A vous, les petits hommes verts, les "nabots surélevés", les comiques lécheurs de cultes, les vieux et les jeunes cons, les grands appétits politiques et les petits mangeurs de miettes, enfin à plein, je ne vous souhaite pas une bonne année.
Elle est déjà mauvaise, sombre, dure, inélégante et faux-cul.
Le pire est au coin du bois.
Non je ne souhaite pas bonne année, mais une année ou nous vous combattrons, une année de résistance à votre vomissante suffisance, une année de curiosité républicaine sur vos bilans et vos vilaines actions, une année que nous finirons sans vous.