Ces termes ont leur traduction dans tous les pays chrétiens et n’existent pas dans les pays bouddhistes.Ceci est dû au jugement de tous par tous favorisé par les religions chrétiennes en dépit de ce qui est préconisé dans la bible.
Pour éviter que les femmes ne souffrent plus longtemps de ces insultes qui les dévalorisent dans leur ensemble alors que seules les hystériques devraient en être victime pourquoi ne pas :
1 bannir ces termes des dictionnaires et il est même surprenant que les académiciens les y firent entrer.
2 criminaliser ce type d’injures lorsqu’elles sont proférer en public, et notamment à l’école ou dans la rue de la part d’hommes qui sont eux même des putes et des salopes. Cette criminalisation pourrait consister en un procès verbal pour dénigrement humiliation et stigmatisation d’un être humain et sanctionner le contrevenant à une sanction financière à hauteur de 10 pour cent de son revenu….
Quand on sait qu’au japon et au sein d’autres pays à majorité bouddhiste l’injure la plus blessante est « tu es bête !!! », et que même le terme geisha n’est pas considéré comme une insulte étant donné le raffinement l’érudition et la grande maîtrise de tous les arts des femmes qui vendent leur corps, je pense qu’il serait nécessaire de nous inspirer de cette religion afin de modifier l’inconscient collectif vis à vis de la perception des femmes dans leur ensemble. On pourrait également s’inspirer du japon pour rouvrir des bordels en europe et en france les femmes qui y travaillant recevant une instruction parallèlement à leur activité triviale digne des plus cultivés des hommes et de manière pluridisciplinaire (psycho, socio, droit, économie, psychanalyse, informatique, architecture, dessin, histoire, peinture, photographie, poésie …) afin qu’elles n’exercent ce métier de geisha que de manière temporaire et qu’elles puissent se spécialiser et être diplômées dans le secteur qui les motivera le plus. Ces bordels seraient gérer par l’état qui assurerait le bien-être psycho-affectif et intellectuel de ces femmes de prime abord en détresse. Cela permettrait aussi d’éradiquer la traite des femmes et de réduire les revenus de la mafia ainsi que le blanchiment d’argent.