Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.
Au lointain couvait le silence fédéré le souvenir-maïdan s'évanouissait dans l’ignorance comme toute révolution se fane soudain les images se turent laissant place à l’effroi du ciel les yeux les langues se murent devant l’offensive sacrificielle d’un seul coup ils coupèrent l’empathie et leurs intérêts engloutirent de cratères le quotidien arrêté longtemps le feu mijotait ravivé par les menaces dans l’âtre ses braises battaient hier il jaillit sur les masses la décision de l’unique peut anéantir mille vies les pourparlers cyniques servir les plus avilis depuis le couronnement de notre mère La Technique ils ont choisi sournoisement de la maintenir cosmique mais les peuples pleurent d’aussitôt rencontrer la mort d’aussitôt ferrailler avec le malheur partout sur les chemins s’amoncellent les corps la chair de l’Europe accueille la guerre hoplites et chars scarifient l’innocence contre l’absurdité déjà mères et pères hostiles objectent en conscience la comédie politique à Moscou à Paris s’époumone le coeur bleu et jaune magnifique нет войне !
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