Hominem te esse memento : Souviens toi que tu es un homme, c’est-à-dire, un simple mortel. Memento mori : Souviens toi que tu es en train de mourir.

Cet article explore la relativité de la perception du temps, non comme simple durée mesurable, mais comme densité mémorielle et attention consciente. Vivre pleinement, c’est étirer la temporalité par l’acuité sensorielle et cognitive, plutôt que d’accumuler des plaisirs éphémères. La vie cesse d’être une farce automatisée quand elle devient une intensité de conscience.

Cette élégie dénonce la dérive victimaire et la déresponsabilisation de l’adulescent occidental du XXIe siècle, noyé dans l’illusion technologique, l’hypersensibilité proclamée et le rejet de l’altérité. Face à l’IA, au confort artificiel et à la fuite de la responsabilité individuelle, l’auteur revendique la liberté, l’effort et la dignité de l’action humaine authentique.

Cette lettre dominicale explore la connaissance de soi comme quête infinie : miroir impitoyable, humilité face à l’incertitude, linceul de Pénélope et montagne de l’ego. Entre utopie trompeuse et troisième voie inatteignable, elle appelle à une honnêteté intellectuelle affranchie des masques sociaux.

Dans cette lettre dominicale, un grain de sable autistique devient métaphore d’une pensée complexe, éliminant 99,99 % de son foisonnement intérieur pour ne livrer que l’essentiel. Entre Jung, langage, société, Darwin et misanthropie, se dessine une réflexion sur l’autisme, la liberté de penser, la différence assumée et la quête d’une troisième voie utopique.

Lettre intime et intemporelle, adressée à une enfant différente mais aussi à toutes les générations, où se mêlent liberté, fragilité, héritage et pardon. Entre la confiture de framboise, la boîte en carton et le mot « peut-être », surgit une réflexion tendre sur l’enfance, la parentalité et le courage d’être soi, sans jamais céder au regard des autres.