Un de ces baby-boomers tant décriés.. L'important est ailleurs. Dire d'où politiquement on parle. Quelque part entre Marx, Bakounine, Murray Bookchin et Wendy Brown mais aussi Ursula LeGuin et Jackson Browne.
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Suprise d'Octobre suite.. et sans doute pas fin.
Les événements s’enchaînent autour de la campagne électorale aux Etats-Unis d'Amérique.
Un de ces baby-boomers tant décriés.. L'important est ailleurs. Dire d'où politiquement on parle. Quelque part entre Marx, Bakounine, Murray Bookchin et Wendy Brown mais aussi Ursula LeGuin et Jackson Browne.
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Après la publication d'une partie des données fiscales de 1995 de Donald Trump dont la suite pourrait encore venir le camp Trump a voulu faire bonne figure en glorifiant l'intelligence fiscale du grand homme qui sait jouer avec les règles pour gagner de l'argent. Pas certain que sa base électorale laborieuse de la "Rust Belt" qui a perdu emplois et maisons dans les jeux de délocalisations ou de spéculation financière lui en sache gré. Trump est apparu très excité et passant du coq à l'âne lors du meeting qu'il a tenu à Manheim, Pennsylvanie après la parution de l'article du New-York Times. Il a ensuite pressé Bernie Sanders de retirer son soutien à Hillary Clinton. Il n'avait sans doute pas pris le soin de consulter les dernières déclarations de Sanders qui a réaffirmé son choix. De plus Trump a annoncé ne peut-être pas reconnaître la victoire de Clinton si elle gagne l'élection et encourage de plus en plus ses partisans à venir scruter les opérations électorales qu'il sous-entend massivement truquées. Il est en train d'installer et de faire monter un climat de violence qu'il n'est même pas certain de contrôler.
Un autre front se développait en parallèle. Roger Stone, conseiller de Trump a déclaré que Mercredi Hillary Clinton serait "finie". Il faisait référence à une annonce de Wikileaks, sans doute la fameuse "surprise d'Octobre" trompettée par Julian Assange.
Et, surprise des surprises, Wikileaks annonce l'annulation de l'événement prévu Mardi "pour des raisons de sécurité" à l'ambassade d'Equateur de Londres. Pour une fois je jouerais bien au conspirationniste pour dire comme Trump qu'il doit se passer quelque chose et que l'on ne nous dit pas tout.
Plus que jamais à suivre.
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