In Ciné Veritas (avatar)

In Ciné Veritas

Abonné·e de Mediapart

51 Billets

0 Édition

Billet de blog 26 octobre 2020

In Ciné Veritas (avatar)

In Ciné Veritas

Abonné·e de Mediapart

Adieu les cons (2020, Albert Dupontel) - Naissance sous X et mort aux C...

Dans Adieu les cons, Albert Dupontel fait œuvre nihiliste et contemporaine. En cela, ce film tisse peu de filiation avec Au revoir là-haut (5 César) réalisé en 2017. Réalisme en plus, rage en moins, Adieu les cons file sur des sentiers identifiables.

In Ciné Veritas (avatar)

In Ciné Veritas

Abonné·e de Mediapart

Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

Illustration 1

En 2017, l’ambition narrative et formelle mise dans Au revoir là-haut (Populaire et ambitieux) avait été saluée par cinq César dont ceux du meilleur réalisateur et de la meilleure adaptation attribués à Albert Dupontel. Dans Adieu les cons, l’acteur-réalisateur fait œuvre assurément plus contemporaine et plus nihiliste. Le réalisme prime dans cette nouvelle réalisation dont l’évènement déclencheur est une naissance sous X. Le film, lui, est clairement identifiable.

Lorsque Suze Trappet apprend à 43 ans qu’elle est sérieusement malade, elle décide de partir à la recherche de l'enfant qu’elle a été forcée d'abandonner quand elle avait 15 ans. Sa quête administrative va lui faire croiser JB, quinquagénaire en plein burn out, et M. Blin, archiviste aveugle d’un enthousiasme impressionnant. À eux trois, ils se lancent dans une quête aussi spectaculaire qu’improbable.

Lire notre chronique dans son intégralité : lien

Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.