Je suis d’accord sur le constat que ce n’est pas l’humain qui est directement à l’origine de la crise climatique ; mais le pétrole.
Cependant, c’est faire l’aveu que l’humain est devenu l’instrument docile de l’économie destructrice du pétrole.
La puissance acquise par notre civilisation matérialiste à cause de l’usage immodéré du pétrole lui a fait véritablement « péter un câble » !
Au point où, en pleine addiction et intoxication, elle préfère poursuivre sur cette pente plutôt que renoncer à sa drogue préférée !
"L'addiction c'est comme une perte de la liberté de s'abstenir dans un comportement ou dans une consommation. C'est une pathologie biologique, psychologique et sociale" explique le Dr Leroy, médecin addictologue.
"La dépendance est un des critères de l'addiction, ce sont des notions qui se recouvrent" explique l'addictologue.
Sans le retour à un bien-être profond, à la capacité à prendre ses responsabilités. Et, sans actions concrètes individuelles, mais surtout collectives, la dépendance économique au pétrole ne s’arrêtera pas avant la destruction de cette même économie.
On peut concevoir deux facteurs déterminant à l’effondrement de cette économie de "dépendants" : la destruction d’une grande partie de l’humanité et de la planète, entrainant mécaniquement celle de l’économie. Le fameux scénario dystopique, qui manque cruellement d’imagination…
Ou, de manière codominante, et peut-être encore plus certaine et rapide, le désengagement des humains de ce projet peu enthousiasmant de suicide collectif!
De puissants mouvements collectifs se sont déjà constitués
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dans ce sens…