Hollande, tu nous avais promis que la politique d’austérité, mot que tu ne prononces jamais mais que tu appliques sans cesse, redresserait notre situation. Le chômage devait commencer à baisser fin 2014 et en réalité il bat des records jamais atteints. Tes ministres ne cessent de supprimer des financements à la santé, l’école, la recherche, qui sont pourtant les secteurs qui permettraient à la France de grandir si tu consentais à y investir massivement. Mais non au contraire tu organises leur délabrement ce qui facilitera encore plus leur abandon au privé déjà bien entamé par le petit nerveux qui t’a précédé dans la malfaisance anti républicaine.
Hollande, maintenant tu accuses la Grèce de refuser de négocier sur ses dettes, alors que depuis des mois avec ta complicité, ce sont ses créanciers, chantres d’un capitalisme criminel, qui ont toujours refusé de discuter sérieusement sur cette dette.
Hollande, ton incompétence couplée à tes mensonges vont précipiter encore plus dans la misère des millions de Grecs, les plus pauvres bien sûr. Ce seront toujours les mêmes qui seront épargnés, les banquiers, les grands capitaines d’industrie, les riches propriétaires terriens, le clergé. Les mêmes que tu engraisses en France à coup de milliards de nos impôts.
Hollande, combien tu sembles ridicule dans ton costume cravate lunettes mouillées, devant la stature des héros grecs d’aujourd’hui, Tsipras, Varoufakis qui ont pris les armes contre les ennemis de leur peuple. Leur ennemi c’est la finance, eux. Même s’ils y laissent leur peau dans les jours qui viennent, ils auront montré un courage politique que nous n’avions plus vu depuis des années.
Hollande honte à toi, ta lâcheté devenue proverbiale te restera collée au corps pour très longtemps.