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Billet de blog 28 mars 2015

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Et voilà que...

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

Après avoir fait ma lessive (manually please !) de petites culottes ET hebdomadaire, je tombe sur une proposition malhonnête de Médiapart : 6 mois d'abonnement pour 20 euros. Je n'ai pas résisté.

Non pas que les incessantes querelles, où le sieur Perraud (et d'autres) égal à lui-même, manie l'insulte sous couvert d'érudition, à la manière de quelque Rétif de la Bretonne qui aurait trempé sa zigounette dans l'acide (dans ce cas-là, il n'y en aurait plus guère, peut-on savoir ?)... me manquaient. J'ai pu en suivre les méandres en tant que promeneuse fantôme sur les blogs. Que Non ! Mais Médiapart est une mine d'or quand on cherche des références littéraires et universitaires.

C'est que je ne lâche pas avec ma soutenance (en septembre) sur les interactions webesques, et un doctorat à suivre.

J'ai pas abandonné Charlotte, c'est le hasard que m'a menée sur ce second compte ouvert, dans un moment de folie. Et c'est lui qui s'est retrouvé titulaire de l'abonnement.

Je suis toujours en Ouganda, où une saucée d'anthologie vient de dégringoler. J'aime toujours autant enseigner le français aux étudiants ougandais. Je trouve toujours ce pays merveilleux, malgré les incessantes coupures d'électricité, d'eau et parfois de réseau internet.

Ah ! si ! j'aimerais bien que ceux qui m'ont faite suer lors de mes premières pérégrinations sur les chemins de cet auguste club, aient la bienveillance de passer leur route. Je veux parler des sieurs Tertre, Pottier et Najiels... J'ai toujours, à leur disposition cet excellent poème (excellent pour moi, il va sans dire) que je leur avais dédié. Qu'ils m'oublient, je ne vaux pas l'énergie qu'ils pourraient dépenser à me titiller une émotivité bien trop réactive, la France a besoin de leurs contributions édifiantes au débat politique. Je m'en voudrais qu'ils ne se dévouassent pas corps et âmes à leur juste combat (suis pas sûre pour ce subjonctif, mais ça fait chicos !)

Et, l'ami Bernard, si tu passes par-là, je le cloque un énorme poutou sur chacune de tes deux joues qu'un journaliste félon a livrées à la vindicte populaire.


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