Ce dimanche 22 septembre 2013, les dés sont jetės, le point de non retour vient d'être franchi. L'engrenage des actes, est enclenché, la tragédie (grecque bien entendu) va, irrémédiablement, précipiter les acteurs les uns contre les autres, jusqu'au dénouement fatal.
Les allemands ont choisis l'égoïsme, en votant Merkel, ils ont choisi d'écraser les autres peuples d'Europe, de les jeter dans la misère, pour mieux les asservir. Après les grecs, les espagnols, ils leur faut sacrifier les italiens, les français et tous les autres peuples sur l'autel du libéralisme triomphant.
L'agonie est là. Les réactions sont inévitables, le rejet massif de l'Europe et de l'Allemagne. Les nationalismes exacerbés et les guerres comme seules issues pour se sauver de l'humiliation.
Ce dimanche 22 septembre 2013, à 50 ans, l'europe est morte, tout espoir d'une Europe Sociale, qui aurait pu la sauver disparait, l'inéluctable déchéance, le choc des égoísmes ne peut plus être arrêté.
Ce dimanche 22 septembre 2013, l'Europe est morte dans mon coeur, je ne crois plus en l'avenir.
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