Même, s'il ne peut se tenir dans le cadre officiel d'une juridiction libre et équitable, pour faits de coups d'Etats à bas bruit et en série, l'examen par le Grand Jury mis en place par l’équipe de l'avocat et lanceur d’alerte allemand Reiner Fuellmich de ce que la plandémie du COV19 montre réellement et cache tout autant aux yeux du monde, doit nous conduire à la fois à suivre ces débats, et bien sûr à faire circuler ce lien.
La seule façon que ce monde morbide aurait de perdurer davantage, c'est que nous ne soyons pas au rendez-vous de ce fait historique. Des centaines d'avocats, des milliers de chercheurs, des millions de citoyens participent à cette enquête extraordinairement approfondie, qui proclame sa volonté de ne jamais se soumettre à l’ignorance, aux ruses et aux pulsions mortifères d'un capitalisme ensauvagé, qui pressent son heure finale venue.
Voici ce que déclare à l’ouverture de cette juridiction populaire, le juge portugais Rui Fonseca E Castro, qui officiera en tant que tel dans ce Grand Jury.
« Au cours des deux dernières années, nous avons assisté à l'effondrement de l'État de droit démocratique. Nos droits et libertés les plus fondamentaux nous ont été retirés au nom d'un "bien commun" qui n'a jamais été approuvé. Nous nous attendons à ce qu'une vague gigantesque de victimes suive. Les systèmes judiciaires ne remplissent plus leurs fonctions, c'est-à-dire qu'il n'y a plus de juges à Berlin. Nous ne pouvons pas attendre, nous devons prendre nos responsabilités pour éviter la tyrannie. La loi naturelle nous donne le droit sacré de nous opposer à la tyrannie ; elle donne aux gens la légitimité pour le faire. Les systèmes judiciaires nationaux et internationaux ont clairement échoué à nous protéger de la tyrannie à laquelle nous assistons. C'est donc dans le cadre du droit naturel non écrit que ce tribunal trouve sa légitimité pour engager une procédure judiciaire. »
Juste avant, l’avocate étasunienne, Ana Garner avait ouvert la première cession par ces mots.
« Cette mise en œuvre d'une enquête du Grand Jury, courante aux États-Unis, est un modèle de procédure légale pour les citoyens du monde contre les dirigeants, les instigateurs et les complices de la formulation et de l'exécution d'un plan visant à créer une pandémie. Il s'agit d'une enquête populaire, appelée "le tribunal populaire de l'opinion publique". Elle est fondée sur le droit naturel, lui-même fondé sur l'idée que chacun est capable de distinguer le bien du mal. L'humanité se trouve à un stade critique qui dépend de l'éveil de tous les individus ; la trajectoire sur laquelle nous sommes engagés doit être inversée, et la mise en place de ce grand jury y contribuera rapidement. Un grand jury entend des preuves et détermine ensuite si un acte d'accusation criminel peut être prononcé contre l'accusé. Il se déroule généralement à huis clos, sans la présence de l'accusé ; ce grand jury se déroulera toutefois devant le public, avec un vrai juge, des avocats et des témoins. Il s'inscrit dans un modèle constitutionnel de gouvernement qui respecte les droits et libertés naturels des personnes. Nous vous demandons, à vous le public, d'examiner les preuves présentées pour reconquérir nos libertés. »
Appels des alliances internationales (Reiner Fuellmich)
Actualité des Procès Covid : tribunal international
https://www.espritcreatif.ch/appels/
VIDEOS TRADUITES IMPECABLEMENT EN FRANÇAIS
par Jeanne
Déclaration initiale :
"Nous, un groupe d'avocats internationaux, menons une enquête criminelle sur le modèle de la procédure du Grand Jury des États-Unis. Cette enquête sert de modèle de procédure légale pour présenter à un jury (composé des citoyens du monde) toutes les preuves disponibles des Crimes contre l'Humanité du COVID-19 à ce jour contre les "leaders, organisateurs, instigateurs et complices" qui ont aidé, encouragé ou participé activement à la formulation et à l'exécution d'un plan commun pour une pandémie ».
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* Institutions judiciaires : les trahisons du Conseils d’état et du Conseil Constitutionnel, font que la séparation des pouvoirs est rompue ; ce qui équivaut à un début de coup d’Etat, ou coup d’Etat juridique.
Le système étatique français est constitué de 3 pouvoirs : le pouvoir législatif, qui édicte les règles ; le pouvoir exécutif, qui les fait exécuter ; le pouvoir judiciaire, qui applique la loi dans les cas particuliers.
Le principe de la séparation des pouvoirs implique que ces 3 pouvoirs doivent être séparés et attribués à des organes distincts, à savoir respectivement le Parlement, le président et/ou le Premier ministre et les juridictions.