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Les tyrans ne sont grands que parce que nous sommes à genoux. Etienne de la Boétie

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Billet de blog 22 octobre 2023

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"Se souvenir d'Hélène Berr", jeune femme juive morte dans un camp de concentration.

D’avril 1942 à février 1944, cette jeune femme juive a tenu son journal au jour le jour. Un texte d’une qualité littéraire exceptionnelle.

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Ce n’est pas parce qu’il y a en Israël un gouvernement qui mène une politique raciste d’apartheid concentrationnaire privant le peuple palestinien de ses droits fondamentaux, un gouvernement qui bombarde lâchement les civils de Gaza, ceux du Liban et ceux de Syrie, qu’il faudrait oublier les pogroms antis juifs dans l’Empire Russe, en Allemagne, en Autriche, en Pologne, etc., et leurs déportations d’Allemagne et de France, shoah qui fit mettre à mort 6 millions des Juifs d'Europe.

Illustration 1

Helène Berr, jeune femme juive, a tenu un journal racontant son quotidien jusqu’à sa mort  dans le camp de Bergen-Belsen en avril 1945.

"Se souvenir d'Hélène Berr", à l'occasion du centenaire de sa naissance

https://www.youtube.com/watch?v=1xPjQhYUlMY&t=4s&ab_channel=YadVashemFran%C3%A7ais

Journal d'Hélène Berr, chez Tallandier.  Préface de Simone Veil. 

https://www.tallandier.com/livre/journal-dhelene-berr/

« D’avril 1942 à février 1944, cette jeune femme juive a tenu son journal au jour le jour. Un texte d’une qualité littéraire exceptionnelle, où se mêlent l’expérience quotidienne de l’insoutenable et le monde rêvé des lettres, où alternent à chaque instant l’espoir et le désespoir. Ses derniers mots, le 15 février 1944, « Horror ! Horror ! Horror ! », sont un pressentiment de l’inéluctable. Arrêtée le 8 mars 1944, elle est déportée à Auschwitz-Birkenau avec son père et sa mère. Elle survit presque jusqu’au bout à l’épreuve, succombant à l’épuisement à Bergen-Belsen en avril 1945, quelques jours avant la libération du camp. Plus de soixante documents couleur et noir et blanc – photos de famille, de Paris sous l’Occupation et pages manuscrites – viennent illustrer de larges extraits du Journal d’Hélène Berr. »

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