"On peut faire l’hypothèse que cette insouciance, cette ignorance, voire cette invisibilité – même si elles furent relatives – ne sont pas étrangères à l’image que notre société entretient, depuis 1962, avec ceux qui ont fait cette guerre. En outre, élément aggravant, qui constitue une différence majeure avec le premier conflit mondial, la guerre fut finalement perdue".
Raphaëlle Branche, « La dernière génération du feu ? Jalons pour une étude des anciens
combattants français de la guerre d’Algérie », Histoire@Politique. Politique, culture, société, N°3,
novembre-décembre 2007
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