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Billet de blog 12 novembre 2020

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The revenant (2015, Alejandro González Iñárritu) - Bel emballage mais...

Alejandro Iñárritu fait étalage de tout son brio de réalisateur dans The revenant (2015). Savamment mis en lumière (naturelle) par Emmanuel Lubezki, ce chef-d'œuvre technique pèche cependant par un pendant narratif dévitalisé.

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

Illustration 1

Performance artistique de premier ordre, The revenant déçoit par son contenu. La maîtrise technique est certes indéniable mais elle ne sert que trop rarement la narration. La proposition filmique se voit ainsi cantonnée aux aspects techniques au détriment d'un contenu étiré à outrance et manquant cruellement d'âme.

Dans une Amérique profondément sauvage, Hugh Glass, un trappeur, est attaqué par un ours et grièvement blessé. Abandonné par ses équipiers, il est laissé pour mort. Mais Glass refuse de mourir. Seul, armé de sa volonté et porté par l’amour qu’il voue à sa femme et à leur fils, Glass entreprend un voyage de plus de 300 km dans un environnement hostile, sur la piste de l’homme qui l’a trahi. Sa soif de vengeance va se transformer en une lutte héroïque pour braver tous les obstacles, revenir chez lui et trouver la rédemption.

Lire notre chronique dans son intégralité : lien

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