Il est exceptionnel, unique, incroyable : après avoir réussi l’exploit de se mettre à dos une écrasante majorité de Français, Emmanuel Macron, l’ultralibéral, se fait salement dégrader par l’agence de notation financière internationale Ficht.
En réformant les retraites, faute de majorité, son gouvernement avait fait passer sa loi à coup de 49.3, ce qui avait fortement indisposé les agences de rating qui le sanctionne.
Le « Mozart de la finance » est devenu le chef d’orchestre des concerts de casseroles que Darmanin tente d’interdire en se basant sur des lois antiterroristes.
Emmanuel « Marvelous loser » Macron s’enfonce dans une crise sans précédent qu’il aura créée de toute pièce avec un entêtement qui force à s’interroger sur son état de santé mentale : il croit impressionner les Français en allant se promener un peu partout, maintenant sans s’annoncer, alors qu’il donne le spectacle d’un Don Quichotte perdu dans le désert à qui il n’emprunte ni le talent ni la grandeur.
Puisqu’on parle de Don Quichotte, Brel n’est pas très loin : Manu, tu sais que tu me fais honte à sangloter comme ça bêtement devant tout le monde, arrête de te répandre, mais c’est plus un trottoir, ça devient un cinéma …
Il s’aime tellement, passionnément, à la folie.