La mentalité qui a consisté à consommer une ressource cruciale sans se soucier de son renouvellement, n’a pas un si brillant avenir :
https://met.grandlyon.com/regie-publique-de-leau-8-bonnes-raisons-pour-sa-creation/
La priorité affichée est celle de la préservation de la ressource en eau pour la consommation des lyonnais, à l’échéance des 10 et 20 ans à venir.
La « consommation » de l’eau est une affaire de plus en plus tendue. Les plus gros usagers son l’agriculture et le refroidissement des centrales électriques, essentiellement à l’énergie nucléaire en France.
Il est question de protéger la ressource, d’économiser son usage ; mais également, de prendre en considération le cycle de l’eau.
Quant à « maitriser », cela me parait assez mal parti !
En effet, ’eau pompée des nappes phréatiques doit retourner dans les nappes phréatiques, pas dans la mer via les courts d’eau.
https://uneseuleplanete.org/Retablir-l-039-equilibre-de-notre-planete
Seulement 20 % de l’eau des mers participent au cycle de l’eau sur les terres. Épuiser

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les nappes phréatiques, en ne les recherchant pas après « usage » provoque inexorablement un épuisement de la ressource…
Cela n’est apparemment pas bien compris. Les schémas simplistes, et faux, sur le cycle de l’eau, de nos livres de géographie en sont peut-être l’origine ?...
De fausses idées impulsent des principes de gestion erronés… Et, presque tout le monde n’y voit que du feu !
Il est impératif aujourd’hui d’exiger que l’eau puisé localement, retourne dans les nappes phréatiques locales.
Le « local » ne concerne pas que le commerce, mais l’économie dans son ensemble. Et, la seule économie qui existe, in fine, c’est celle de la nature, d’où tout provient et où tout retourne…