Et cela au niveau mondial, puisque que c'est échelle de prise de conscience collective qui conduit à ce changement radical.
J'ai été stupéfait de découvrir que des scénario simulés par le MIT en 1972 avaient envisagé, avec une précision confondante, la situation présente. (Voir article: https://blogs.mediapart.fr/culturenature71/blog/190723/changement-mondial-et-radical-de-priorites?fbclid=IwAR1UCESh5van7btaN3523guqRr01F8UUktAqGYjOlVrZuuac5FFjpTR5XTo)
Ces changements, bien que globalement inévitables sinon souhaitables, peuvent s'opérer à nos dépends, si nous ne nous n'y sommes pas prêts.
La place sociale des femmes s'accroit inexorablement. Elles méritent, à travers leurs engagements - comme celui dans le mouvement pour le Climat - tout notre attention.
Par ailleurs,le consumérisme a du plomb dans l'aile avec la chute drastique du pouvoir d'achat de la majorité des personnes dans tout le monde occidentalisé.
Ces changements parfois drastiques vont mettre inévitablement à mal notre résilience.
En écologie, nous avons acquis une expérience de la résilience face aux bouleversements causés par la dévastation, toujours pas régulée, des écosystèmes vivants. Nous avons appris et compris que si nous ne changeons pas profondément nos valeurs, nos organisations, nous désespérons et renonçons à vivre.
Hier, les collapsologues voulaient nous préparer à l'imminence de l'effondrement. Aujourd'hui, il est primordial d'anticiper au mieux l'ampleur des changements qui vont être réalisés d'ici 2030.
Nous nous mettons à la disposition de toute personne ou organisation qui souhaite se préparer à ces changements, certes plus prometteurs que le fin du monde; mais qui vont néanmoins bousculer sans ménagement l'ordre des choses et nos priorités individuelles et collectives.