Billet de blog 11 février 2013

sic et non

"Adhérents du club" : l'expression, le syntagme, sont à des années lumière de ma vision du monde et de ma détermination à consacrer partiellement ma retraite de" Professeur agrégée de lettres classiques" à poursuivre dans MEDIAPART mon activité d'intellectuelle.

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De quelles violences l'institution scolaire, sous un gouvernement de gauche, est-elle censée protéger les élèves?

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

Les violences pratiquées à l'intérieur de l'institution scolaire engagent sa responsabilité, réclament les sanctions qui s'imposent quand elles proviennet du personnel éducatif :les actes de violence qui se sont de nos jours accomplies l'ont été plutôt par des élèves en révolte contre le système ou la figure d'enseignant censé le représenter: voilà pourquoi l'institution scolaire appelle  des mesures correctrices de ces dérives dont il faut chercher les vraies causes dans les diverse formes de misère sociale, qui livrent l'enfant ou l'adolescent à ses pulsionset à ses ressentimentsetc,l'école recevant le contre coup du pire qui se passe le plus souvent dans la sphère privée. .    

  Si j'allais choisir parmi les violences dont l'institution scolaire peut se rendre coupable par "obeissance" aux ordres des pouvoirs décisionnels,je citerai la mesure que je réprouve qui me paraît avec les meilleures intentions consacrer l'inégalité et l'injustice entre les élèves d'un même pays, en distribuant les lycées entre deux types de filières, l'une ouvrant la jeunesse au champ des possibles ,l'autre lui assignant prématurément son destin par cette appellation réductrice:"lycée professionnel":il s'agit là d'une violence réelle et symbolique inacceptable en dépit de ce qu'elle entend par là "revaloriser" l'enseignement technique . ce type de mesure fait violence à l' élève autant que les orientations qui les amputent de toute une partie de l'enseignement qui lui est du. A SUIVRE

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