Dimanche 03 août 2025
Voir ce que l’on voit et dire ce que l’on voit dans le plus beau pays du monde ne relève de l’exception culturelle française ou d’un art de vivre à la française, c’est simplement être conscient que l’on vit dans un pays en voie d’annihilation avec le concours des personnels politiques français, européens et des cours de justice administrative, judicaire et pénale.
Des enseignants insultés, frappés, poignardés, assassinés et décapités.
Ces hussards de la République française sont insultés, frappés, poignardés, assassinés et décapités au grand jour dans un pays anesthésié par la peur et la terreur. La violence est présente dans les couloirs et les salles de classes de nos écoles. La transmission du savoir dans le plus beau pays du monde est soumise au règne des parents, des racistes et des antisémites.
Des policiers insultés, frappés, renversés volontairement par des chauffards, assassinés.
Les policiers, autrefois gardiens de la paix, aujourd’hui forces de l’ordre, sont devenus des cibles à abattre, des victimes expiatoires d’une haine décomplexée de tous les décérébrés.
Insultés, frappés, percutés volontairement par des chauffards avides de puissance, assassinés dans une indifférence absolue.
Le pouvoir politique du plus beau pays du monde envoie des hommes et des femmes en première ligne pour maintenir un ordre de façade, tandis qu’il détourne le regard et l’attention des citoyens par des discours creux et pompeux, préférant le confort d’une morale à géométrie variable et surtout celui de leurs avantages matériels conférés par leur fonction.
Des personnes âgées escroquées, insultées, frappées, violées, assassinées.
Les personnes âgées, autrefois admirées et respectées, sont aujourd’hui escroquées, insultées, frappées, violées, assassinées dans le plus beau pays du monde. Ces mêmes aînés qui ont bâti ce foutu plus beau pays du monde vivent dans la terreur avec une classe politique qui les a trahis sans vergogne. Solitude, insécurité, abandon, pauvreté, indignes au point de crever comme des chiens galeux sur des brancards dans des couloirs d’hôpitaux et dans la rue.
Des femmes insultées, frappées, violées, assassinées.
Les femmes subissent le séisme d’une société qui se proclame championne de l’égalité des sexes. Insultées, frappées, violées, assassinées. La peur est leur quotidien, elles n’osent plus sortir seules le soir, incarcérées dans leurs terreurs au sein d’un espace public qui devrait être sécurisé. Les politiciens du plus beau pays du monde se contentent de mots, de petites phrases, de discours, mais les abandonne avec leurs anxiétés et dans la violence qu’elles subissent quotidiennement parce que ce ne sont que des femmes.
Des enfants insultés, frappés, violés, assassinés.
Les enfants, innocence par excellence, sont sacrifiés dans un monde d’adultes violents. Eux aussi sont insultés, frappés, violés, assassinés et l’avenir de ceux qui survivent se dessine progressivement dans la désillusion, la violence, l’impuissance de leurs parents et des institutions du plus beau pays du monde à les protéger et à leur offrir un avenir meilleur. Leur seul tort est d’être des enfants qui sont venus au monde dans le plus beau pays du monde.
Des juifs insultés, frappés, assassinés.
Et les juifs… Insultés, frappés, assassinés, synagogues attaquées, incendiées, contraignant certains français à fuir le plus beau pays du monde. Les juifs vivent dans la peur des agressions verbales et physiques dans le plus beau pays du monde. Une peur ancestrale réveillée par l’antisémitisme de gauche et de l’islamisme associé qui, ensemble, prêchent l’intolérance et leurs promettent une violence toujours plus grande pour un avenir toujours plus sombre et mortifère.
Des juives insultées, frappées, violées, assassinées.
Parce que juives, parce que filles et femmes, elles sont les cibles favorites de l’antisémitisme, gauchiste et islamiste et par avance condamnées dans le plus beau pays du monde. Si les filles et les femmes sont toujours les premières victimes dans un conflit, elles, elles le seront avant toutes les autres dans l’indifférence généralisée et la peur pour les français de les soutenir en tant que filles, en tant que femmes, en tant que juives.
Les parents ne laissent plus leurs enfants sortir seuls.
Les parents, eux-mêmes terrorisés pour l’avenir de leur progéniture, ne laissent plus leurs enfants sortir seuls. L’espace public est devenu un espace privé sous la coupe d’une violence des gangs légitimée par l’État du plus beau pays du monde.
Les rues sont synonymes de danger et de guet-apens, où chacun craint d’être agressé en permanence, où la menace est réelle et omniprésente. Mieux vaut ne rien voir, ne rien entendre, ne pas parler, car une balle perdue, ça peut arriver à tout le monde. Un coup de couteau également.
Lola, 12 ans, est découverte le 14 octobre 2022 dans une malle à proximité de l’immeuble du 19 arrondissement de Paris.
Thomas, âgé de 16 ans, poignardé à mort dans la nuit du 18 au 19 novembre 2023 devant une salle des fêtes lors d’un bal à Crépol.
Et combien d’autres tous les ans…
Les gauchistes écolos-néo-féministes, wokistes, racistes et antisémites sont devenus les maîtres du plus beau pays du monde.
Les gauchistes écolos-néo-féministes, wokistes, racistes et antisémites autoproclamés progressistes, s’érigent en révolutionnaires en nouveaux censeurs d’une morale dégénérée. Dans le plus beau pays du monde ces gauchiasses se dissimulent sous l’emblème de l’antiracisme, ces mêmes antisémites se voilent sous la bannière de l’humanisme.
Ils honnissent la liberté d’expression pour tous leurs détracteurs au nom de leur intolérance et de leurs valeurs immorales et sont prêts à toutes les violences pour avoir raison lorsque les mots ne sont plus suffisants.
De la misère en veux-tu en voilà et n’en veux-tu pas quand voilà quand même
Des centaines de milliers de migrants débarquent chaque année de toutes parts pour venir vivre dans le plus beau pays du monde et que les associations de gauchiasses entassent sans vergogne dans des bidonvilles, sous les ponts, dans les terrains vagues en les abandonnant à leur misère, à la drogue et à la violence. L’humanisme des associations à n’importe quel prix n’est valable que lorsqu’il est grassement financé par l’état du plus beau pays du monde qui puise son argent dans les poches des contribuables.
Concernant l’humanisme des français (hommes, femmes et enfants) qui vivent dans les rues du plus beau pays du monde, tout le monde s’en fout. Ils sont français et c’est bien là leur malchance. Ils n’avaient qu’à venir d’ailleurs !
Pendant ce temps…
Pendant ce temps, l’ensemble da la classe politique du plus beau pays du monde, prononce des discours creux afin de plaire aux troupeaux des baiseurs de petits pieds sur les réseaux sociaux plutôt que de s’atteler à leur unique tâche qui est de sauver ce qui peut encore l’être.
Ces cancres de la politique spectacle du constat sont devenus accros aux drogues dures numériques du like et du retweet plutôt que de se soucier du résultat de leur indécision sur le quotidien et la vie de leurs administrés. Le pouvoir est lâchement abandonné aux juges gauchistes, aux mafieux, aux bandits, aux dealers, aux maniaques de la Kalachnikov et observent le chaos progresser en se confortant qu’ils ne sont ni responsables, ni coupables de leur lâcheté.
Pendant ce temps, les gauchistes écolos-néo-féministes, wokistes, racistes et antisémites bloquent la circulation, dégradent des œuvres d’art, manifestent en violentant les féministes qui ne sont pas de gauche, adoptent des comportements masculins dont elles honnissent même le mot, veulent procréer toutes seules sans l’aide d’un homme, mais réclament le droit à leur semence pour faire des bébés toutes seules, puis quémandent ensuite des aides sociales pour élever leur progéniture.
Les dernières générations honnissent d’ailleurs tellement le patriarcat, qu’elle choisissent le nom de famille de leur mère pour effacer toute trace de leur père. Le nom d’origine de leur mère qui n’est autre que celui de leur grand-père.
Encore un peu ?
Concernant la nouvelle politique familiale des hommes enceints promue dans les services de protection maternelle et infantile et les associations de planning familial, ce n’est que la conséquence d’une dégénérescence programmée et organisée par des élites intellectuelles vantant une doctrine valorisante pour les libertés de chacun.
Une évolution qui rendrait le plus beau pays du monde toujours plus inclusif, tout comme l’écriture inclusive qui provoque des hémorragies oculaires aux dyslexiques et aux amoureux de la langue française.
Le plus beau pays du monde est également le pays des obèses hédonistes, des épicuriens en surpoids proclamant Carpe Diem tout en s’étouffant avec une énième portion de bouffe industrielle, chimique et dégueulasse avant de se résigner à souscrire à un régime hors de prix vanté à la télévision par des comiques troupiers incapables de vendre leur talent autrement. Ces mêmes jouisseurs de la vie apathiques incapables de courir 100 mètres sans suffoquer proche de la mort et toujours trop épuisés pour gravir quelques étages d’immeuble ou quelques escaliers que ce soit sans se plaindre d’un effort soi-disant physique intolérable.
N’oublions pas les petits souffreteux du plus beau pays du monde qui auront toujours besoin d’être brossé dans le sens du poil sur des plateformes destinées aux atypiques en tout genre. Le marché de la souffrance n’étant plus réservé aux psys et à l’industrie pharmaceutique, chacun peut désormais verser sa larmichette sur Internet en se déclarant victime de n’importe qui.
Pervers narcissiques, Haut potentiels de souffrance, MBTI, Ennéagramme, hypersensibilité, neurodivergents, …
Il y en a pour tout le monde, inutile de vous bousculer ! Chacun aura droit à son particularisme et pourra geindre sur son sort sur les réseaux sociaux de rencontres à haut potentiel d’arnaque à la souffrance.
Ce même plus beau pays du monde qui gaspille plus d’un milliard d’euros (1 000 000 000) pour assainir la Seine pour une compétition nautique des Jeux olympiques de Paris, pendant que le système de santé est au bord de l’abîme le plus noir, que la dette publique atteint des sommets toujours plus haut, que la scolarité, la sécurité sont en passe de finir dans les égouts les plus crasseux.
Ce même plus beau pays du monde dont les jeunes diplômés ne lui font plus confiance pour leur avenir préférant s’expatrier dès lors qu’ils en ont la possibilité.
Pour les moins accomplis et le sous-produit du système éducatif nivelé toujours plus bas par des enseignants provenant eux-mêmes d’une caste débilitante, ils seront tout juste suffisant pour former les incultes de demain avec quelques exceptions cérébrés qui chercheront tout de même à s’élever en s’effrayant de cette masse grouillante qui gît au-dessous d’eux.
Le plus beau pays du monde est définitivement celui des sans-dents de François Hollande, des pauv’ cons de Nicolas Sarkozy, des Gaulois réfractaires qui ne sont rien d’Emmanuel Macron.
Le plus beau pays du monde est un pays ou les politiciens font des promesses irréalisables à des moutons français qui bêlent en troupeaux devant l’abattoir au sein duquel, ils finiront avec la garantie de pouvoir choisir de mourir plus facilement que leur fin de mois toujours plus difficiles.
Le plus beau pays du monde, c’est la France avec une liberté d’expression qui se meurt sous le pouvoir des politiciens, des juges, des associations, des gauchistes, des islamistes, des racistes antiracistes, des antisémites, des intolérants, des incultes, des dégénérés, et de la bêtise humaine.
J’ai honte de vivre dans le plus beau pays du monde, de constater ce qu’est devenu le berceau des droits de l’homme bercé trop près du mur, honte que les politiciens professionnels préfèrent l’argent public et les avantages d’une fonction en abandonnant lâchement un peuple qu’ils sont censés défendre et protéger, à une mort indigne, rapide et garantie par l’État.
Ne vous débattez pas, ce ne sera que plus douloureux ! Contentez-vous de mourir dignement ! Dans le silence…
C’est une comédie humaine qui ne fait plus rire personne. Tout juste une mauvaise farce.
Post-scriptum,
Et les militaires ?
Qui se soucient réellement d’eux… Les forces armées sont tout au plus une variable d’ajustement dans un pays qui ne possède qu’un échantillon des différents corps armés, comme un représentant de commerce ne possédant qu’un échantillon de marchandises dans sa valise afin de promouvoir sa société qui, elle-même ne possède pas autre chose que les échantillons qu’elle a confiés à son représentant.
Et la Société Nationale des Chemins de Fer ?
Une association de grévistes professionnels qui se met en branle lors des vacances scolaires et qui se branle le le reste de l’année.
Et la religion catholique ?
Je suis catholique blanc, membre du patriarcat blanc des plus de 50 ans et ne suis pas fier d’être français, car l’intégralité des dirigeants politiques ne m’apporte aucune motivation pour soutenir le pays dans lequel je suis né. Si le pays s’effondrait demain, je ne le pleurerais pas et je serai l’un des derniers à vouloir le reconstruire, car lorsqu’une abomination est engendrée par la dégénérescence combinée des hommes et des femmes de pouvoir et de ses excroissances cancéreuses, il convient d’accepter sa disparition et de la laisser crever.
J’ai plus de compassion pour la terre du Roi des juifs et sa population que pour tous ses ennemis et ses faux amis français.
Une lettre ne devant plus se refermer sans le passage de mes livres lus au cours de la semaine.
Le Docteur Jivago
Boris PASTERNAK
Édition le livre de poche
Dépôt légal : n°6786, 3e trimestre 1967
Page 387
Et tout d’un coup, ce petit garçon, ce fils de concierge est bombardé colonel, ou même général chez les Blancs. – Je ne suis pas d’un milieu militaire, je m’y retrouve mal dans les grades. Mon métier, c’est d’enseigner l’histoire. – Oui Jivago, c’est ainsi : j’ai aidé beaucoup de gens. J’allais le voir, nous parlions de vous.
Une lettre ne devant plus se refermer sans une citation personnelle qui vaut parfois mille mots.
Je suis d’une curiosité curiositairement discrète et ne pose en règle générale et de manière plus précise que peu de questions lors d’une conversation avec une personne qui me plaît follement, car les interrogatoires de séduction m’ont toujours gravement fait chier des briques alors que je ne suis pas maçon.