VIOLENCE DES MINEURS DÉNONCÉE PAR MACRON ET ATTAL QUI VONT PRENDRE DES MESURES DRASTIQUES !!!
On fustige encore la violence des jeunes en écartant les causes originelles. Comment fustiger la violence de quiconque, quand l'exemple vient de l'état et du gouvernement.
On a vu la débauche autorisée des violences policières contre des manifestants pacifiques depuis des années (réformes des retraites 2015, gilets jaunes), les arrestations arbitraires et violentes d'écologistes pendant la COP21, des arrestations aussi violentes et arbitraires lors des lois sécuritaires.
Sans oublier la destruction systématique (et systémique) des services publics qui mettent quotidiennement la population la plus fragile dans un embarras croissant. L'avenir régulièrement rendu plus critiques pour les couches les plus humbles par l'aggravation des conditions de vie (chômage croissant, âge de départ à la retraite qui recule régulièrement et conditions de cette retraite qui s'amoindrissent, la gestion de plus en plus liberticide de la vie sociale, l'accoutumance et la banalisation de la violence à l'égard des militants, la guerre des police à sainte Soline, la relaxe quasi systématique des policiers ayant frappé sauvagement, ou tué des jeunes, dont un a le crâne complètement déformé.
Sans oublier l'accompagnement par la police des violences de groupes fascistes s'attaquant à de simples participants* à des réunions sur la guerre en Palestine : les policiers mettent quarante minutes à se déplacer et laissent tranquilles les fascistes et posent des problèmes à ceux qui les ont appelé à la rescousse,...
*(rappelant les SA qui attaquaient les communistes en 1930 devant l'oeil serein des policiers, voir même aidés par la police)
Jusqu'à des décisions de justice hyper laxistes envers des violences conjugales de policiers : À Metz, un policier poursuivi pour violences sur sa femme et ses enfants relaxé en appel : (libération)
Yves Milla, un ancien major de la police aux frontières (PAF) poursuivi pour des violences sur son ex-femme et ses enfants, a été relaxé ce jeudi 18 avril lors de son procès en appel à Metz. Lors de l’audience qui s’est tenue le 15 mars, le parquet avait requis la même peine qu’en première instance. En juillet 2023, le policier délégué à l’Unsa police avait alors été condamné par le tribunal correctionnel de Thionville (Moselle) à 18 mois de prison avec sursis probatoire de deux ans ainsi que le retrait de l’autorité parentale.
A la suite de l’annonce de cette relaxe, le parquet général va formuler un pourvoi en cassation, a renseigné Me Jérôme Tiberi, avocat des parties civiles. «Nous allons évidemment nous associer à cette procédure. Ça ne peut pas s’arrêter là. On ne peut pas laisser passer ça», avance-t-il. «C’est un arrêt qui est complètement scandaleux, déplore l’avocat. Si j’avais reçu un arrêt comme ça en 1950, ça ne m’aurait pas surpris. Mais aujourd’hui, en 2024, ce n’est plus possible. Sinon, c’est la porte ouverte à tout. Dans un prochain arrêt, on va nous dire quoi ? Que l’on rétablit le droit de correction des maris sur leurs épouses ?». https://www.liberation.fr/societe/police-justice/a-metz-un-policier-poursuivi-pour-violences-sur-sa-femme-et-ses-enfants-relaxe-en-appel-20240419_YPOD4YESA5AZJMYSM76Q6FW4UI/