Pour une école capable d'un renouveau démocratiqueE

     j'énoncerai dans un  prochain billet ce que je n'ai plus la place de formuler dans celui-ci: les principes qui, après dénombrement de tous les autres, résistent à l'épreuve du réel, et tout en maintenant ses pratiques dans les limites du "possible et du raisonnable", permettent d'envisager l'Ecole comme dépot et ferment, indissociablement constitutifs d'aspirations démocratiques authentiques et exigeantes, génératices d'une population aux individus suffisamment instruits dans les secteurs du savoir établi pour se passer du filtre médiatique, de la tutelle des associations , aux facultés intellectuelles( au sens premier du mot latin:'*inter-legere:choisir entre (plusieurs possibles) mobilisées jusqu' l'âge de 16ans dans des activités ludiques(du latin:ludus:école) où le plaisir d'assouvir la curiosité, de découvrir les merveilles et les horreurs de l'humain, de multiplier les questionnements ingénus sur le monde etc font oublier les moments douloureux du doute , de l' effort , du découragement qu'ils imposent--  au point même qu'ils deviennet chez certains un critère de qualité--,préservant du confort des certitudes, des risques de la servitude volontaire , des surprise de la nouveauté et, mieux encore, gràce au reflexe acquis très tôt de rechercher l'origine des mots ,leur histoire, leur drôlerie, rend en mesure de répondre à l'imprévu et anime du désir de connaître désormais dans des lieux qui relaient l'école et complètent sa mission: c'est dire si la mission de l'Ecole est liée au destin d'un pays qui vaut non par les exploits du marché immobilier ou le record de ventes de ses voitures faisant payer aux plus faibles les conséquences dramatiques de leur échec:, mais qui vaut par l'accomplissement d'une démocratie véritablement participative et qui aide la Republique à faire la démonstration du meilleur de ses apports dans leur contribution "au trésor" de l'universel humain.