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Billet de blog 16 avril 2024

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AU VIOL CITOYENS DEUXIÈME PARTIE mis à jour février 2025

J'ai été obligé de scinder en deux partie mon livre "au viol citoyens" car jugé trop long par le robot mediapart mis à jour février 2025

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Chapitre 6 : La Mongolie : personae non grata

Je suis arrivé en Mongolie le 22 juillet 2003 en train depuis Pékin à Oulan Bator.

Là en deux semaines, je me suis accroché à trois reprises avec des mongols. Une fois parce que je ne traversais pas au passage piéton, une autre fois parce que j'ai été bousculé dans la rue et encore une fois parce qu’un mongol m’était passé devant dans un magasin, chose dont j’avais coutume depuis l’Australie. Cependant c’est la première fois que des autochtones asiatiques se mettaient à me harceler.

Par contre, c’est devenu plus sérieux lorsque j’ai été passé à tabac par trois mongols dans les escaliers de ma guesthouse vers 22h00 à Oulan Bator durant mon séjour. Je m’en suis tiré avec le coccyx fêlé, et ils ne m’ont rien dérobé, ce qui fait que je n’ai toujours pas compris, même aujourd’hui, l’objet de cette agression. Cependant ma réaction ne se fit pas attendre et j’allais en boitant le lendemain au premier cybercafé que je connaissais, pour y passer mon temps sur des jeux vidéo, afin d'écrire à ma sœur que les plus grands pédophiles de la planète sont les prêtres catholiques. J’aurai pu dire des députés et les membres des gouvernements internationaux, mais je ne le fis pas car j’avais l’espoir de refaire ma vie en Asie. J’appris plus tard que cela fit son effet puisque 4000 prêtres aux USA avaient été jugés et incarcérés pour pédophilie, sans compter les affaires dévoilées en Europe.

Dès mon arrivée en Mongolie, j’avais installé mon logiciel espion de saisie clavier dans les différents cybercafés de la capitale que fréquentaient les touristes. Malheureusement je n’étais pas très discret dans mon empressement, car je n’avais qu’un visa de 1 mois, et je changeais plusieurs fois d’ordinateurs au cours d’une même session. Les mongols sont plus malins que les cambodgiens car ils trouvèrent mon logiciel espion -ce qui explique peut-être mon passage à tabac ! ! !-. Du coup je n’ai rien appris de plus sur les projets des gouvernements français et anglo-saxons. Je passais alors tout mon temps à jouer à GTA sur PC dans un cyber-café. Je fis une tentative pour visiter pendant quelques jours l’arrière-pays mais du fait qu’il était désertique je revins à Oulan Bator au bout de deux jours. J’ignore si j’ai copulé avec un cheval comme on me l’a dit plus tard, mais le fait est qu’il y en avait beaucoup en Mongolie.

Je me rappelle par contre avoir partagé ma chambre dans un guesthouse de Oulan Bator, avec une maquilleuse de la télévision australienne et un australien qui avait la jambe dans le plâtre. Après coup –en 2004- j’ai appris que mes harceleurs avaient eu des occasions de m’habiller en femme avant de me violer. Si cela a vraiment été le cas je crois que cette maquilleuse n’était pas là par hasard.

Je suis retourné en Chine le 23 août 2003 pour visiter la grande muraille de Chine et les soldats de terre cuite de Xi An. Je suis resté bloqué a Xi An jusqu’au 25 septembre car je ne recevais plus d’argent de mes parents. Cela ne fut donc pas de tout repos. Je suis en effet resté sans presque rien manger pendant 2 semaines. Je crois que c’était le meilleur moyen pour les autorités françaises de me fixer à résidence, dans ce cas-là une auberge de jeunesse, afin de me violer à loisir et accessoirement je pense de me faire copuler avec une gamine de 8 ans (ce que j’ai appris en 2005 à Paris), chose dont je n’ai pas le souvenir étant donné que c’était sous scopolamine et sous hypnose (Je n’ai appris cela de la part de mes harceleurs qu’en avril 2004 avant de quitter l’Asie en catastrophe, et la nature de la drogue utilisée en 2025). Le besoin de mes harceleurs de me salir devenait prégnant, voire urgent vu le nombre de soutiens que j’avais, et la fabrication de vidéos controversées sur moi était le meilleur moyen d’y parvenir.

Je précise que je n’ai toujours pas vu de vidéo de moi encore aujourd’hui, mais en 2004 les personnes qui me harcelaient, m’ont fait savoir à une terrasse de café, que je pourrais voir ce que j’avais subi depuis 2003 sur le site www.cowlist.com. J’y ai bien vu une occidentale en train de se taper un âne, un gang bang avec des blacks, ou un barbu en train de se taper une gamine non nubile, mais je ne trouvais aucune vidéo de moi. C’est là que j’ai compris que ces vidéos que j’avais vues, étaient en fait des exemples de ce que j’avais subi. J’étais effondré. En même temps, j’ai appris que j’étais violé régulièrement depuis Xi An, ce qui me poussa à rentrer en Europe en avril 2004, car je ne m’étais rendu compte de rien, et aussi parce que des individus m’ont annoncé qu’ils avaient à leur disposition une nouvelle drogue du viol qui leur permettait de prostituer n’importe qui, sans que la victime ne s’en rende compte.

Je suis donc resté en septembre 2003 à Xi An 3 semaines dont 2 sans manger, soumis la nuit à tous les fantasmes pourris de mes harceleurs. Quand le virement de mes parents arriva le 25 septembre 2003 j’ai fui à Hong-Kong. Je comptais n’y rester qu’une semaine, mais je fus contraint vu le niveau de vie dans cette province d’aller à Macao.

Je vais raconter maintenant comment je me suis débrouillé pour survivre sans revenu à Macao.

Chapitre 7 : Hong Kong puis Macao la fin de la démocratie

Je suis arrivé à Hong Kong le 25 septembre 2003, par la frontière terrestre et vu les prix je quittais aussitôt cette province en prenant un ferry pour Macao. Pendant cette traversée en bateau, j’ai été insulté par un anglo-saxon portant un t-shirt sur lequel un poulet en cartoon était dessiné, avec l'inscription « chock the chicken », qui a déclaré à la cantonade « fuck the shemal ». Je ne dis rien car il n’était pas isolé. Une heure après j'étais arrivé et sur les conseils de l'office de tourisme macanais, j'ai aménagé dans un hôtel du centre touristique, abordable mais un peu malfamé. Là tout se passait bien et je décidais de rester une semaine ou deux le temps de faire le tour de la ville.

Malheureusement après une semaine ma carte bancaire expira et j'appelais mes parents pour qu'ils m'envoient une nouvelle CB en poste restante. D’ailleurs je ne pouvais plus faire de retrait depuis quelques jours avec l'ancienne CB lorsque celle-ci était encore valide, pour cause de découvert. J’ai donc résidé dans cet hôtel au sein duquel je sympathisais sommairement avec 2 français de 35 et 55 ans arrivés peu après moi, et qui travaillaient pour France 5, chaîne pour laquelle ils réalisaient un reportage sur les macanais de souche. Ils avaient en effet une caméra de télévision.

Pour ne pas rester affamé je leur proposais de me donner 10 dollars en échange d'un disque dur de PC neuf, que j'avais acquis au Cambodge. Ils acceptèrent et j’ai ainsi eu la possibilité de continuer à manger et à aller sur internet pendant 1 semaine. Ces deux individus plus tard ont parlé à une occasion de quelqu'un « d'intelligent mais pas fort » dans la rue lorsque je les croisais. Je ne sais pourquoi j’ai pris cette remarque pour moi.

J’ai reçu rapidement ma nouvelle CB mais aucun versement n'avait été effectué par mes parents sur mon compte, ce qui fait que j'étais toujours démuni. J'appelais mes parents en PCV qui m’ont certifié avoir donné un chèque à ma sœur pour le porter à la poste, ma banque à l'époque.

J'ai attendu comme cela pendant 3 semaines, qui me parurent une éternité, car, en effet je ne mangeais que tous les deux ou trois jours, et j'étais violé toutes les nuits sans le savoir.

Pour manger c'était simple : j'allais dans l'un des palaces de Macao, à la piscine plus exactement où les résidents notaient leur nom et numéro de chambre sur un formulaire accessible à tous, formalité obligatoire avant de prendre une serviette et un transat au bord de la piscine. Je repérais donc une identité occidentale et son numéro de chambre tous les deux jours en moyenne, puis j'allais soit à la boutique sandwich, soit le plus souvent dans l'un des restaurants les plus chers du palace en question, -car quitte à voler autant prendre des risques pour des choses qui ne sont pas sans valeur-, afin de faire un repas complet au menu ou à la carte, en mettant au moment de l'addition le nom et le numéro de chambre du client repéré au préalable. Il ne me restait plus qu'à signer et l'affaire était dans le sac. Tout se passa tranquillement pendant 2 semaines jusqu'au jour où j’ai été interpellé par un serveur sous une des identités que j'avais usurpées. Je fis mine de dire qu'il y avait confusion mais ce serveur me demanda de rester au bar lounge du palace, pendant qu'il allait vérifier mon identité à la réception. Bien sûre je n'ai pas attendu et je pris la plus discrète des nombreuses portes de sortie pour partir en courant. Après cela je recommençais à voler dans les supérettes, et je vidais aussi les verres -je n’avais pas d’eau potable- et coupes de cacahuètes des tables abandonnées dans différentes boites de nuit dont l’entrée était gratuite. J'allais également au Starbuck vider les carafes de lait en libre accès.

Par la suite, des américains en Thaïlande en 2004 m'ont dit que j'avais fait la pute habillée en femme à Macao. Je n’ai compris qu’à partir du moment où j’ai pu faire le lien avec la drogue du viol et l'hypnose, plus tard avant de quitter précipitamment la Thaïlande.

Cependant j’ai eu du mal à croire à ces fadaises jusqu’en 2006. En effet, j’étais complètement démuni et affamé à Macao, et je ne connaissais personne à part les deux français cameramans de TV5, dont je me méfiais. En conséquence, comment aurai-je pu acheter une perruque, une robe, des chaussures à talon, et du maquillage pour me travestir. Il aurait aussi fallu que je me rase les jambes, ce que je n’ai jamais fait. En conséquence, si on m'a prostitué à Macao c’était sous hypnose. Ceci dit je comprends tout à fait, l’aspect ridicule d’un homme en jupe avec des poils aux jambes.

Peu de temps après avoir été repéré dans le palace, l'hôtel ou je résidais me mit dehors en gardant mes bagages, car je ne pouvais pas les payer. La situation devenait critique, mais je ne désespérais pas de voir arriver un versement sur mon compte postal de la part de mes parents. J'allais donc le soir dormir sur l'unique plage de Macao, et la journée j'allais sur internet gratuitement à la médiathèque ou lorsque celle-ci était fermée le week-end, je piratais un des ordinateurs de la bourse de Macao en accès libre qui affichaient normalement l'évolution des cours de la bourse en direct.

Cependant je suis sûr, vu mon état durant cette période, que j'ai été violé avant d'être mis à la porte de mon hôtel, pendant plusieurs semaines toutes les nuits et toute la nuit sous hypnose et sous drogue du viol. Je devenais en effet agressif, je voyais des men in black de la CIA partout, ce qui m'effrayait par dessus tout (alors que je pense aujourd’hui qu’ils étaient là pour éviter que je ne sois enlevé et prostitué sous hypnose). Puis un jour j'ai appelé mes parents en PCV pour leur dire que j'allais me défenestrer du haut d'une tour, tellement j'étais dans un délire de persécution. Finalement, une fois arrivée en haut de la tour, je me suis endormi en plein jour à même le sol pendant 4 heures, preuve que mes nuits étaient mouvementées, mais je l'ignorais. J'avais en fait surtout besoin de dormir, et c'est le manque de sommeil qui me rendait fou probablement. Un autre jour, je me suis endormi dans un restaurant d’une grande chaîne de hamburger en plein jour toujours.

Quand le virement arriva cela faisait une semaine que je ne mangeais que des cacahuètes et que je dormais sur la plage. Je devenais enragé. Après avoir retiré un peu d'argent, j’ai mangé, j’ai payé l'hôtel, récupéré mes bagages, et j’ai pris un billet d'avion pour les Philippines toujours en train de fuir mes inquisiteurs pervers sans limite ce qui est un pléonasme.

J’ai quitté Macao le 04 novembre 2003 sans aucun regret et soulagé.

Chapitre 8 : Les philippines les îles du diable

J’ai pris l'avion à Macao le 04 novembre 2003 pour aller aux Philippines. Je suis arrivé à Manille mais je ne me souviens plus très bien de mon parcours à part Manille et Cebu, bien que j'aie dû faire au moins 4 îles différentes. Tout ce que je sais c'est que mes persécuteurs, qui ne me harcelaient plus, dès lors qu’ils me violaient à mon insu, ne m'ont pas lâché comme ça. Particularité aux Philippines, à chaque fois qu’un viol se produisait c'est à dire 2 à 3 fois par semaine, les philippinos allumaient des feux d'artifice ou des pétards, dans le quartier de l’hôtel où je résidais… Je n’ai réalisé cela qu’en 2004.

Par ailleurs, les philippinos m'appelaient dans la rue ou aux terrasses de café 666, jésus-christ, le schizophrène (schizoide), ou le travello (shemal), après le spooky freak en Thaïlande de la part d'anglais, d'américains et d'australiens uniquement (le monstre effrayant) cela me changeait.

Par ailleurs, je n'étais toujours pas sûr d’avoir été spolié de mon projet de site de rencontre en Thaïlande en 2002. Quelqu'un avait en effet très bien pu avoir aussi l'idée en 2002. Donc j’ai décidé de dévoiler une autre de mes idées à un inconnu, en l’occurrence à un expatrié norvégien au bar de mon hôtel à Cebu : celle d'un véhicule automatique avec moteur arrière entraînant la roue arrière motrice, dont les deux roues à l'avant directrices auraient permis au pilote de se pencher dans les virages, comme une moto. J’ai eu cette idée dès que je suis arrivé en Thaïlande en voyant l’instabilité des tuk-tuk. Au départ, je destinais cette innovation aux motards des forces de l'ordre. En effet rien ne m'attristait plus que d'apprendre la mort d'un motard de la police pendant son service. Pour information ce sont des CRS motards qui m'ont fait passés mon premier permis de conduire (le AL 125), au salon de la moto en novembre 1987… J'ai depuis beaucoup de respect pour les forces de l'ordre à moto, qui sont motards avant d'être policiers.… Je souhaitais donc améliorer leur sécurité.

C’est en 2008 soit 4 ans après le piège, que Piaggio a sorti son mp3 en correspondance parfaite avec ce que j'avais déclaré. Voilà donc pourquoi j’ai été harcelé je pense, et j’ai pu avoir la certitude que l’idée des sites de rencontre n’étaient pas sortis du cerveau de simoncini ou d’autres propriétaires de ce type de site en 2002. D’ailleurs si je m’étais cru spolié sans que cela soit vrai, c’est-à-dire si je délirais, j’aurai agressé depuis longtemps ce connard de simoncini, à l’instar de n’importe quel érotomane équivalent amoureux des inventeurs qui se croient spoliés à tort.

Donc voilà à quoi servent les services secrets. Mais ce n'étaient pas les seules idées que je me suis fait voler, surtout avec l'hypnose ; en effet les services de renseignement sont arrivés à m’en extorquer d’autres. Un exemple : je n'ai jamais dévoilé à l'état de veille, que le fait de peindre les taxis aux couleurs de la police pourrait augmenter l'insécurité des délinquants. J'ignore en quelle année cette idée fut appliquée à New York mais j'ai vu une photo en 2010 dans un magazine, de taxi peint en jaune à l'arrière et aux couleurs de la police à l'avant. Cette idée m’a sûrement été extorquée sous hypnose et drogue du viol, mais j'ignore quand.

Une autre idée : les lampadaires avec détecteur de présence pour les lampadaires dans les rues des villes, à l’instar des détecteurs utilisés dans certaines toilettes de bar ou de café. Idée périmée puisque les Leds sont apparus depuis et font faire des économies aux villes sans jamais éteindre l'éclairage public ; je pense que cette idée m'a été extorquée en 2011 sous hypnose pendant mon sommeil, cependant, certains se sont lancés dans l'aventure, sûrement des pédophiles, parce que j’ai bien réalisé que mes harceleurs étaient tous des pédophiles.

Créatif je le suis. Il n'y a qu'à voir mon portail internet pour en juger : une revue de presse des grands quotidiens nationaux, une rubrique boycotte d'entreprises, une rubrique concernant les personnalités entravées, une autre pour dénoncer celles qui sont dangereuses, une rubrique pour dénoncer les harceleurs, une rubrique pour travailler au black, une bibliothèque de livres d’occasion, une galerie d'art, une rubrique communautaire, un site de rencontre… J'avais aussi pour projet d'étendre mon portail avec une rubrique leboncoin. Mais certains gouvernements n’avaient décidément pas envie que je gagne de l'argent, je ne comprends toujours pas pourquoi, bien que, c’est vrai, cela aurait pu me rendre moins vulnérable, donc moins victime de leurs conneries.

Donc aux Philippines j’ai visité différentes îles. Je bougeais en permanence, car je me sentais toujours persécuté, même si j'ignorais que cela se faisait par des viols la nuit à mon insu.

Sur les t-shirts de certains philippinos que je croisais, je pouvais lire en anglais "respect yourself" ou "kill the pig", mais je ne comprenais pas que cela m'était destiné. J’ai même vu en Thaïlande en 2004 des échoppes vendre un t-shirt parmi d'autres avec le dessin d'un homme en bâton sodomisé par un cheval dans un lit conformément avec les déclarations moqueuses de certains pourris anglo-saxons. Je n’ai pas acheté ce t-shirt, mais j'ai eu la conviction que j'avais en effet peut-être pu copuler avec un équidé sous scopolamine et hypnose.

Concernant les philippines pour finir, je ne restais pas dans ce pays chrétien dont la mentalité de ce fait est déplorable. Le 13 décembre 2003 j’ai rallié la Thaïlande, pays que j’ai préféré pour la gentillesse de son peuple et l’affabilité du roi, une culture bouddhiste tolérante, et des filles parmi les plus belles du monde et libérées, car faire l'amour même en payant, et retrouver ma compagne de Phuket, devenait une priorité pour garder mon équilibre mental et ne pas disjoncter, car être violé la nuit me rendait agressif, et j'ai même insulté certains connards qui n’ont pas bronché, avant de revenir à regret en Europe en avril 2004.

Chapitre 9 : 2004 : Changement radical : le suicide ou le meurtre.

Après les philippines je suis retourné en Thaïlande du 13 décembre 2003 au 9 janvier 2004.

Dans un premier temps tout se passait bien, je n'étais ni harcelé ni violé enfin je crois. En effet je cherchais une maison pour faire un guesthouse et un restaurant de cuisine française ainsi qu’un magasin d'informatique, pour me sustenter en attendant de créer un site de rencontre communautaire. Donc je bougeais beaucoup uniquement dans le nord du pays. Je ne trouvais toujours personne pour m’aider.

Je suis parti au Laos du 09 janvier 2004 au 13 février 2004 pour renouveler mon visa Thaïlandais. C'est là que les choses recommencèrent à se gâter. En effet je suis resté à Ventiane, la capitale, et je crois que j'ai à nouveau été violé certaines nuits toujours sans en avoir de souvenir.

Le 13 février je fus de retour à Chiang Mai en Thaïlande, afin de m’y établir définitivement, du moins je le pensais, en abandonnant partiellement le projet de guesthouse, et de restaurant pour finalement, créer seul, mon site internet dans des cybercafés : www.bystander-effect.com.

En effet, C’est au cours de mes recherches pour m’établir que des français m’ont annoncés que si j’ouvrais un restaurant, des cafards et des rats y seraient lâchés, que si j’ouvrais un hôtel, il serait infesté de puces de lit (ils ont bien dit puce et non punaise), et que concernant mon cybercafé ils bloqueraient le réseau informatique et que donc mes ordinateurs rameraient. Donc je n’avais pas d’autre choix que de créer un site internet, et j’ai donc acheté des manuels de programmation en anglais. J’ai mis du temps mais j’ai fini par y arriver.

Sur la première page de mon site internet en bas en tout petit j'ai au début signé « inc. Credo Quia Absurdum Group » en référence aux viols que j'ai subis à mon insu, et que des pervers venaient me raconter. Puis j’ai signé mon site « inc.  Zero Technology Group » (ce qui inspira je pense le nom de coca zéro, ou le fabricant de moto zéro ingeneer), pour finir par mettre « inc. Kill Perversity Group ».

Alors qu’au début, je logeais dans un logement à la Thaïlandaise : eau froide, toilette turc et cafards, dans lequel je ne pense pas avoir été violé, j'ai aménagé au bout d'un mois dans un hôtel pour touristes occidentaux plus confortable. Là, j’ai été de nouveau violé, et parfois toute la nuit. Je ne dormais plus que 4 nuits pas semaines, en faisant des nuits blanches malgré moi, notamment les nuits succédant aux nuits de viol, car mon inconscient connaissait le danger si je m'endormais. Ces nuits de veille n’étaient pas volontaires, et donc j’ai demandé un somnifère dans une pharmacie. On me donna de la benzodiazépine en comprimé. C'est du fait de ce souvenir, que j’ai été persuadé pendant une longue période, que la drogue du viol qui fonctionne avec l'hypnose était cette molécule. Je n'ignorais plus que j'étais violé car j'étais agressif et épuisé en permanence le jour, et parce que des anglo-saxons (des américains je pense) m’en informaient quotidiennement à cette époque, en venant se foutre de moi. Certaines nuits alors que je pensais dormir, j'avais du mal à croire ce que j'entendais aux terrasses de café le lendemain, à savoir que j’avais fait n’importe quoi avec mon cul.

En outre j’ai été percuté volontairement par des thaïlandais en voiture lorsque je roulais une nuit en scooter pour rentrer chez moi. Je suis tombé à terre, mais je n’ai pas eu de séquelle.

Je m'étais aussi attaché à une prostituée à Chiang Maï et les américains sont venus me suggérer -toujours à côté de moi à une terrasse de café- que c'est elle qui ouvrait la porte la nuit à mes agresseurs, et que je devais la poignarder avec le couteau que j'avais toujours sur moi pour prouver que j’étais un Homme. En effet ils m’ont dit que j'avais été agressé un million de fois depuis 4 ans, sans jamais me servir de mon couteau, et que donc je n'étais qu’une sale pouffiasse incapable de réagir comme un Homme digne de ce nom. J'avais une opportunité unique pour changer la donne, en poignardant ma copine thaïe, ce qui m’éviterait peut-être, d’être prostitué sous drogue du viol et hypnose. Ils me promirent alors que je toucherais 1 million de dollars par années d'enfermement que je passerais en Thaïlande.

C'est exactement la même sauce que les autorités françaises me resservir le 06 juin 2006 (666), le 12 juin 2006 (6666) et également le 06 juin 2012 (toujours 6666) durant le mandat Hollande, à Montauban, en me disant que précisément ces jours-là, le diable allait encore frapper, si je ne poignardais pas mon père, et en me menaçant à nouveau d’être prostitué en Asie si je ne passais pas à l’acte. J’étais pour ces individus décidément une femelle qui acceptait tout, et ils revinrent à la charge en me disant que je passais déjà pour un schizophrène vu ce que j'avais fait en Asie. Ils me promettaient une prime de 10 millions d'euros par année d'internement en psychiatrie que je passerais en France ; je deviendrais ainsi le schizophrène le plus riche du monde...

Donc en Thaïlande en 2004, afin d’éviter de poignarder ma copine thaïe, je commençais une longue série de nuits blanches, les yeux fermés, à faire semblant de dormir, et je changeais d'hôtel toutes les nuits. A plusieurs reprises, j'ai entendu frapper à la porte de ma chambre, entre 3h et 4h du matin, mais ma copine dormait profondément. Effrayé, je n'ouvrais pas la porte. Mais j'avais la preuve que ma copine ne faisait rien contre moi.

En 2005 et 2006 à mon retour en France, pareil je fis des nuits blanches et rebelote quelqu’un, (qui d’autre que mon père), frappait à ma porte ou triturait bruyamment la serrure pendant que je faisais semblant de dormir toujours avant l’aube. J'ai essayé alors toutes les techniques pour ne pas être réveillé en pleine nuit : musique de fond assez forte pour ne pas entendre d’autre bruit que la musique. J’ai installé ensuite une webcam sur mon ordinateur comme en 2000 mais cette fois pour me filmer la nuit, mais mes violeurs visiblement avaient le mot de passe de mon PC, ou me le demandaient sous hypnose, pour effacer les fichiers compromettants. Ensuite je n’ai dormi que le jour pour rester éveillé la nuit. Tout cela n’a fonctionné qu'à court terme car cela m'épuisait et je finissais toujours par m’endormir la nuit pour atteindre le sommeil profond qu’on appelle également sommeil paradoxal, et à partir de là par être violé.

Je reviens à la Thaïlande. Peu avant de quitter la Thaïlande en avril 2004, unique et dernière solution face aux menaces que je subissais, je me suis rendu à Bangkok. Là je dormais dans des hôtels où je n'avais pas l'habitude d'aller. Dans certains d’entre eux, souvent en début de soirée j'entendais dans les chambres à côté de la mienne, des fou-rires de groupes d'hommes et de femmes, qui s’écriaient bruyamment : "not with a donkey it's amazing ahahahahah" et d’autres exclamations du même acabit. Cela me rendait fou et j'aurai tué pour voir ces gens et les vidéos que je postulais qu'ils regardaient. Aucun doute il s'agissait de moi dont ils parlaient, mais quand je sortais dans les couloirs de l’hôtel, prêt à en découdre les rires s'arrêtaient et c'était le silence. Visiblement il devait y avoir des caméras même dans les couloirs d’hôtels où ces provocations se produisaient.

Je me suis remis à installer un logiciel espion sur les ordinateurs de certains hôtels et j’ai enfin trouvé l’un des sites internet qui était utilisé pour répandre sur la toile les viols immondes que je continuais de subir : il s’agissait de www.foolmud.com ou www.mudfool.com je ne me souviens plus. J’y ai vu des photos de moi sur la page d’accueil avant que la page ne disparaisse pour devenir blanche, après avoir cliqué sur un lien. J’ai fouillé dans le cache du PC concerné sans rien pouvoir sauvegarder d’intéressant sur ma clé USB.

J’ai quitté la Thaïlande le 28 avril 2004, après avoir réalisé mon site internet bystander-effect.com, qui était complètement opérationnel, y compris la base de données. J’avais d’ailleurs ouvert un compte en banque local à Chiang Maï, dont le RIB et l’IBAN étaient sur mon site, ce qui était vital car mes problèmes d’argent avaient tendances à se renouveler à chaque fin de moi, ce qui fait que je ne mangeais que du riz pendant une semaine régulièrement chaque fin de mois depuis mon retour en Thaïlande. Je n’avais pas le choix, il fallait que je quitte la Thaïlande. Les pervers me mettaient toujours face à des dilemmes perdant-perdant. Soit je quittais l’asie pour me retrouver en psychiatrie en france soit je serais enlevé et prostitué. Soit en 2006 j’agressais mon père soit j’étais enlevé et prostitué en Asie. Comme tous les malades mentaux les pervers au gouvernement répètent les mêmes menaces les mêmes comportements, et les mêmes travers.

J’ai dû prendre l’avion dégoûté pour l’europe à Bangkok, dans lequel j’ai pleuré, car j’avais le pressentiment que mes problèmes, comme si je n’avais pas assez souffert, ne faisaient que commencer, d'autant plus que des français m'avaient juré que je finirais en prison une fois de retour en France.… Je ne comprenais pas pourquoi, vu que j'avais toujours respecté la loi, mais je ne pouvais m’empêcher de les croire, comme de croire à tout ce que j’avais subi, sans arriver à m’en persuader (comme le fait que des prostitués avaient été inséminées avec mon sperme, afin de mettre sur le trottoir mes enfants en bas-âge), mais outre ce type de torture mentale à laquelle j’étais soumis, j’essayais de me rappeler tout ce que j'avais écrit sur internet dans mes mails à ma famille, sans compter les emails écrient à ma place et en mon nom (ce que j’ai appris en 2005), par les envoyés de l’Elysée en Asie -autre torture mentale après les tortures physiques sous hypnose depuis fin 2003-.

Par mesure de précaution, j’ai pris un billet d'avion pour la Hollande : Amsterdam. J’ai pu constater que j’étais toujours violé dans ce nouveau pays. En effet lorsque j’allais boire mon café le matin dans différents bars chaque jour, je pouvais voir des groupes de jeunes qui exhibaient des godemichets géants en plastique au barman, non loin de moi, en rigolant. C’est à ce moment que j’ai compris que mes violeurs me montraient le matin par qui et comment j’avais été violenté la nuit précédente. Après avoir été violé en hollande j’ai fui au Québec où je comptais me faire interner en psychiatrie pour perte de mémoire en me faisant passer pour un québécois, la véritable cause étant un réel épuisement physique et moral. Ce projet fut interrompu par l'office d'immigration car je n'avais pas de bagage, je les avais en effet laissés en consigne à Amsterdam. Je fus interné dans un centre de rétention pour migrants illégaux, puis au bout de deux jours de peur d'être à nouveau violé sous hypnose, je suis reparti pour Amsterdam, sous contrainte, c’est à dire escorté et menotté jusqu’à l'avion.

Les hollandais m’ont permis de confirmer le sentiment que j’avais concernant le fait que j’évitais de me battre depuis 2001. En effet, j'ai eu l'occasion d'être pris à partie par des hollandais dans la rue, et je me suis engagé dans des pugilats courts mais efficaces. D'ailleurs un rien me faisait péter les plombs, car je n’avais plus de copine pour me soutenir, et donc j’étais de plus en plus agressif. Le fait est que, pour les trois abrutis solitaires qui m’ont provoqué dans ce pays, et que j’ai donc démonté en combat singulier, j’ai subi des représailles incroyables, toujours sur le mode de l’agression physique, par des groupes d’individus plus costauds, et plus entraînés en termes d'arts martiaux, voir aussi plus fous, ce qui fait que je perdais le combat. J’ai réalisé que c’est aussi grâce à ce système de représailles qui avait été mis en place à Paris, que je préférais esquiver les provocations verbales qu’on me faisait subir, ceci tant qu’on ne me touchait pas. Sinon je me servais de mes poings.

Devant cette situation (viols, pugilats...) ma mère et ma soeur sont venues me rencontrer en hollande, et je suis rentré en france peu de temps après leur retour à paris, où dès mon arrivée, je demandais à être interné en psychiatrie pour cause d'état de choc post traumatique. J’ai pu enfin dormir, même si je regrette que ma volonté d’être hospitalisé à ma demande n’a pas été respecté, puisque le docteur Foucault avec qui j’ai eu un entretien, s’est entendu avec ma sœur pour que celle-ci signe un internement à la demande d’un tiers, ce qui change tout dans le parcours psychiatrique d’un patient.

Au bout de deux semaines j’ai été libéré, et j’ai décidé d'écrire des articles sur mon site internet, afin de tenter de faire une analyse de la perversité et des pervers et de leur arme favorite le harcèlement, articles qui je l’espérais, trouveraient peut-être un éditeur pour leur publication en format papier. J’ai également créé une association avec ma mère -l'association www.christophe-renard.org-, pour informer les gens sur l’existence d’une drogue du viol qui fonctionne avec l’hypnose, dénoncer les pervers au pouvoir, et expliquer les mécanismes du harcèlement. J’en ai profité pour souscrire une assurance vie, car j'étais en effet persuadé que Chirac et Raffarin allaient continuer d’essayer de me tuer comme en Thaïlande, où je manquais de percuter de face en moto une voiture qui doublait dans un virage sur une départementale. Un sujet du roi de Thaïlande en Volvo, qui s'interposa au dernier moment m'évita un accident grave pour ne pas dire la mort. Depuis Paris en 2001, on me menaçait de mort sans cesse, ce qui fait qu’après trois tentatives de meurtres en 4 ans (je m’étais fait deux fois renversé par des voitures) et 1 passage à tabac, sans compter les viols subis, je suis rentré en état de choc post-traumatique en france.

Chapitre 10 : De retour à la maison pour vivre l'enfer

Après cette dernière hospitalisation, je suis une fois de plus rentré chez mes parents où je regardais comme à mon retour des Pays-Bas avec assiduité la télévision. Je fus étonné dès le début, de voir que Cécile de Menibus amoureuse de moi en 1ère G au lycée Saint Gabriel de Bagneux, travaillait dans l’émission « La méthode Cauet » comme présentatrice principale avec Cauet. Mais j'ai appris aussi que caroline Coiraton amoureuse de moi en 2ème année de DEUG de psycho était devenu productrice de l'émission « Pékin express ». J'ai appris également que David Getta, que je ne connaissais pas, organisait des soirées à Ibiza qu'il nommait « fuck me i'm famous ».

Malgré tout, j’ai trouvé la force de créer les statuts de mon portail internet en tant qu’auto-entrepreneur. Ce qui ne me rapporta rien financièrement.

De plus des passants dans la rue se plaisaient à parler d’un type qui avait copulé avec sa mère et qui donc devait tuer son père (conseil de policier comme le père du petit Gregory qui a fusillé son beau-frère sur les conseils des gendarmes) et se crever les yeux comme oedipe. -entendre ça une fois dans la rue c’est anodin mais à plusieurs reprises par des individus différents c’est ça la manipulation-. Ou que c’était mon père qui avait le pouvoir de décider des viols que je subissais en accord avec la police et le gouvernement et notamment par des chiens. Que je risquais d’être enlevé et prostitué sous hypnose si je continuais d’accepter à être traité comme une femme. Ou encore que j’avais violé une fillette en Chine sous hypnose.

6 mois je crois après un tel traitement en plus des viols que je continuais de subir notamment par des chiens, je n’ai pas eu d’autre choix que de faire une grève de la faim. Ce jeûne ne dura que quelques heures car les policiers sont venus, m’ont gazé et remis entre les mains des pompiers qui m'ont emmené en psychiatrie mais cette fois pour deux mois d’hospitalisation d'office...

Cependant je patientais et en dépit de ma célébrité, je ne gagnais pas le moindre centime avec mon site internet, et personne ne tenta d’entrer en contact avec moi, pas même mes anciens amis ! ! !

Je continuais donc à être violé chez mes parents la nuit entre 2004 et 2006. Mais il me fallut plusieurs mois avant de le réaliser. La dernière réaction que j’ai eut avant d’agresser mon père, fut de prendre ma carte d'adhérent au parti socialiste. J'espérais ainsi que le gouvernement chirac arrêterait de me persécuter, car la connotation politique de ces viols durant mon sommeil ne ferait plus aucun doute. Cela ne fut pas le cas et les viols ont continué chez mes parents.

En février 2005 je me suis même réveillé avec un poil de chien entre les dents. Cela me rendit fou et pour la première fois je menaçais de mort mon père, ce qui le fit rire : je pense qu’il ignorait qu’il avait été désigné comme cible à abattre par mes persécuteurs, et je savais en outre que c’était bien lui qui me réveillait en état d'hypnose pour me remettre à des crapules perverses afin que soient organisés des viols à mon encontre.

J’ai essayé de chercher un appartement, en vain (j'étais au RSA mais j’avais quand même une caution solidaire). J’ai été aussi aux urgences d’un hôpital afin de faire rechercher des signes cliniques des viols que je subissais afin de porter plainte. Après plusieurs heures d’attente le médecin ne m’ausculta pas du tout, mais il me mit un doigt dans l’anus pour me dire qu’il n’avait rien trouvé du tout, ce qui le fit beaucoup rire, pour finir par refuser de me faire une prise de sang afin de mettre en évidence l’éventuelle présence dans mon sang de molécules suspectes.

Dans paris en 2005, certains m'appelaient désormais « superman », et ils s’amusaient beaucoup du fait que je sois violé par des chiens depuis plusieurs mois (nota bene : j'ai peur des gros chiens depuis que j'ai été mordu par un berger allemand à l'âge de 11 ans en colonie de vacance).

Par la suite des gens me montraient le matin quand je sortais de chez mes parents, les chiens avec lesquels j'avais peut-être copulé toute la nuit, souvent des dogues argentins, pour me faire délirer je pense. Cela faisait déjà longtemps que je ne croyais plus au hasard. J’ai appris qu’on m'avait fait manger des excréments en Asie et ce qui se reproduisit en france durant le règne de hollande. J’ai appris également avant d’agresser mon père que j’avais copulé avec ma mère en 2005, chez mes parents.

C'est pour toutes ces raisons, visiblement que des connards disaient que j’acceptais tout sans broncher comme une femelle. D’autre venaient me dire à des terrasses de café toujours, que Raffarin ne quitterait certainement pas son poste de premier ministre tant que je ne serais pas mort, -j’avais oublié que la mort pouvait aussi être symbolique ou sociale (en attendant de devenir physique) et donc que je pouvais être enlevé et prostitué pour longtemps en Asie sous drogue de viol et hypnose-.

J’ai pu voir aussi au cours de mes pérégrinations dans Clamart un groupe de trois chinois avec 2 français qui à mon passage ont déclaré : « he can escape by this way but you can catch him in the next street ». Cela me fit délirer quant à un éventuel enlèvement de ma personne par des chinois pendant longtemps.

Je devenais de plus en plus fou et agressif à cause du manque de sommeil et des viols, et il fallait que cela cesse, que ça éclate, mais je temporisais encore en puisant dans mes dernières ressources. Ce qui m’excédait le plus était le silence de mon père et de ma sœur alors que je savais depuis le Cambodge qu’ils avaient vu les vidéos réalisées sur moi depuis 2000.

Mes parents déménagèrent à Montauban quand mon père arriva à l'âge de la retraite. Je ne les ai pas suivis, et je suis allé en clinique à Fontenay aux Roses où, à nouveau j’ai pu faire des nuits complètes et récupérer.

Je fus éjecté de cette clinique sans raison par le psychiatre référent au bout d'un mois. J’ai trouvé alors refuge dans un hôtel pour SDF (pas cher et triste) porte de Châtillon. Là les viols reprirent maintenant je m'en rendais compte. (Nota bene : je mets toujours des préservatifs lorsque je copule avec une partenaire, mais j'ai un doute concernant cette précaution pendant mes viols. Bien sûr j'étais toujours filmé comme depuis 5 ans). J’ai profité de la présence d’un commissariat à Montrouge (92) pour tenter de porter plainte contre chirac DSK Fabius et ricard. Le brigadier m’a demandé si j’avais fait de la psychiatrie et devant ma réponse a voulu appeler l’hôpital de Villejuif. Je suis parti sans parvenir à rien faire.

Je rejoignis finalement mes parents à Montauban courant 2006. C'est là que des pervers me firent délirer sur le diable Chirac et 666 (je rappelle que je n’ai jamais lu la bible). Cette fois mon père ne pouvait plus y échapper j'allais le tuer.

Je poignardais violemment mon père le 12 juin 2006 (6666) vers 1h00 du matin, pour éviter d'être enlevé et prouver de manière complètement stupide que j'étais un Homme. J’étais à ce moment de nouveau dans un état de fatigue psychologique et physique extrême, pour finalement apprendre en mars 2020 en suisse, que l’administration de barbituriques à forte dose engendre une confusion mentale qui peut entraîner un raptus hétéro-agressif ou un suicide. Je me suis demandé alors si je n’avais pas été drogué en 2006 pour faire un passage à l’acte contre mon père, car j’étais fou de rage et mon intention était réellement de le tuer. Heureusement, il survécut. Je souhaitais un procès, mon père ne porta pas plainte et je fus hospitalisé en psychiatrie pour 2 ans et demi sans même rencontrer de juge, ce qui est illégal, avec comme traitement 8 cc de Piportil toutes les semaines, 3 comprimés de Soliant quotidien, et avec en plus du Tercian (probablement pour m’empêcher de faire une grève de la faim ! ! !). Cela fut un confinement durant lequel j’ai dormi pendant presque trois ans.

J’ai appris depuis que les neuroleptiques à haute dose donnent des AVC et des crises cardiaques et je me demande là encore si le gouvernement n'a pas tenté de me supprimer de cette façon.

Je suis sorti de l'hôpital en 2009 sous le mandat Sarkozy et je ne pense pas avoir été violé durant ses 5 années au pouvoir mais seuls ceux qui ont vu des vidéos de moi durant cette période peuvent infirmer ou confirmer mon sentiment.

A propose des barbituriques, il semblerait que cela fonctionne également sur les chiens, leur administration sur eux les rendant fous de rage voir l’affaire Elisa Pilarski, une femme enceinte tuée par le chien de son compagnon lors d’une simple promenade en forêt de Retz dans l’Aisne en 2019…. A noter que les femmes qui ont ingurgité des barbituriques comme Marilyn Monroe, retournent leur rage contre elles-mêmes et se suicident donc.

Chapitre 11 : 2009-2024 La déchéance

Les viols reprirent sous hollande, dès que j’ai voulu reprendre mes études pour obtenir mon diplôme de psychologue. Mais la situation fut surtout très difficile autour du 06 /06/2012 (6666), car j’avais le sentiment d’être violé toute la nuit, toutes les nuits à nouveau.

Cette fois la cible désignée par les autorités était un couple de jeunes voisins que je ne connaissais que de vue et que je saluais cependant ils n’avaient pas de chien. Je ne fis pas de passage à l'acte, car je savais ce qui m'attendait : une hospitalisation en asile à vie.

En fait, je pense que le gouvernement hollande a essayé de me radier de la surface de la terre. Ce qui gêne les autorités je m'en suis rendu compte, était le fait que je sois célèbre dans le monde entier. Leur but alors était de faire en sorte que je n'aie plus du tout de soutiens en salissant ma réputation, est notamment en faisant de la propagande concernant mon état de santé mentale. Ensuite les autorités avaient les mains libres pour faire de moi ce qu'elles voulaient. (mort atroce, prostitution…)

Particularité lors des viols à partir de 2013 :je pense que les autorités me donnaient des euphorisants (MDMA peut-être) pour que je sois heureux malgré tout, voir que je danse.

Au lieu de me préoccuper de ces manipulations, j’ai pris le parti d'écrire des articles sur un blogue internet via Mediapart à partir de 2013. Je me rends compte en effet que je n’ai jamais arrêté d’être manipulé depuis l’an 2000, et je me demande même si je n’ai pas été violé sous GHB entre 2000 et 2001. J’ai aussi compris que je ne pouvais pas rencontrer de célébrités, celles qui essaient de me rencontrer ou de m’aider financièrement étant tuées ou violées comme : Stromae, Muriel Robin, Dieudonné, Francis Lalanne pour les vivants, Micheal Jackson, Georges Michael, Prince, David Bowie , Witney Houston, Patrique Juvet, Terry Moïse… pour les morts. J’ai compris aussi qu’on ne m’apporterait aucune aide pour réaliser mes projets professionnels, ou de création d’entreprise depuis 20 ans, ce qui fait que je reste dans le dénuement le plus total, voir dans la détresse.

Aujourd’hui je sais que je ne peux intégrer aucun groupe ni rester avec aucune copine même si je le souhaite, excepté marité de 2015 à 2021, Fougila de 2015 à 2022, et Mireille de 2019 à 2021 : ce sont les autorités qui décident d’une rupture en montrant des vidéos de moi désavantageuses, vu que depuis 2001 les fonctionnaires de police montrent les vidéos qu’ils ont faits de moi sans vergogne à toute personne que je pourrais rencontrer ceci afin de mieux m’isoler. Concernant Mireille elle est décédée en janvier 2021 du covid et je pense que ce n’est pas fortuit. En effet elle souhaitait me léguer son appartement et ses économies dans le cas où il lui arriverait quelque chose, car elle se sentait menacée. Elle n’avait pas d’enfant. Elle est décédée avant d’avoir pu contacter son notaire. Cela rentre dans la stratégie du gouvernement de me laisser démunie financièrement et isolé socialement.

Bref je restais sage surtout parce que j’ai tellement mal supporté mon enfermement pendant plus de 2 ans que je me suis promis de ne plus rien faire qui me conduirait à nouveau à être enfermé.

J’ai déménagé à Toulouse en 2013. Là après un certain temps j’ai pu me rendre compte que j’étais violé. J’ai d’ailleurs rencontré deux ou trois fois mes voisins les plus proches, en train de promener leur chien et à chaque fois ce chien dont j’avais peur, avait des érections en me voyant. J’ai pu aussi apercevoir que ce jeune couple possédait un revolver qu’ils ont exhibé à deux reprises dans le jardin de la résidence devant ma baie vitrée. J’ai donc décidé de démménager. Après avoir changé d’appartement en 2017 (appartement qui a été incendié fin janvier 2020) ; dans lequel j’étais toujours violé, j’ai pu travailler mais uniquement pour des emplois sous qualifiés et pas longtemps. J’ai trouvé en 2019 un emploi qui correspondait à mes compétences et rémunéré 3000 euro par mois, mais bizarrement le jour de mon embauche le DRH de l’entreprise est arrivé paniqué deux heures après mon intégration, et m’a prié de quitter l’entreprise en arguant qu’il avait fait une erreur d’email. Pourtant cela faisait déjà deux heures que je travaillais et tout le monde était au courant de ma venue dans cette entreprise hautement sécurisée, pour laquelle j’avais donné un extrait de casier judiciaire.

Lorsque mon appartement a brûlé j’ai tenté de m’expatrier en Espagne, puis en Suisse, pays où j’ai été à chaque fois harcelé et menacé de mort ou d’enlèvement -pour être lobotomisé ou prostitué-, mais je n’ai pas été pas violé. J’ai quand même contacté différentes ambassades pour y trouver un abri, comme Julian Assange ; sans succès, pendant que ma sœur m’envoyait des photos d’elle en compagnie de Yannick Noah au restaurant alors qu’elle ne connaît rien au sport en général et au tennis en particulier. Elle me déclarait également avoir travaillé à matignon comme secrétaire sous le gouvernement hollande, après avoir travaillé comme traductrice au parlement européen, et surtout qu’elle connaissait personnellement Emmanuel macron. Ma mère m’a informé aussi seulement en 2023 de peur que je ne m’en prenne physiquement à ma soeur, que cette dernière avait une relation conjugale avec Emmanuel Valls. Sans commentaire.

Cependant ces voyages m’ont permis d’identifier et de voir mon clone -âgé de 17 ans en 2020-, qui n’a pas de grains de beauté comme moi, ce qui fait que je postule à l’instar du film « Rogue one », ou de cantelou sur TF1, que la police incruste mon visage à la place du sien dans des vidéos compromettantes (deep fake), à chaque fois qu’elles souhaitent me faire passer pour une personnalité déviante, devant le plus de témoins corrompus possibles qui pourront témoigner le cas échéant de mon anormalité.

Malgré tout j’ai continué à écrire sur mon blogue médiapart, du fait uniquement du stress provoqué par le harcèlement subi en suisse et en espagne et du fait des viols que j’ai continués à subir, à mon retour en france, écritures qui peuvent gêner l’état français, et pour cause, j’ai été blessé dans un accident de la circulation moins d’un mois après mon retour en france.

En effet une voiture m’a coupé la route pendant que je circulais à moto le 9 avril 2020 en plein confinement, suite à un texte où je dévoile plusieurs affaires d’états. Après 4 mois en psychiatrie (de mai à septembre 2020) car je ne parvenais plus à dormir et cela a duré trois jours, à cause de l’administration d’amphétamines à mon insu je pense, alors que j’étais hébergé chez un ami, j’ai habité dans un appartement sordide à Montauban, fournit par une association qui s’occupe des handicapés. J’ai cherché un local commercial pour avoir un siège social pour mon parti politique (créé en novembre 2020), et me présenter comme député en 2022, mais je me rends bien compte qu’en dépit du nombre important de boutiques disponibles sur Montauban, on me mettait des bâtons dans les roues. Par ailleurs je n’ai jamais perçu de dons financiers de la part des personnes qui se connectent sur le site internet du parti, en dépit de la présence de mes coordonnées bancaires sur celui-ci, comme sur tous mes autres sites web (et notamment deux sites de petites annonces).

Au mois de mars 2021 j’ai tenté de devenir journaliste indépendant auto-entrepreneur, statut qui m’aurait permis d’officialiser mon travail sur un site internet de caricature que j’ai créé (www.limpuissantdechaine.com). Je n’ai pu être journaliste mais décorateur d’intérieur puis artiste sculpteur, pour l’INSEE statut dont j’ai cessé de demander la modification à la troisième tentative et qui ne m’offrait aucune protection juridique.

J’ai encore un ultime projet d’entreprise depuis 1993 : la fabrication de réacteurs à incendie, mais j’ai vraiment encore une fois le sentiment qu’on me bloque. (www.littlelipsonfire.com)

Pour comprendre les manipulations des pervers voici l’illustration du procédé pervers concernant ma situation depuis que je suis rentré en france en 2004 : j’ai l’obligation de voir un psychiatre afin d’avoir des médicaments car je me plains d’être violé ce qui génère un syndrome dépressif chez moi – et les médicaments prescrits ne conviennent pas pour traiter une dépression-.

Ainsi les pervers provoquent un mal -générer une dépression par des viols récurrents- pour que des spécialistes bien informés des faits réels ou non, jugent que je délire et que ce mal doit être traité avec des médicaments.

Des pervers dans la même optique peuvent provoquer la faute ou le crime pour le faire punir par ceux qui sont chargés de faire respecter la loi, comme lorsque j’ai agressé mon père au couteau sous barbituriques. La question est : de quel crime vais-je être accusé depuis que mon clone, fait n’importe quoi, avec n’importe qui, n’importe où depuis 2018 ? Surtout les services de renseignement ont un fourgon comme le mien à leur disposition, ainsi qu’une moto comme la mienne, afin de parfaire le film qu’ils tournent sur moi dans toutes les situations. Je les soupçonne même d’avoir dupliqué la carte SIM de mon téléphone afin d’harceler des personnes que j’ai pu rencontrer ou usurper ma voix, voir envoyer des SMS à ma place à mes contacts.

Je sais que je ne me rends pas systématiquement compte le matin, d’un viol dans la nuit, car la police peut me donner des antalgiques ou anti douleurs puissants après m’avoir violé. L’effet des antalgiques étant limités dans le temps, les douleurs anales apparaissent souvent entre douze et seize heures après le viol.

En fait j’ai été réduit depuis l’an 2000 à l’état d’esclave sexuel animal, et toute personne qui me tend la main pour m’aider est supprimée, comme mon avocat maître Matsitsila jean décédé en novembre 2023. Je le croyais véreux car il ne faisait rien au niveau du tribunal pour m’aider, mais la police a dû lui montrer des images de moi et ça a dû lui monter à la tête.

Je ne sais pas ce que les autorités attendent : un suicide, ou que je trouve une arme de poing et que je tire dans la foule. Ce sera en vain car je sais que je suis célèbre a fortiori parce que je suis à l’origine du Wokisme, french theory dans les pays anglo-saxons, et à l’origine de la résurgence des théories complotistes, et surtout parce que je tiens les autorités à la gorge ou par les couilles comme on veut.

Cependant ma vie est difficile et parfois j’ai des nausées, comme mal au coeur, voir un certain dégoût de la vie, un certain écoeurement, voir une certaine rancoeur, ce qui fait que je suis obligé de me forcer à manger, à me laver, réservant depuis 2022 la moindre bribe de volonté à ma survie et plus à écrire de livre, ou d’articles sur médiapart -aussi du fait que je ne suis plus sous emprise grâce à un psychologue qui m’a éclairé sur les délires collectifs-, même si je vois bien qu’il est nécessaire de combattre la cruauté barbare perverse qui est devenue la norme dans le monde occidental, je n’en ai plus la force. D’ailleurs si j’ai un cancer un jour (comme 97 pour cent des gens qui copulent avec des animaux : cancer de l’anus ou du vagin ou de la bouche) je ne me soignerais pas. Quand on veut supprimer une personne avec autant de volonté et de persévérance, la victime perd tout goût pour la vie.

Il y a eu trois ruptures dans ma vie depuis 20 ans, en 2003 (utilisation de la scopolamine avec l’hypnose), en 2006 (passage à l’acte visant à me soustraire à la vie sociale) et de 2018 à 2020, période d’accélération de mon ostracisme où bizarrement mon comportement d’après ce que me signifie certains, est devenu de plus en plus déviant grâce à mon clone et aux deep fake vidéo. J’ai l’impression que les autorités en 2001 se sont inspirées de film comme « le truman show » avec Jim Carrey, « grosse fatigue » avec Michel Blanc, « le prix du danger » avec Gérard Lanvin, ou encore « ma femme mon double et moi », ce qui confirmerait que les pervers prennent leurs désirs pour la réalité, c’est à dire que ce qu’ils lisent dans une œuvre littéraire doit être filmé pour le cinéma, puis ce qu’ils voient au cinéma, ou à la télévision doit devenir réalité dans la vie de tous les jours, et enfin ce qu’ils voient sur internet doit aussi devenir une banalité. C’est l’apogée du principe de plaisir, au détriment du principe de réalité, toujours dans le but d’éprouver le sentiment d’omnipotence délirant du pervers.

En fait les pervers qui s’acharnent sur moi depuis 20 ans avaient raison en disant que j’étais un benêt ou un con, car effectivement je n’ai que rarement eu la télévision chez moi, en outre j’allais rarement au cinéma, et surtout je ne suis pas non plus un spécialiste des manipulations perverses, alors que j’aurai pu les étudier en psychologie si j’avais eu une quelconque soif de pouvoir à visée destructrice, à l’instar de certains étudiants que j’ai côtoyé à l’université.

La seule angoisse qui me taraude maintenant est la disparition de ma mère qui est la seule personne pour l’instant en qui j’ai confiance car non corrompue par les autorités, et qui peut me différencier formellement de mon clone. Je crains que sa disparition ne rende impérative ensuite la mienne bien que j’ai toujours dit que je ne me suiciderais jamais. En effet je trouverais vraiment difficile à vivre de perdre ma mère puis d’avoir à subir une mort atroce (passage à la broyeuse par exemple) ou d’être séquestré quelque part, pendant que ce mauvais film de sciences fiction initié en l’an 2000 par les autorités françaises ne continuent avec mon double. Afin d’éviter une fin tragique à mon histoire je pense désormais sérieusement à devenir moine bouddhiste au sein d’un monastère en france, ce qui me permettra peut-être de témoigner un jour, que ce soit devant un tribunal car j’ai des plaintes en cours en tant que victime, ou en rencontrant des personnalités amies sincères. Et cela ne m’empêchera pas de devenir député.

J’ai commencé à écrire ce livre à partir de 2013 sur mediapart, tout en étant violé sous GHB, ou scopolamine en association avec l’hypnose, régulièrement, ce qui fait que j’ai été obligé de le reprendre des dizaines de fois jusqu’à aujourd’hui, afin de le compléter en fonction des souvenirs qui me revenaient avec le temps, et aussi parce que lorsque je suis violé je fais des erreurs d’orthographe et de grammaire grossières, sans compter que je suis persuadé que les services de renseignement ont installé dès 2004, c’est à dire lorsque j’écrivais des articles socio-politiques sur mon premier site internet, un script qui rajoute des erreurs à chaque fois que je sauvegarde mes fichiers. Donc excusez le peu d’erreurs qu’il peut rester et l’incomplétude de mon histoire que j’ai été obligé de résumer.

De novembre 2020 à juin 2021 date de la création de mon site internet de caricatures jusqu’à la cessation de toute activité, je n’étais plus violé qu’entre le 24 de chaque mois, et le 8 du mois suivant, durant donc la période où je dessinais et publiais une caricature. Je me suis en outre rendu compte que lorsque je publie un dessin ma mère est peut être aussi violé. Elle ne s’en rend pas compte mais j’ai de très forts soupçons vu la labilité affective et l’agressivité dont elle était victime précisément et uniquement quand je publiais soit une fois par mois -ce qu’elle ignore-.

J’ai contacté par courrier, différentes ambassades (Iran Chine Russie Turquie) au mois de mai 2021, afin de demander l’asile politique, sans recevoir de réponse, puis j’ai fait une grève de la faim du 31 mai 2021 au 02 juillet 2021, à cause au départ d’une hospitalisation arbitraire en psychiatrie, et ensuite pour rencontrer les médias nationaux et l’ensemble des chefs de groupe de l’opposition politique hostile à macron. J’ai été obligé de cesser cette grève de la faim au bout de un mois pour cause de pensées morbides intenses, et je suis sorti de l’hôpital de Montauban le 6 septembre 2021. (mon hospitalisation était arbitraire en psychiatrie à la demande de mon père ce qu’il a nié devant un juge en déclarant avoir été manipulé par la psychiatre). En bref j’ai fait 4 grèves de la faim depuis 2005.

Libre à chacun de me prendre pour un schizophrène qui délire, cependant je n'ai pas d'hallucination, ce qui me rend confiant concernant mon état de santé mentale, et vous venez de lire mon histoire, histoire que l’on ne raconte pas quand on est schizophrène. De plus le scanner de mon cerveau montre que celui-ci est parfaitement normal, contrairement au cerveau des schizophrènes qui ont des hallucinations dont l’hippocampe le troisième ventricule et l’hypothalamus sont atrophiés ou hypertrophiés. J’ai quand même créé en 2019 avec un membre de ma famille, car mon isolement continue, l’association « international schizophrénie » et j'en suis à la création de mon dixième sites internet, dont un pour le parti politique démocrate capitanomisme, et je suis en train d’écrire mon cinquième livre. Une preuve de mon isolement : je n'ai trouvé personne pour créer ce parti politique, hors de mon milieu familial. En effet les amis qui manifestaient leur intérêt pour créer ce parti depuis 6 mois que je prospectais, disparaissent du jour au lendemain sans me donner de nouvelles sauf un jeune barman qui m’informa avant de disparaître qu’il avait été agressé par une bande de jeune, et s’était fait volé son téléphone ! ! ! Par chance mon hospitalisation au mois de mai 2020 m’a permis de concrétiser ce projet avec ma mère et une amie.

Au final je continue à être violé régulièrement c’est à dire deux à trois fois par semaine, ce qui fait un total de 2500 nuits à être violé depuis 2003, si on enlève les années du mandat Sarkozy, et mes trois ans d’hospitalisation, même si j’ai réussi grâce à un psychologue génial à me défaire de l’emprise à laquelle j’étais soumis. En effet ce psychologue en 2021 a émis l’hypothèse que mes harceleurs violeurs déliraient, ce que je savais mais que j’avais perdu de vue à force de persécution de menaces et de viols.

En 2024 j’ai aménagé dans un petit village de 1700 habitants, dans une résidence HLM de 6 appartements, et je reste violé régulièrement. Là encore j’ai pu identifier les opérants. Un soir d’été 2024 j’ai pu entendre les conversations de mes voisins de l’appartement du dessous, fonctionnaires, alors qu’on avait tous nos fenêtres ouvertes. Il semblait y avoir une adolescente entre 12 et 14 ans, étrangère à la famille, le couple, et un autre homme. J’ai pu entendre après plusieurs allusions bizarres, la mère du foyer dire « c’est horrible à ton age de faire ça avec un chien !!! », puis plus tard un homme dire « suce-le, les chiens aiment se faire sucer !!!». J’étais choqué, mais il n’y a pas de doute que ces gens sont des zoophiles et des pédophiles et qu’ils s’en prennent à moi avec leur chien, la nuit quand je dors. J’ai aussi appris par une voisine qu’il y avait un gendarme qui habitait dans la maison à côté de la sienne. Je me rappelle très bien qu’il y avait également un gendarme qui habitait en face de chez nous lorsque j’ai agressé mon père.

Seulement je me demande combien de personnes ont été déclarées schizophrène par la Stasi ou le KGB, et en France ou aux Etats Unis aussi, maintenant que j'ai réalisé que l'on vit dans une démocratie perverse. J’aurai quand même écrit ce livre pour témoigner, ainsi chacun pourra se faire une opinion sans être influencé par la propagande étatique. Je sais que d’autres personnes ont depuis subies des viols sous scopolamine, une de ces drogues fonctionne avec l’hypnose, et notamment des enfants ou des célébrités, et c’est pour prévenir tout le monde que j’ai écrit cet ouvrage. Aujourd’hui j’ai porté plainte auprès du procureur de la république de Montauban, après l’avoir déjà fait à Toulouse il y a deux ans, en souhaitant bénéficier de dédommagements conséquents, et obtenir la condamnation des protagonistes encore vivants impliqués dans les crimes que j’ai subis. Dernière information, j’ai des pertes marron liquides depuis début 2024 après avoir été aux toilettes lorsque j’ai passé la nuit à être violé, ce qui fait que je peux utiliser jusqu’à un rouleau de papier toilette entier pour m’essuyer. Cela n’a rien à voir avec une diarrhée. Je fais mes besoins normalement, si ce n’est ces écoulements au moment de m’essuyer. Dans un autre domaine j’ai appris que mon psychanalyste monsieur Bousseyroux à Toulouse avait été poignardé dans son cabinet par un de ses patients, alors que cela faisait trois ans que je le consultais. Je ne sais pas ce qu’il a refusé comme collaboration avec mes harceleurs mais il l’a payé cher. Heureusement il a juste été blessé.

Pour conclure j’ai juste été un martyre comme Galilée, Charlie Chaplin, Socrate, Spinoza, Dreyfus, Rousseau ,Serpiko ou Auguste Blanqui.

Bonne chance à tous.

Christophe renard

www.international-schizo.org

www.christophe-renard.org

www.bystander-effect.com

www.licking69.com

www.capitanomisme.fr

Christop.renard@gmail.com ou lebrefx2@protonmail.com

ANNEXES

Comment éviter d'être violé par les chiennes du gouvernement une technique imparable (article de 2012)

Une nouvelle drogue du viol fonctionne avec l'hypnose et permet de violer quelqu'un pendant son sommeil. Voici après des années de recherche une technique imparable qui permet de ne pas être violé tout en préservant un certain équilibre psychologique -éviter la dépression suite aux viols ou le suicide-, et une certaine capacité à travailler le jour si on est salarié.

Le but : éviter le sommeil paradoxal, car c'est pendant cette phase que les services de renseignement opèrent c'est à dire qu'ils vous réveillent en état somnambulique et vous font agir pendant votre sommeil et répondre au moindre bruit -serrure de la porte triturée, 2 ou 3 coups à votre porte, un chien qui aboie devant chez vous, ou tout simplement coup de sonnette à l'interphone...-. Après bien sûr c'est le viol "consentant" sous hypnose.

Donc pour éviter cette phase de sommeil paradoxal :

1) dormir de 22h ou 23h à 2h ou 3h du matin

2) mettre son réveil à 2 ou 3 h du matin période qui précède la phase de sommeil paradoxal et rester éveillé jusqu'à 5h ou 6 h du matin selon vos craintes.

3) éteindre les lumières et se coucher pour se rendormir vers 5 h ou 6 h du matin jusqu'à satiété de sommeil. le sommeil sera léger et vous risquez moins d'atteindre le sommeil paradoxal et donc d'être violé à ces heures matinales.

Pour ceux qui travaillent le matin je sais c'est difficile mais vous ne serez pas plus fatigué qu'après un viol. Faire une sieste de 1 heure ou 2 est indispensable pour tenir dans la durée.

Voilà, j'applique cette technique depuis maintenant 2 mois 2 à 3 fois par semaine -article écrit en 2015-, et bien que ces crapules m'aient à nouveau violé, cela devient plus rare et donc c'est fou ce que l'on peut se sentir mieux. Je refais des projets -j'ai envie d'écrire 2 livres- et de riposter à ces pédophiles extrêmes qui me prennent pour un petit garçon de 5 ans capricieux et sans défense.

Nota bene : en france le nombre de tentative de suicide est passé de 140 000 dans les années 2000 à 200 000 depuis 2003. 60 000 personnes de plus -dont des enfants- essaient de se suicider depuis l'apparition de la drogue du viol qui fonctionne avec l'hypnose.... Je n'en tire aucune conclusion je pointe du doigt un phénomène étrange encore un.

Peut-on tuer quelqu'un sous hypnose et drogue du viol ??? (2017)

J'ai été violé pendant mon sommeil sous hypnose et sous drogue du viol et je n'ai plus eu aucun frein. Peut-on faire du mal a quelqu'un avec le même procédé ?

Je me posais cette question depuis un moment. Mais elle est redevenue d'actualité suite au bruit étrange que j'entends la nuit quand je dors avec ma copine pendant mon sommeil. (éveillé en fait mais les yeux fermés car je me méfie depuis quelque temps)

En effet je ne suis plus violé depuis un moment mais le gouvernement qui semble avoir abandonné l'idée de me pousser au suicide, ne semble pas avoir abandonné l'idée de me mettre hors circuit.

Quelle solution adopter dans ce cas ?

Peut-être me faire faire un passage à l'acte type meurtre ou tentative de meurtre sous drogue et sous hypnose...je me demande seulement si c'est possible.

Loin de moi l'idée de faire du mal à ma copine avec qui je m'entend très bien par ailleurs, mais étant donné que je dors souvent avec elle, je pense qu'elle est la cible idéale pour le gouvernement.

Je me demande en fait dans quelle mesure on peut lever les inhibitions, les freins, et tout sentiment de culpabilité sous drogue et sous hypnose.

J'ignore si c'est seulement possible mais vu que mes adversaires sont sans limite, et que je reste vulnérable car pauvre et sans aucun moyen financier ou technique (installer des caméras) pour me protéger et me sentir sécure, et que par ailleurs ces adversaires disposent d'une drogue imparable sous hypnose (la scopolamine), je me pose simplement la question : peut-on faire un passage à l'acte meurtrier ou violent sous drogue du viol et sous hypnose ?

Cet article fera foi si jamais cela se produit, que j'avais essayé de prévenir ce genre de problème.

La scopolamine une nouvelle drogue du viol gardée secrète par les gouvernements (article de 2004 mais recorrigé en 2025)

Une nouvelle drogue du viol est apparue ces dernières années, permettant de faire faire ce que l'on souhaite à une éventuelle victime, -y compris d'être active-, tel un somnambule, sans lui laisser aucune trace mnémonique. Cette drogue dans une moindre mesure permet également de faire dire ce que l'on souhaite à une personne sous son emprise, du fait de la forte suggestibilité qu'elle induit, proche d'un état hypnotique, et surtout pas la vérité.
Pour l'instant, cette drogue reste à l'usage exclusif de certains milieux, telle que l'armée, la police, les milieux scientifiques ou politique, et plus globalement les milieux élitistes. Elle aurait été utilisée pour la première fois comme sérum de vérité à guantanamo, sur les prisonniers iraniens. Aujourd'hui, elle permettrait de réaliser des vidéos zoophiles, et pédophiles, à l'insu des victimes.
Toutes personnes se sentant menacées par des personnes susceptibles d'utiliser cette drogue peuvent suivre les conseils suivant afin de se prémunir, ou afin de détecter tout symptôme consécutif au fait d'avoir été drogué et violé.

Quelques conseils pour se protéger notamment si on voyage à l'étranger :
- acheter toute nourriture et toute boisson au hasard dans un supermarché, en évitant toute habitude alimentaire. 
La drogue en question pouvant être assimilée à un fruit, ne jamais faire de réserves susceptibles d'être accessibles à quiconque -y compris à des personnes de confiance qui peuvent déjà être corrompues, ou qui sont intéressées pour commettre ce type d’exaction- et donc toujours consommer les aliments sur le champ.
- ne jamais accepter d’aliments, de boissons, ou de cigarettes venant d’autrui.

Dans le cas où subsisterait un doute ou une impossibilité de se prémunir au niveau alimentation -dégustation public, toasts en série...-, toute la stratégie afin de ne pas devenir vulnérable va consister à ne pas être "réveillé" pendant la nuit. Car les agresseurs utilisent un protocole inédit jusqu'ici avec les drogues du viol classiques, en obtenant la collaboration de la victime dès son réveil somnambulique -ouverture de sa porte par exemple par la victime elle-même ! ! !-.


Ce protocole se déroulerait ainsi :

1) les agresseurs signifieront qu'ils se trouvent à la porte de votre chambre de manière bruyante. 
Pour cela ils peuvent soit frapper à la porte le plus naturellement du monde, soit plus silencieusement vous laisser savoir toujours durant votre sommeil, qu'ils souhaitent pénétrer dans votre chambre, par exemple en actionnant la poignée de porte, ou en triturant bruyamment la serrure. 
2) Ils leur aient absolument inutile de posséder la clef de votre porte d'appartement ou celle de votre chambre, car à ces stimuli bruyants, vous vous réveillerez, vous vous lèverez dans un état somnambulique et c'est bien vous qui ouvrirez la porte, peut être après avoir établi un premier contact verbal avec eux.


3) Les agresseurs sont susceptibles de montrer des vidéos pornographiques juste après le réveil somnambulique de la victime, afin de lui faire reproduire ensuite à l’identique les scènes visionnées. Si vous soupçonnez d'avoir été violé, voici la liste des signes potentiellement révélateurs d'un viol, ou d'une activité nocturne non souhaité: bouche non pâteuse au réveil, yeux non collés, absence de sentiment de soif, absence d'envie d'uriner, réveil matinal tardif, sentiment de fatigue en dépit du sentiment d'avoir bien dormi, réveil dans le brouillard, douleur anal ou vaginal, absence d'érection matinale, sentiment de panique ou d'angoisse, envie de pleurer, confusion, irritabilité, agressivité, anxiété, vertige, labilité affective telle que des sourires ou des rires non pas immotivés, mais nerveux au cours de la journée...

Les exactions commises sous cette drogue, laissent également des traces inconscientes qu’on ne réalise pas -traces différentes des flashs de la GHB standard-, et que l’on peut exprimer dans son discours ou dans des écrits sous la forme d’associations, ou d’allusions inconscientes, ce qui accessoirement peut faire sourire les pervers informés de ce que l’on vient de subir.

Nouveau rectificatif du 24 mars 2019

J'ai pu constater 5 modifications qui vous permettront de vous (surtout les gilets jaunes) rendre compte que vous avez été violé sous drogue du viol et hypnose :

- on rit le matin nerveusement on se frotte parfois les mains de contentement avec le sentiment d'avoir évité d'être violé alors qu'on l'a été.

- on est fatigué au réveil avec énormément de mal à se réveiller ou réveil vers 11h midi ET ON NE SE SOUVIENT PAS DE SES RÊVES. Par ailleurs normalement on se réveille tous une ou deux fois par nuit. En cas de viol ce n’est pas le cas on dort toute la nuit sans interruption.

- on a mal au cul et il nous démange surtout le soir mais parfois aussi le matin ou quand on va aux toilettes.

- on est épuisé le soir si on n’a pas fait de sieste et pourtant on n'arrive pas à dormir ce qui fait que l'on risque fort de faire une, voire deux nuits blanches

- durant les jours suivant le viol on est prostré comme dans une dépression stuporeuse

Rectificatif du 10 août 2019

L'unique solution pour éviter d'être violé sous drogue du viol et hypnose est sociale

Pour éviter d'être violé mieux vaut vivre en groupe et notamment la nuit. Un groupe de 6 à 8 personnes de confiance est l'idéal chacun pouvant monter la garde (rester éveillé) par tranche de 2 h toutes les nuits. Ainsi de 22h à 8h du matin chacun veille 2h à tour de rôle puis se recouche avec l'assurance que personne ne tentera de réveiller une des personnes endormies en état d'hypnose somnambulique. Ceci est nécessaire car tout le monde peut être drogué par les violeurs à la solde des élites, donc en restant éveillé chacun son tour c'est la garantie que la nuit se passe bien. Personne de confiance exigée donc peut-être pas la famille.

Rectificatif du même auteur en 2025 :

Après m’avoir signifié que cette drogue du viol qui fonctionne avec l’hypnose était la ritaline, puis la kétamine, début 2025 il semblerait que ce soit la scopolamine ce qui est très probable étant donné que cette drogue est utilisée pour les opérations chirurgicales sous hypnose dans le milieu médical. C'est l'hypnose qui serait en cause indirectement dans le fait que l'on agit comme un somnambule, et donc que l'on peut même faire avoir à la victime un comportement actif et non plus seulement passif comme avant 2002.

Par ailleurs l'état et la police ont réussi suite à l'article original (écrit suite à des viols de 2003 à 2006) à diminuer les effets secondaires qui permettaient de réaliser que l'on avait été violé pendant la nuit. Pour avoir eu le sentiment d'être violé a quelques reprises en 2013, les yeux ont des scories mais molles le matin, le sentiment de soif est bien présent, l'envie d'uriner également, et les douleurs anales sont absentes ou n'apparaissent que tard dans l'après-midi et pas systématiquement. ce qui permet toujours de réaliser qu'on a été violé sont toujours le réveil dans le brouillard, des vertiges, voir une perte de connaissance au cours de la journée, un réveil anormalement tardif ou très précoce (5h du matin), un sentiment de fatigue, de l'angoisse ou de l'anxiété, de la confusion avec envie de suicide sous forme de raptus (défenestration ou si on a une arme suicide avec celle-ci comme certains policiers dont on parle régulièrement dans les journaux), de l'irritabilité voir de l'agressivité, et une certaine labilité affective tout cela apparaissant inopinément certains jours (pas par exemple après une nuit blanche). A long terme cette drogue génère des mycoses vaginales, aux testicules et au scrotum voir à l'anus qui démangent sans cesse, ainsi que des mycoses aux ongles.

Toutes personnes souhaitant dénoncer l'utilisation de cette drogue qui permet également de violer des enfants ou de prostituer quiconque, sont susceptibles de décéder d'un AVC ou d'une crise cardiaque, suite à l'administration de neuroleptiques à haute dose tels que le Piportil. Ainsi sont décédés M.Carcassone conseiller de Michel Rocard, Yves Bertrand ancien directeur des services de renseignement de 1998 à 2004, et M.Érik Izraelewicz directeur du monde jusqu'en 2012, entre autres.

ATTENTION AUX BARBITURIQUES ! ! ! (2020)

LES AUTORITÉS PEUVENT FAIRE ADMINISTRER À N'IMPORTE QUELLE PERSONNE GÊNANTE, DES BARBITURIQUES À FORTE DOSE ENTRAINANT SYSTÉMATIQUEMENT DE LA CONFUSION MENTALE AVEC RISQUE DE RAPTUS HÉTÉRO-AGRESSIF OU DE SUICIDE ! ! !
LES PSYCHIATRES SONT PARFAITEMENT INFORMÉS ET COMPLICES DE CE TYPE DE MANIPULATION PHARMACEUTIQUE, LA CONSIGNE ÉTANT D'ÉTABLIR POUR TOUT PASSAGE À L'ACTE LE DIAGNOSTIC DE "SCHIZOPHRÈNIE PARANOIDE VERSANT NÉGATIF", SANS BIEN SUR EFFECTUER D'ANALYSE DES FLUX CORPORELS (SANG, SPERME, SALIVE, URINES NOTAMMENT) QUI PERMETTRAIT DE DÉDOUANER LA VICTIME, ET D'ENGAGER LA RESPONSABILITÉ DE L'ÉTAT. AUTRES SYMPTOMES D'UNE PRISE DE BARBITURIQUES : NAUSÉES, VERTIGES ET SUDATIONS ENTRE AUTRES ! ! !

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