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Billet de blog 8 février 2021

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Les raisins de la colère (1940, John Ford) - Au bout de l’itinérance

Adaptation au cinéma du roman éponyme de John Steinbeck, Les raisins de la colère est l’unique film de John Ford traitant d’un sujet contemporain. En version restaurée (photographie de Gregg Toland) et au bout du trajet, le film atteint l’authenticité et la justesse attendues.

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Dans la filmographie de John Ford, Les raisins de la colère occupe une place singulière. C’est en effet l’unique film du cinéaste traitant d’un sujet social contemporain : l’exode contrainte par la Grande Dépression de milliers de familles américaines vers des contrées moins sinistrées et plus hospitalières. Le film récemment restauré bénéficie d’une ressortie en salle. L’occasion nous est donc offerte de ré-estimer les qualités de ce film, notamment la photographie composée par le chef opérateur Gregg Toland.

Un jeune homme rentre à la ferme familiale en Oklahoma, après avoir purgé une peine de quatre ans de prison pour homicide involontaire. La Grande Dépression sévit alors et comme beaucoup d’autres fermiers, sa famille est chassée de son exploitation. Ensemble, ils partent à travers le pays dans l’espoir de trouver, un jour, du travail en Californie. C’est le début d’un périple éprouvant, de camps de réfugiés en bidonvilles de fortunes, dans une Amérique en proie à la misère et à l’oppression...

Lire notre chronique dans son intégralité : lien

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