron est la forme la plus aboutie du démolisseur tout terrain, rien ne peut lui résister ».

Qu’il nous soit permis de féliciter Emmanuel Macron, demolition man, pour cette brillante nomination, tous nos vœux de réussite pour cette nouvelle aventure.

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