Sonnet aux anges de la nuit verte ou
ANIMA NOCTIS
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Quand se meure l’âme des mots
commence un chemin pour vos os
de ces vers à la rue sans bruit
et tous nos amis à la nuit
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ont ficelé plus que des pages
à l’Orée des folies fleuries
avec nous, brisé ton image
de verts songes quand tout finit
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T’envahissaient vaines pulsations
d’un regard de la pluie
te traduisant les vents
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Tu souriais des constellations
qu’un miroir qui luit
brisé des mécréants
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(pdf, 27.8 kB) © Salha.
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