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Billet de blog 22 août 2020

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Le secret de la chambre noire (2016, Kiyoshi Kurosawa) - L'impression laissée

Le secret de la chambre noire (2016), affaire de sensibilité ? Kiyoshi Kurosawa freine le temps, interroge et immortalise le passé en clichés post mortem. Olivier Gourmet, Tahar Rahim et Constance Rousseau se livrent corps et âme dans l'expérience.

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Kiyoshi Kurosawa interroge le passé à travers un proche ayant quitté le monde des vivants mais toujours présent. Dans Le secret de la chambre noire, au-delà de cette invocation, l’auteur de Cure (1997) et de Kairo (2001) cherche à faire revivre ce passé et, par la reproduction de daguerréotypes, à l’immortaliser. Affaire de sensibilité, de contrainte, de temps de pose et de questionnements post mortem, sans céder donc aux clichés faciles, Kiyoshi Kurosawa impressionne la pellicule et la mémoire.

Stéphane, ancien photographe de mode, vit seul avec sa fille qu'il retient auprès de lui dans leur propriété de banlieue. Chaque jour, elle devient son modèle pour de longues séances de pose devant l'objectif, toujours plus éprouvantes. Quand Jean, un nouvel assistant novice, pénètre dans cet univers obscur et dangereux, il réalise peu à peu qu'il va devoir sauver Marie de cette emprise toxique.

Lire notre chronique dans son intégralité : lien

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