Ses billets de blog

• Rwanda : sortir du déni, agir à l’avenir

  6 avr. 2024 Par Clémentine Autain
  L’État français a rendu possible un génocide prévisible. Il a mené une politique basée sur une vision coloniale et raciste du Rwanda, déterminée d’abord et avant tout par la volonté de garder le pays dans la sphère d’influence française. Si la gauche ne fait pas ce devoir de vérité, comment être audible et crédible pour dénoncer les crimes de masse présents et à venir ?

• Consolider la Nupes

  12 juil. 2022 Par Clémentine Autain
  Treize jours, treize nuits. L’accélération de l’histoire à gauche s’est jouée à une vitesse impressionnante, le temps d’un accord inédit avec la création de la Nupes. Ce qui nous a propulsé, c’est la défense d’un projet de transformation. Il n’en reste pas moins que la Nupes est fragile, et qu'elle ne peut se déployer que si elle fait vivre le pluralisme en son sein. Je plaide ici pour un rassemblement qui ne soit pas dans l’entre-soi, mais tourné vers ce qui bouge, ce qui conteste, ce qui s’invente dans la société. 

• « Pour un big bang de la gauche »

  7 juin 2019 Par Clémentine Autain
  J’ai signé, comme plus de 3 000 citoyen·ne·s, élu·e·s, militant·e·s politiques, associatifs et syndicaux, artistes et intellectuel·le·s, cet appel à un « big bang » pour bâtir les conditions d’une espérance sociale et écologiste face au couple mortifère néofascistes versus néolibéraux. Rendez-vous le 30 juin prochain au cirque Romanès.

• Migrants: mener la bataille

  1 oct. 2018 Par Clémentine Autain
  Députée France Insoumise, Clémentine Autain défend l’appel lancé par Regards, Politis et Mediapart pour accueil des migrants, au nom de la cohérence de tous les combats émancipateurs.

• M. Le Guen cherche à débattre d’identité pour faire oublier les inégalités

  27 avr. 2016 Par Clémentine Autain
  Non contents de détruire la gauche et de mener une politique misérable, les hérauts du gouvernement tentent de jeter l’anathème sur ceux qui les contestent. Seraient-ils aux abois ? Après Julien Dray et Manuel Valls, c’est au tour de Jean-Marie Le Guen de s’en prendre à moi, non sur le cœur de mon projet politique mais sur une question, aussi brûlante qu’épineuse par les temps qui courent, l’une de ces questions avec lesquelles on ne devrait pas jouer en méprisant les faits et les arguments.