La CFTC souligne que le responsable d'une division d'HP a « été pris en flagrant délit de fixation à ses managers de quotas de bonnes et mauvaises notes ». Un minimum 5% de salariés doivent être ainsi notés I (améliorations nécessaire) et un maximum de 20% doivent être étiquetés K (dépasse régulièrement ses objectifs). « L´avantage d´avoir une guideline, c´est qu'on se pose des contraintes qui nous donnent un niveau d´exigence "standard". 5% de I, c´est le minimum de ce qu´on doit faire pour pousser à réagir une frange de la population qu'on se fatigue à tirer et qui génère de l´inertie. 20% de K, c´est, je pense le maximum de ce qu'on peut raisonnablement avoir comme personnes à suivre plus particulièrement, pousser plus vite, rémunérer nettement mieux etc... », aurait ainsi expliqué le responsable de la division. * En mai 2002, les syndicats d'HP avait saisi le tribunal de grande instance ce Grenoble pour dénoncer un système de notation discriminatoire du fait des quotas. Une plainte rejetée par le tribunal qui a estimé que le système de notation ne visait pas à sanctionner mais au contraire à faire progresser. Un tribunal qui avait aussi à l'époque considéré l'absence de corrélation entre les quotas et les licenciements. Source : Miroir Social
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Les élections nationales ont mis à l’épreuve la stratégie d’autonomie des écologistes vis-à-vis de la « vieille gauche ». Quel dispositif pour la bifurcation écologique, comment convaincre l'électorat : un débat entre David Cormand, Maxime Combes et Claire Lejeune.
Dix-neuf collaborateurs en cinq ans, des accusations de harcèlement et des dépenses personnelles facturées à l’Assemblée : le mandat de la députée du sud de Marseille, candidate à sa réélection, n’a pas été sans accrocs. Notre partenaire Marsactu a mené l’enquête.
par
Jean-Marie Leforestier et Violette Artaud (Marsactu)
Dans les années 2010, le mouvement afroféministe, destiné aux femmes noires, a connu en France un certain engouement. Il a même réussi à imposer certaines notions dans les débats militants, mais il peine à se constituer comme un courant à part entière.
Redoutant une assemblée générale plus problématique que prévu, la direction du groupe a fait pression sur l’actionnariat salarié pour qu’il revienne sur son refus de changement de statuts, afin de faire front commun pour imposer la présidence de Jacques Aschenbroich. Au mépris de toutes les règles de gouvernance et avec l’appui, comme chez Engie, de la CFDT.
Depuis sa nomination, Élisabeth Borne est célébrée par de nombreux commentateurs comme étant enfin le virage à gauche tant attendu d'Emmanuel Macron. Qu'elle se dise de gauche, on ne peut lui retirer, mais en la matière, les actes comptent plus que les mots. Mais son bilan dit tout le contraire de ce qu'on entend en ce moment sur les plateaux.
Le problème le plus saisissant de notre démocratie, c’est que beaucoup de gens votent pour autre chose que leurs idées parce que tout est devenu tellement confus, tout n’est tellement plus qu’une question d’image et de communication, qu’il est bien difficile, de savoir vraiment pour quoi on vote. Il serait peut-être temps que ça change.
Notre pays a donc désormais un premier ministre – ou, plutôt, une première ministre. La nomination d’E. Borne aux fonctions de premier ministre par E. Macron nous incite à une réflexion sur le rôle du premier ministre dans notre pays