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Billet de blog 9 juillet 2018

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GLOSSAIRE 2018 DES SUDS

Cette année encore, nous avons essayé de décrypter pour vous les termes que nous utilisons régulièrement aux Suds, parfois un peu difficiles à comprendre...

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Chucu-chucu ? Iaouto ? Kézakô? Ne vous prenez plus le chou ! Membres de l’équipe des Suds, hardis dans la musique comme profanes, l’ont fait pour vous.

Baiaos nordestins (Gilberto Gil le 10 juillet Théâtre Antique)

  • « C’est du Provençou ? » Nicole (Agent d’accueil aux salons de musique)
  • « Un groupe de musique du Pays Basque » Nadège (Responsable accueil public Théâtre)
  • « Un bagad des Ardennes espagnoles » Laura (Responsable de la communication)
  • « Baignade clandestine au nord d’Avignon » Lou ravi (bénévole et bon public)

 Réponse : musique populaire et de danse de la région Nordeste du Brésil.

 Chucu-chucu (Puerto Candelaria le 13 juillet Place de la République)

  • « Une maladie ? Comme la danse de Saint Guy, tu ne sais pas pourquoi tu danses » Julie (Radio des Suds)
  • «  Et bé ! Je n’en sais rien… » Marie José (Directrice du Festival)
  • « C’est une branlette espagnole » Louis (Administrateur un point c’est tout)
  • « Attention ! Le train va partir…chucu-chucu, chucu-chucu, chu… » Lou ravi (bénévole et bon public)

 Réponse : Une musique colombienne de la région de Medellin. Cela s’appelle chucu-chucu tout simplement parce que c’est le son produit par le guiro , la percussion que l’on racle avec un bâton, sur les premières mesures d’un morceau.

 Le kuduro (Daniel Haaksman le 11 juillet aux Forges)

  • « Un coup dur en portugais » Laura (Responsable de la communication)
  • « Je sais que j’ai su ce que c’était » Julie (Radio des Suds)
  • «  C’est presque une boisson partagée à plusieurs » Nicole (Agent d’accueil aux salons de musique)
  • « Cul dur » Lou ravi (bénévole et bon public)

Réponse : Electro break danse angolaise inspirée des comportements de Jean Claude Van Damme saoul.

Le laoùto (Xylouris White le 12 juillet Cour de l’Archevêché)

  • « Du lait de yack fermenté de Mongolie » Julie (Radio des Suds)
  • «  Un animal d’Amérique du Sud, ça ne peut être que ça. Ah ! Le cri du laoùto… » Rémy (Responsable Radio des Suds)
  • «  Des chants japonais, c’est sûr ! » Nadège (Responsable accueil public Théâtre)
  • « Ancienne signification du XVII° siècle, mélange d’occitan et de celte ; Laoùto-outo, à savoir : merde je me suis trompé de sens » Louis (Administrateur un point c’est tout)
  • « L’art de pédaler dans le yaourt en Grèce » Lou ravi (bénévole et bon public)

Réponse : Non ce n’est pas du yaourt mais un luth, instrument traditionnel le plus répandu dans les campagnes grecques.

Le coupé-décalé (Daniel Haaksman le 11 juillet aux Forges)

  • « La danse des ciseaux pour découper les jambes » Laura (Responsable de la communication)
  • « C’est une voiture de sport qui n’a pas été découpée dans le bon sens » Nicole (Agent d’accueil aux salons de musique)
  • « Terme de cuisine : quand il n’y a pas du rôti pour tous, le couteau se décale » Louis (Administrateur un point c’est tout)
  • « C’est quand tu t’enfuis bourré » Lou ravi (bénévole et bon public)

Réponse : Etat d’esprit, mode vestimentaire bling-bling, arnaques et danse nés en Côte d’Ivoire au début du XXI° siècle. Tout est bon pour attirer l’attention.

Le théorbe (Love i Obey le 14 juillet Cour de l’Archevêché)

  • « C’est une théorie ronde et globale » Benjamin (Alter ego)
  • « Un instrument de musique baroque plein de cordes partout et avec un manche interminable » Stéphane (Responsable général)
  • « C’est un chant religieux certainement » Nicole (Agent d’accueil aux salons de musique)
  • « J’en pince pour ces cordes » Lou ravi (bénévole et bon public)

Réponse : Instrument à cordes pincées appartenant à la famille des archiluths, au son plus grave que celui du luth, dont le manche, muni d'un premier chevillier auquel s'accrochent les six rangs de cordes habituels du luth, comporte un second chevillier, légèrement déporté vers la gauche, auquel s'accrochent de quatre à huit paires de cordes sonnant à vide…ouf !

Anselme Koba

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