Une fois admise la nécessité de l'institution comme repère de confiance, et son indispensable reconfiguration pour la maintenir en diapason avec les signes pressentis des changements irréversibles induits notamment des secteurs de pointe de la recherche contemporaine, et dissiper ainsi les effets délétères de la vision d'une école corporatistement crispée sur des"acquis" depuis longtemps désavoués et qui résistent inflexiblement aux mesures de bon sens élémentaire qui éclairciraenit un peu l'horizon .
j'énumère sans les classer les autres principes : tout ce qui est périscolaire mérite considération et doit participer aussi à la "réputation" de l'institution dont sans doute une des missions des instances qui la composent est d' en assurer, disons l'attractivité , et l'accès des élèves d'origine modeste à ce qui fait cruellement défaut dans la sphère privée:loisirs, soins médicaux, figures d'adultes rassurantes etc...
L'indissociabilité de la théorie et de la pratrique: l'importance de soumettre l'une à l'épreuve de l'autre, complétée par la nécessité de ne pas construire un raisonnement inductif ou déductif sur le terrain mouvant des dérives , des scories, d'insuffisances ponctuelles , factuelles techniquement et pécuniairement remédiables;( j'ai vu des "cours "construits sur la place du radiateur t la stratégie à adopter etc;
Que la transmission du savoir appelle des méthodes différentes , mais que les ruses de la pédagogie obliques ne doivent pas altérer les contenus et qu'il est bon que très tôt les élèves s'éprennent des connaissances avecun peu d'angoisse et de doute et pas forcément dans la béatitude, comme si "l'histoire" devait être faite sur mesure.A suivre