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Billet de blog 10 mai 2021

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Que dios nos perdone (2016, Rodrigo Sorogoyen) – Noirceur et nihilisme exaucés

Dans Que dios nos perdone, Rodrigo Sorogoyen interroge avec brio la psychologie masculine. Dans ce film policier empruntant aux codes des polars, l'intrigue avancée rivalise de noirceur et d’efficacité.

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Réalisateur de nombreux épisodes de séries pour la télévision espagnole, Rodrigo Sorogoyen livre son troisième long-métrage destiné au cinéma. À l’image de son précédent film, Stockholm (2013), Que dios nos perdone interroge la psychologie masculine au fil d’une intrigue limpide et au rythme d’un suspense sans faille. Ce film policier empruntant au polar dans sa deuxième moitié est d’une efficacité redoutable.

Madrid, été 2011. La ville, plongée en pleine crise économique, est confrontée à l’émergence du mouvement des « indignés » et à la visite imminente du Pape Benoît XVI. C’est dans ce contexte hyper-tendu que l’improbable binôme que forment Alfaro et Velarde se retrouve en charge de l’enquête sur un serial-killer d’un genre bien particulier. Les deux inspecteurs, sous pression, sont de surcroît contraints d’agir dans la plus grande discrétion… Une course contre la montre s’engage alors, qui progressivement les révèle à eux-mêmes ; sont-ils si différents du criminel qu’ils poursuivent ?

Lire notre chronique dans son intégralité : lien

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