In Ciné Veritas (avatar)

In Ciné Veritas

Abonné·e de Mediapart

51 Billets

0 Édition

Billet de blog 16 novembre 2020

In Ciné Veritas (avatar)

In Ciné Veritas

Abonné·e de Mediapart

Cold war (2018, Pawel Pawlikowski) - En panoramique étriqué

Pawel Pawlikowski reconduit dans Cold war l'esthétique de son précédent film, Ida (2013) : noir et blanc, format 4/3. Ce choix possiblement opportun justifie-t-il le Prix de la mise en scène si peu discuté obtenu lors du festival de Cannes 2018 ?

In Ciné Veritas (avatar)

In Ciné Veritas

Abonné·e de Mediapart

Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

Illustration 1

En 2015, Pawel Pawlikowski obtenait l’Oscar du meilleur film en langue étrangère avec Ida (2013). Dans sa nouvelle réalisation, Cold war, le cinéaste polonais reconduit le même formalisme cinématographique à savoir un noir et blanc enfermé dans un format 4/3. Face à la chronique mélancolique d’un exil entre la Pologne, l’Allemagne, la France et la Yougoslavie, ce style était-il le plus approprié ?

Pendant la guerre froide, entre la Pologne stalinienne et le Paris bohème des années 1950, un musicien épris de liberté et une jeune chanteuse passionnée vivent un amour impossible dans une époque impossible. 

Lire notre chronique dans son intégralité : lien

Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.