Moi, Père Duchesne, je parle aux abrutis du pouvoir
Moi, Père Duchesne, fantôme de la Révolution, je me fous des costumes trois pièces et des beaux discours. Je vois vos palais dorés, vos ministres qui sourient comme des idiots payés pour applaudir, et je me dis : putain, vous êtes déconnectés du peuple !
I. Vos lois sont des conneries dorées
Je regarde vos réformes et vos promesses, et je ne vois que du vent, du papier et des chiffres qui ne servent à rien. Vos “grandes idées” ? Des conneries en boîte que vous balancez comme des feux d’artifice, pendant que le peuple crève de faim, de froid et de merdes administratives. Moi, Père Duchesne, je crie que tout ce cirque est une honte absolue.
II. Les riches et leurs foutaises
Je vois vos riches se gaver dans leurs coffres-forts pendant que les autres se font chier dans la rue et dans les transports pourris. Et toi, système politique, tu comptes tes votes et tes likes sur les réseaux comme un gamin qui joue avec des allumettes. Putain, vous vous rendez compte que le peuple n’est pas un chiffre, bordel ? Il vit, il souffle, il hurle !
III. Je parle pour les oubliés
Moi, Père Duchesne, je parle pour ceux qu’on ignore depuis toujours : les galériens, les invisibles, les laissés-pour-compte des villes et des campagnes. Je leur rends la parole, je gueule pour eux, je balance vos illusions à la poubelle. Tout ce cirque doré, tout ce théâtre de conneries, je le vomis avec mes mots.
IV. Avertissement qui pique
Moi, Père Duchesne, je vous avertis : continuez à vous branler dans vos bureaux, à balancer vos chiffres et vos promesses bidon… et le peuple va vous réveiller à coups de pied dans le cul. Je parle au système, pas à un individu, mais putain, le système est pourri jusqu’à la moelle et ça se sent.
V. La parole du peuple
Moi, Père Duchesne, je finis ce pamphlet en gueulant : réveillez-vous, bande de connards ! Le pouvoir, c’est pas un jouet, c’est pas un costume trois pièces, c’est pas des chiffres sur un écran. Écoutez le peuple, respectez-le, sinon vos illusions vont s’effondrer et vous allez le sentir passer.
Le peuple est vivant, il est furieux, il est vulgaire lui aussi… et moi, Père Duchesne, je suis sa parole.