Ces derniers temps les commentaires de Médiapart fleurissent de : "ce commentaire a ėté dépublié par son auteur". Que cache ce "dépublié par son auteur".
L' auteur n'a en rien dépublié son commentaire, c'est Médiapart qui en reprėsaille au désabonnement de cet abonné supprime tout ce que celui-ci a écrit quand il ėtait abonné. Mėdiapart s'arroge le droit de vie et de mort sur l'expression de ses lecteurs.
Méa-culpa, ces suppressions étaient volontaires de leur auteur.
Cet article est érroné, il a été écrit sous le coût de l'indignation de la dispararition immédiate d'un de mes commentaires. Mais il s'avère que Médiapart n'est pour rien dans sa disparition, que c'est l'auteur du blog qui a tout supprimé. Ce blogeur posait la question de la visibilité des articles des clubistes, et regrettait son inéfficacité pour faire passer son "message". Je suis d'accord avec lui, pour cela j'ai proposé un compteur de lecteurs "privé" sur les billets pour que le blogeur puisque savoir combien il a de lecteurs. Ce comptage est pour moi indispensable car l'ėvaluation par les commentaires est pour moi une énigme. Ce billet sans grand intérêt a eu plus de commentaires que mon précédent (0 commentaire) qui pourtant traitait d'un problème de sociètè autrement important. Mais il n'est pas trop tard pour que mes lecteurs ici même le lisent :
http://blogs.mediapart.fr/edition/entre-republique-et-bastille/article/181114/quels-responsables-des-maxime-hauchard-et-mohamed-merah
Que, n'ėtant plus abonné, un ex-lecteur, ne puisse plus écrire, c'est normal. Mais de quel droit les commentaires, blogs, éditions, qu'il a publiés alors qu'il payait son abonnement, sont-ils supprimés ? Ces commentaires sont autant la propriété de leur auteur et de la communauté des Médiapartiens qui ont dialoguės, argumentés, sympatisés, avec lui que de Médiapart. Comment Médiapart peut-il s'octroyer de droit d'effacer l'expression qu'il avait donné a ces lecteurs. La "PARTICIPATION" de Média-PART s'avère n'être qu'un marketing pour appâter le lecteur qui rêve de droit d'expression, mais aussitôt le péage impayé aussitôt censuré. Le droit d'expression soumis aux lois de l'argent, médiapart est dans le droit chemin du libéralisme, qu'il dénonce !
En prenant de l'assurance financière, médiapart est devenu un média comme les autres. Plus besoin du soutien de ses lecteurs puisque ceux-ci sont 100 000 et sont devenus interchangeables, donc pourquoi leur donner la parole. Médiapart a gagné ses galons de média puissant et y a perdu sont âme.