Il est souvent dit dans les conversations sur les énergies renouvelables qu'elles consommeraient pljus dénergie à être produite que celle qu'elles vont pouvoir restituer durant leur vie. Cet argument est faux complètement faux et ne résiste pas une seconde à l'analyse.
Il ne faut pas confondre le rendement et le temps de restitution énergétique.
Certains croient qu'il faudrait un "100% de rendement" pour que l'énergie porduite soit au moins équivalente à celle consommée... Ils font la grossière erreur de croire que quand on parle d'un rendement on parle d'une division entre l'énergie qu'il (le panneau photovoltaïque) récupère et transforme au cours de sa vie et l'énergie consommée pour produire le panneau (analyse cycle de vie).
Mais ce n'est pas ça !
Le rendement énergétique c'est la divison entre l'énergie qu'il reçoit(énergie du soleil encore gratuite bien qu'il faille du foncier) et l'énergie qu'il produit par unité de temps.
Bien peu importe qu'il n'est un rendement que de 30% ! Les 70% "perdus" sont du rayonnement solaire réfléchit ou transformée en chaleur !
Voici un lien (très sérieux) vers le temps de retour énergétique c'est à dire la durée à partir de laquelle le panneau aura fournit plus d'énergie que l'ensemble de l'énergie qu'il a fallu pour le produire et le mettre en place.
http://www.espace-pv.org/documents/fiche_2_espace_3_hyp_resultats_121119.pdf
L'énergie qu'il restitue est bien plus grande que l'énergie qu'il a fallu pour le produire et l'installer.
Il faut entre 1,95 et 2,81 années pour restituer l'énergie consomée par la production du panneau, son transport et sa mise en oeuvre.
Donc entre 2 et 3 ans de temps de retour énergétique suivant l'enseillenement.
Sachant qu'ils ont une durée de vie d'au moins 20 ans ça fait qu':
Un panneau photovolatique produit donc entre 6,6 et 10 fois plus d'énergie que ce qu'ils ont consommés.
Reste qu'il n'y a pas d'énergie propre et que tout ce que l'on fait transforme le milieu et rarement dans le sens favorisant la vie des grands organismes vivant (dont l'homme) ! En ce qui concernent les petits organismes vivants c'est une autre histoire ! Les bactéries, elles, adorent l'humanité et leurs pollutions !