Dipa Arif
Collaborateur de Justice et Paix France, militant des droits humains, observateur indépendant et autodidacte passionné de la vie politique indonésienne.
Paris - France
Sa biographie
Ce blog explore une Indonésie méconnue : histoire, politique et enjeux postcoloniaux souvent tus — Papouasie occidentale, violences d’État, mémoires oubliées. Destiné aux francophones cherchant un regard alternatif, il mêle analyses, témoignages, et parfois aussi quelques essais philosophiques. La plupart1…
des articles sont co-rédigés avec ChatGPT, sous ma supervision.
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Indonésie : vouloir fabriquer une voiture nationale… encore une fois
Depuis Sukarno, chaque président indonésien rêve d’une « voiture nationale ». Prabowo promet aujourd’hui qu’en trois ans l’Indonésie produira enfin sa propre voiture. Mais entre symbolisme politique, manque d’expérience industrielle et défis technologiques, ce projet pourrait n’être qu’un mirage de plus dans l’histoire du pays. -
Timika, l’or qui tue : l’évêque papou sonne l’alarme
À Timika, au cœur de la province indonésienne de Papouasie centrale, la plus grande mine d’or du monde brille, mais la population papoue souffre en silence. Dans un appel solennel, l’évêque Bernardus Bofitwos dénonce les violences meurtrières et l’impunité des forces de sécurité, exigeant justice, dignité et dialogue. -
Timor-Oriental : Quand l’Église catholique s’empara d’une révolution oubliée
Au Timor-Oriental, l’Église catholique s’est faite révolutionnaire. Face à l’occupation indonésienne et au silence des blocs, elle a pris parti pour le peuple et pour le Fretilin marxiste, mêlant foi et lutte armée. Un quart du pays a péri, et à Santa Cruz, une messe s’est changée en massacre. -
Quand l’anarchisme séduisait l’Indonésie coloniale : un souffle de résistance oublié
Au début du XXᵉ siècle, la diaspora chinoise en Indonésie découvre l’anarchisme, importé d’Europe et de Chine. Dans un contexte colonial oppressif, ce mouvement allie critique de l’État, solidarité et éducation populaire, offrant à des communautés marginalisées un outil concret de résistance et d’émancipation. -
Le silence des armes : pourquoi les vétérans indonésiens ne regrettent pas
Alors que d’anciens soldats allemands, japonais ou français ont reconnu leurs crimes, aucun vétéran indonésien n’a jamais exprimé de remords pour les massacres de 1965, Aceh, la Papouasie ou le Timor. Un silence d’État bâti sur le déni, la religion et la gloire militaire.