Toutes les rédactions s’activent depuis qu’elles ont eu vent d’une incroyable révélation : Emmanuel Macron, président de la République, ne serait pas tout à fait celui qu’on croit.
Une banale erreur d’état civil aurait changé le cours de l’Histoire. En réalité, son véritable patronyme est… « Marcon ». Emmanuel Marcon. Tout s’est joué à cause d’une inversion malencontreuse entre le « c » et le « r », comme quoi une simple faute peut entraîner une véritable « marconnerie ».
Selon nos sources, c’est Jean-Michel Marcon — devenu plus tard Jean-Michel Macron —, le père d’Emmanuel, qui serait à l’origine de cet imbroglio. Le jour où il s’est rendu à la mairie d’Amiens pour déclarer la naissance de son fils, il aurait délibérément troqué son vrai nom. Pourquoi ? La réponse est simple : Jean-Michel aurait longtemps souffert de quolibets liés à son patronyme, depuis la maternelle jusqu’à la fin de ses études de médecine.
On peut comprendre.
Se sentant victime d’un destin cruel, il aurait vu dans cette erreur administrative une chance inespérée. Un « Marcon » à vie ? Trop dur à porter. « Macron », en revanche, lui semblait plus neutre, plus supportable. Et surtout, cela mettait ses descendants à l’abri des moqueries perfides des enfants sous le préau.
On peut comprendre.
La petite famille « Macron » a donc poursuivi son chemin en toute tranquillité. Tout allait pour le mieux… jusqu’à ce que le petit Emmanuel grandisse, prenne de l’importance et, disons-le, prenne un peu trop ses aises, animé puis dévoré par une ambition démesurée.
Un quinquennat et demi plus tard, c’est le drame !
Emmanuel « Marcon », qui s’est transformé en Emmanuel Macron grâce à la ruse de son père, a connu une telle vague de désapprobation qu’il est maintenant rejeté par une écrasante majorité de Français, soit près de 80 % d’entre eux. Son bilan ? Une succession de flops : économique, diplomatique, politique… bref, une véritable « Macronédie ».
Les réseaux sociaux, toujours mal inspirés, n’en finissent plus de railler. Entre « Macronnerie », « Macronard » et même « Macroncéphale », les sobriquets fusent dans tous les sens. Pourtant, rappelons-le, nous parlons du président de la République. Un peu de respect pour la fonction, que diable !
Face à cette débâcle, la famille Macron envisagerait l’impensable : revenir au patronyme originel. Oui, vous avez bien lu. Jean-Michel Macron, le patriarche à l’origine de ce micmac, aurait proposé un retour à « Marcon » pour échapper à ce tsunami de critiques. Une initiative audacieuse, mais qui divise.
Il paraît même que Brigitte Macron, dans un ultime moment de doute, a demandé conseil à Nicolas Sarkozy. Ce dernier, jamais avare d’un bon mot, un homme qui a de l'à-propos, lui aurait répondu : « Bismuth est déjà pris. C’est dommage, ça avait de la gueule. »
Brigitte hésite.
On peut comprendre.
Car, reconnaissons-le, choisir entre « Marcon » et « Macron » n’a rien d’un dilemme facile. D’un côté, le retour à l’authenticité ; de l’autre, la persistance d’un nom devenu synonyme… d’un peu tout et n’importe quoi.
Alors, que faire ? La question reste ouverte, mais ce qui est sûr, c’est qu’à chaque fois qu’Emmanuel se regarde dans le miroir, il doit se demander :
« Suis-je vraiment moi ? Ou juste une marconnerie ? »
On peut comprendre.