Elle dit ce que vivent les soignants aujourd'hui.
https://www.facebook.com/watch/?v=2655565081397096
Les violences qu'elle a subies parce qu'elle s'adressait de loin à Macron sans être en aucune façon dangereuse, la convainquent du refus de voir le réel vécu par soignants et malades. La convainquent qu'après, le manque de moyens de base continuera, et que les violences contre les protestations continueront. Elle interroge la déchéance de notre pays.
Sa conviction rejoint l'avertissement lancé par le directeur de l'ARS de Nancy : Les plans de suppression de lits seront appliqués malgré la crise virale.
Tous ceux qui préparent l'après doivent écouter cette vidéo enregistrée après sa garde à vue injustifiée.
Souvenons-nous peu avant l'affaire Benalla, un groupe commandé par son adjoint ancien gendarme, avaient neutralisé un groupe de protestation syndicale peu avant l'arrivée d'une visite présidentielle...
Alors le coup de Mulhouse, Pas bavure, mais doctrine active, organisée ?
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Complété le 12 avril : http://www.sudsantesociaux.org/covid-19-point-actu-du-9-avril.html
"Notre camarade de Nord,
élue SUD au CHSCT au centre hospitalier de Hautmont
qui depuis le 4 Avril est mise à pied par sa direction et fait l’objet d’une procédure disciplinaire « pour des faits de menaces et de climat de crainte que vous entretenez au sein de l’établissement. »
Voici le courrier que la Fédération a adressé au Ministre des Solidarités et de la Santé, le communiqué de presse fédéral et le communiqué de presse des camarades du SD59.
Vous pouvez retrouver l’interview de notre collègue par l’Union Syndicale Solidaires , ainsi que la pétition en ligne que l’on vous invite à signer.
Cela annonce les conditions dans lesquelles la remise au travail sera imposée. Sous la botte policière. Michel-Lyon