Au même titre que les étrangers, les hommes blancs dominants les méprisent et les dénigrent mais les femmes aujourd’hui ont aussi envie de se réaliser dans leur vie et pas seulement en fécondant comme auparavant.
Le problème vient du fait que les femmes sont considérées comme des objets. Et elles le savent et s’en contentent. Leur séduction vis-à-vis des hommes repose sur ce statut et ce postulat. Elles se maquillent, se teignent les cheveux, s’épilent, se parent de bijoux, se laissent pousser les cheveux, se mettent des talons hauts, des jupes, des décolletés, se font refaire les seins, les lèvres, les yeux, les fesses… elles se considèrent comme les hommes l’ont décidés c’est à dire des objets.
Le mariage a entériné ce statut d’objet en faisant de la femme la propriété unique d’un homme : son objet asservissable sexuellement et domestiquement.
Qu’on se rappelle le mariage forcé, avec dot de la fille (la valeur de la femme ne suffisant pas). Même dans les tribus primitives les femmes étaient achetées à la famille en échange d’animaux (des porcs, des chèvres, des chameaux…) ce qui en dit long sur le statut des femmes dans ces sociétés.
L’homme en contre partie a accepté hypocritement d’être l’objet de sa femme. Combien de femmes se trompent elles-mêmes en disant mon homme. Le mariage assure en fait une réciprocité de l’objectalisation. Mais l’homme n’a jamais et ne sera jamais fidèle, car pour lui faire l’amour ne le salit pas contrairement à la femme qui est fidèle la plupart du temps car elle sait que faire l’amour avec plusieurs partenaires la salit. Tous les hommes veulent plusieurs conquêtes pour salir un maximum de femmes. Et les femmes le savent. Il n’y a rien de plus sale qu’une pute et le terme salope a été inventé par les hommes pour décrire les femmes déchues de leur statut de femme propriétaire d’un seul homme.
Mais la femme quoi qu’elle fasse reste méprisable et indigne. Cela vient du fait qu’elle est plus proche des animaux, de la nature que de l’être humain c’est-à-dire de l’homme blanc, c’est-à-dire de la culture.
En effet elles sont davantage liées à la nature du fait que tout leur corps est soumis à des processus naturels voir à l’animalité.
Elles ont des mamelles comme tous les mammifères femelles, elles ont aussi des menstrues, processus naturel par excellence, et les hommes ne supportent pas leur pilosité animale, tolérable chez l’homme inadmissible chez la femme. La graisse sur les différentes parties de leur corps aussi. Les femmes n’ont par ailleurs pas besoin de désirer pour copuler et leur jouissance n’est pas liée à la reproduction contrairement à l’homme.
De plus comble de l’animalité elles enfantent. Tout cela est indigne pour un être humain digne de ce nom c’est-à-dire pour un homme comme pour toutes les religions sauf le bouddhisme.
Pour sortir de ce mépris et de cette indignité les femmes devraient à mon avis cesser de se considérer comme les objets des hommes.
Par exemple en cessant de faire de la chirurgie esthétique non réparatrice, en assumant leur pilosité comme les grand-mères, en ne se laissant pas pousser les cheveux au-delà du carré ou plus simplement en ayant les cheveux courts comme la plupart des vieilles femmes et enfin en ne se maquillant pas. On se rappelle des lois interdisant le port du pantalon pour les femmes au 19ème siècle ou le droit pour les femmes de chevaucher un cheval comme un homme et non plus en amazone (amazone qui est aussi une prostituée en voiture en argot). Quand les femmes comprendront qu’elles ne sont pas soumises aux hommes, c’est-à-dire des objets, jusque dans le mariage où certaines se considèrent comme le trophée de leur mari, peut être seront-elles moins méprisables.
Les homosexuels ont longtemps aussi été méprisés par la société moderne car proche de la nature car adoptant les attitudes des femmes dans leur sexualité. Ne parlons pas des étrangers à peine civilisés pour l’homme blanc. Alors une femme avec un étranger c’est le summum de l’animalité, et copulant avec un animal c’est encore pire.
Concernant l’échangisme, les femmes sont là encore considérées comme des objets accessibles à tous, en s’offrant à tous les plaisirs elles versent encore une fois dans l’animalité.
Pour éviter que toutes les femmes ne soient toutes considérées comme des putes et des salopes, je pense qu’un premier pas serait de ne montrer dans les vidéos pornographiques que des femmes copulant avec leur partenaire officiel attitré dans la vie courante, leur compagnon ou leur mari.
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