Ils sont séparés de leur mère dès la naissance, engraissés à des centaines de kilomètres de leur lieu de naissance, malmenés, entassés dans un camion de transport puis tués dans un abattoir loin de chez eux… Voilà la courte et terrible vie des agneaux. Et pour Pâques, cette année encore, plus de 115 000 agneaux « Pascal » seront abattus et mangés.
Les ventes augmentent de plus de 50 % à pâques, « grâce » à Pâques, l’activité d’abattage progresse. L’année dernière, en avril ce fut une hausse de 26 % selon Fréderic Freund, directeur de l’Œuvre d’Assistance aux Bêtes d’Abattoirs.
A titre de comparaison, 200 000 ovins sont égorgés durant la fête de l’Aïd-el-Kébir, selon l’OABA. Les catholiques and co ne sont donc pas en reste en ce qui concerne la cruauté animale.......
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